Séminaire Violence en Amérique latine et politiques sociales (14 janvier, Paris)
Séminaire du groupe de recherche BRICs de la FMSH/EHESS, avec Pierre Salama le lundi 14 janvier à 18h au 190 avenue de France, Paris 13e salle 1.
A la suite de sa présentation générale, le 10 octobre dernier, Pierre Salama, professeur émérite de l’Université Paris XIII, se concentrera sur ce thème traité dans le chapitre 8 de son livre « ‘Les économies émergentes latino-américaines, entre cigales et fourmis », la maison d’édition: Armand Colin, collection U, paru en octobre 2012.
P. Salama s’appuira sur un article qui paraitra en espagnol dans la revue « Revista frontera norte »
Dans la plupart des pays d’Amérique latine les taux des homicides sont beaucoup plus élevés que dans les pays avancés. Elle augmente dans quelques pays, et dans d’autres elle diminue ou se stabilise. Elle croît fortement dans quelques grandes villes mais baisse sensiblement dans d’autres depuis le début des années 2000. Les trafiquants de drogue et l’évolution organisations criminelles jouent un rôle particulier. Les causes de l’augmentation et de la diminution de la violence sont multiples et s’entrecroisent. Réduire la violence lorsqu’elle atteint le niveau qu’elle connaît dans de nombreux pays latino-américains est un peu comme tenter de « faire la quadrature du cercle ». C’est dire la difficulté. Il y a un ensemble de pré-requis visant à rendre la société davantage cohésive et à réduire la violence : diminuer de manière substantielle les inégalités socio-économiques, favoriser une redistribution des revenus plus égalitaire, développer une éducation primaire, secondaire et professionnelle de qualité, inventer des politiques de la ville, améliorer la qualité des institutions, notamment et surtout celle de la justice et de la police, développer une politique de la ville comme ce fut fait à Bogota et comme cela commence à être fait dans les « favellas pacifiées » au Brésil à l’inverse de ce qu’on observe au Mexique où la répression est privilégiée et la corruption est très élevée y compris dans les plus hautes sphères de la politique et de la police.
Mots-clés: Brésil, Mexique, homicides, pauvreté, politiques sociales
Organisateur(s) :Michel Schiray
Journée » Agir ensemble pour le désarmement humanitaire » (16 janvier, Paris)
Poursuivant leur cycle de Forums d’actualité au titre de l’année universitaire 2012/2013, le Pôle ONG et Humanitaire du Master-Pro Coopération Internationale, Action Humanitaire et Politiques de Développement (CIAHPD) de l’Université Paris I, Panthéon-Sorbonne, et ADECOOP (Association des Etudiants, Diplômés et Enseignants du Master) vous invitent à assister :
Un Forum d’actualité exceptionnel en partenariat avec l’International Campaign to Ban Landmines Cluster Munition Coalition (ICBL-CMC) à l’occasion des 20 ans d’ICBL et de la Journée » Agir ensemble pour le désarmement humanitaire » :
Le mercredi 16 JANVIER 2013 à 10h30
Sur le thème suivant : Plaidoyer pour le désarmement humanitaire leçons apprises et défis
Ce Forum aura lieu au :
Conseil Régional d’Ile-de-France
Hémicycle du Conseil
57 rue de Babylone – 75007 PARIS
Un débat suivra les interventions.
Le programme complet de la journée est ici.
Inscription préalable obligatoire auprès de Silène Theobald, assistante Plaidoyer Armes, Fédération Handicap International : stheobald@handicap-international.fr
6e rencontre européenne d’analyse des scoiétés politiques : « L’Etat de papier : matérialisation et dématérialisation de la citoyenneté » (31 janvier, Paris)
JEUDI 31 JANVIER 17h00 – 20h00
Leçon du Cycle européen d’études africaines du Reasopo : Autour de l’œuvre d’Eric de Rosny (1930-2012)
avec Roberto Beneduce (Turin), Peter Geschiere (Amsterdam), Président : Richard Banégas, Sciences Po-CERI, Paris
VENDREDI 1ER FEVRIER 9h45 – 19h30
Cinéma Saint-Germain-des-Prés 22, rue Guillaume Apollinaire, 75006 Paris
9h45 – 10h00 Accueil des participants
10h00 – 12h30 Atelier I : Autour de la photo anthropométrique
Projection du film 48 (2009, 93 minutes) de Susana de Sousa Dias (Lisbonne), en présence de la réalisatrice, suivie d’un débat avec la participation de Victor Pereira (Pau) et de Pierre Piazza (Cergy-Pontoise)
14h30 – 15h30 Leçon : Etre (ou ne pas être) étranger : cela ne coule pas de source
avec Claire Zalc (Paris) Président : Giovanni Levi (Venise)
15h30 – 17h30 Atelier II : La vie sociale des papiers d’identification : biens et personnes
avec Mirco Göpfert (Mayence), Patrice Berline (Nîmes), Abderrhamane Hdili (Tunis), Barbara Sorgoni (Bologne), Sara Berry (Baltimore), Présidente : Françoise Mengin, Sciences Po-CERI, Paris
18h00 – 19h30 Atelier III : Côte d’Ivoire 1994-2013 : une citoyenneté de papier
avec Richard Banégas, Sciences Po-CERI, Paris, Dino Cutolo (Sienne), Epiphane Zoro Bi (Abidjan), Président : Laurent Fourchard (Bordeaux).
Responsables scientifiques : Jean-François Bayart, CNRS/CERI-Sciences Po, Richard Banégas, Sciences Po-CERI et Armando Cutolo, Université de Sienne
Avec le concours de l’AFD et du FASOPO CERI-56 rue Jacob, 75006 Paris / Salle des conférence
Entrée libre
Assises du développement et de la solidarité internationale – Chantier 5 Table Ronde 2 – (29 Janvier, Paris)
La deuxième table ronde du chantier 5 des Assises (« Recherche et innovation ») aura lieu :
le 29 Janvier à 15h au Ministère de l’Economie et des Finances, Centre de conférences Pierre Mendès France
Cette table ronde, qui portera sur « les modes de production et de financements privés innovants au service du développement« , sera co-présidée par le ministère des Affaires étrangères et le ministère délégué à l’Économie sociale et solidaire.
Nous vous invitons à confirmer avant le 21 janvier votre présence à cette adresse.
Afin de préparer les échanges, des ressources sont mises en ligne sur le site internet des Assises, à l’adresse suivante :
De nouveaux éléments seront régulièrement ajoutés sur cette page dans les semaines qui viennent.
Nous vous rappelons que vous pouvez également proposer une contribution écrite. Celles qui ont déjà été proposées pour le chantier n°5, « Recherche, Innovation sociale et technologique » dans lequel s’inscrit la table ronde sont accessibles ici : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/enjeux-internationaux/aide-au-developpement-et/assises-du-developpement-et-de-la/les-cinq-grands-chantiers/innovations-technologiques-et/contributions/; Vous trouverez également sur cette page le lien vers le formulaire qui permet de déposer votre contribution (attention, dans un souci de concision, celles-ci sont limitées à 5 500 signes).
Sciences Po-CERI: RAPPEL débat » L’Europe centrale et orientale et l’Eurasie sous l’influence de la zone euro : résonnances et dissonances » (15 janvier, Paris)
Introduction et présidence : Christian Lequesne, directeur du CERI,
Jean-Pierre Pagé, économiste, expert pour les pays de l’Europe centrale et orientale et l’Eurasie: « L’Europe centrale et orientale marque sa différence par rapport à la zone euro »
Jacques Rupnik, Sciences Po-CERI, « Régressions post-démocratiques et dilemmes européens »
Catherine Samary, Université Paris Dauphine et Paris 8-IEE, « Les Balkans de l’Ouest dans la tourmente européenne »
Anne de Tinguy, INALCO et Sciences Po-CERI, « Vers une intégration de l’Eurasie ? »
Jacques Sapir, EHESS-CEMI, « La Russie en 2012″
Julien Vercueil, INALCO, « Eurasie : une intégration sous influence »
Cette réunion se tient à l’occasion de la parution de « Tableau de bord des pays de l’Europe centrale et orientale et de l’Eurasie 2012″, Etude n° 191-192, coll. Etudes du CERI, décembre 2012, et en association avec EurActiv.fr
Responsable scientifique : Jean-Pierre Pagé, économiste, expert pour les pays de l’Europe centrale et orientale et l’Eurasie
CERI-56 rue Jacob, 75006 Paris / Salle des conférences
INSCRIPTION OBLIGATOIRE
Séminaire EMM: « La théorie de Keynes et l’analyse des économies du MENA » (25 janvier, Paris)
Vous trouverez ici l’annonce du prochain séminaire Économie du Monde Musulman.
Le séminaire aura lieu le 25 janvier à la Maison des Sciences Économique de 16h à 18h en salle S 18. Il portera sur La théorie de Keynes et l’analyse des économies du MENA.
Vous trouverez également ici le programme de l’année.
SAA séance du 11 janvier + Programme janvier-février 2013
Vendredi 11 janvier2013 de 11h à 13h – Institut des Amériques (Salon des Amériques)
Françoise LESTAGE, Professeur d’anthropologie à l’université Paris Diderot, membre de l’unité de recherche «Migrations et société» (urmis)
« Pourquoi le «retour» post-mortem au pays d’origine relève-t-il de la «bonne mort»? »
Contrôle et réappropriation des migrants défunts au Mexique. Depuis l’établissement des frontières nationales au cours du xixe siècle, les mouvements migratoires entre le Mexique et les États-Unis n’ont pas cessé. Les migrants mexicains partis travailler, soit dans le cadre de programmes légaux, soit illégalement, ont parfois trouvé la mort au cours du voyage ou du séjour. Certains ont reçu une sépulture sur place, d’autres ont été renvoyés au Mexique (environ 10% d’après une enquête réalisée dans les années 2000). On traitera ici des logiques familiales, sociales et politiques qui sous-tendent le «retour» des migrants défunts. À partir d’une ethnographie des pratiques relatives au transfert des corps, on s’interrogera sur les formes de contrôle et de réappropriation de défunts vivant au loin. On verra ainsi que ces pratiques permettent à l’entourage touché par le décès, quel que soit le lieu de résidence des personnes, de se séparer du défunt selon les normes en vigueur dans le groupe social en annulant les frontières nationales, physiques et temporelles. Il apparaîtra également que ces pratiques exercent un ultime contrôle sur le migrant défunt et le réinsèrent, concrètement et symboliquement, dans la famille, le groupe social et la nation d’origine.
Vendredi 25 janvier 2013 de 11h à 13h – Institut des Amériques (Espace Tocqueville)
Rosângela PEREIRA de TUGNY , Professeur d’ethnomusicologie à l’Universidade Federal de Minas Gerais, Brésil
« L’événement de la venue des Tatakox chez les TikmuÞ’uÞn (Maxakali) du Minas Gerais, Brésil »
Durant le long rituel d’initiation maxakali, l’arrivée des peuples/esprits Tatakox qui, à la demande des femmes, apportent pour un bref instant au village les enfants morts en bas âge et emportent les jeunes garçons dans l’espace initiatique, est un de ces moments de grande intensité nécessaires à la vie de la communauté. Dans ce contexte, comment évaluer le visible quand la question de la vérité se déplace vers une attention portée à l’intensité, quand l’«esprit» est moins une classe d’agents qu’une «image» et quand une image est plus un événement que quelque chose qui serait donné à voir? La conférence propose de se livrer à cette exploration comme forme d’approche d?une esthétique acoustique et imagétique maxakali. À l’appui de notre propos, le documentaire Tatakox Aldeia Vila Nova (2009, 21mn), produit par un collectif d’hommes et de jeunes réalisateurs maxakali, apparaît, ici, comme un véritable événement cinématographique où le visible et l’invisible échangent leur place.
Vendredi 8 février 2013 de 11h à 13h – Institut des Amériques (Salon des Amériques)
Jean-Pierre CHAUMEIL, Directeur de recherche au cnrs, Centre erea du Laboratoire d?Ethnologie et de Sociologie comparative, avec
Pascal RIVIALE, Archives nationales, chargé d’études, chercheur associé au Centre erea du lesc
« Penser, ordonner et donner à voir le territoire. Un monument éditorial du xixe siècle: l’Atlas geográfico del Perú de Mariano Paz Soldán (1865) »
Un atlas et à plus forte raison lorsqu’il s’agit du tout premier sur un territoire délimité représente bien plus qu’un simple compendium de relevés géographiques. C’est une entreprise qui dépasse de beaucoup cet objectif en ce qu’elle donne pour la première fois à voir un pays ou une nation comme tel, tant à l’intérieur de ses frontières qu’à l’extérieur, dans une sorte de mise en scène qui participe activement de la façon dont on perçoit et construit un pays, où l’on décide de ce qui sera montré ou non. L’atlas de Paz Soldán est une merveilleuse illustration de ce processus de construction d’un État-Nation par l?énorme influence qu’il eut sur l’imaginaire géographique de ce pays. Cette oeuvre monumentale est unanimement considérée comme la plus emblématique du Pérou du xixe par son
envergure scientifique et la qualité exceptionnelle de l?impression lithographique. Il s’agit en effet du premier exemple d’utilisation
systématique de vues photographiques pour l’élaboration d’un livre de connaissances au Pérou. C’est donc à une plongée dans l’histoire de la pensée géographique de ce pays, en même temps qu’à une réflexion sur le rôle de l’image dans cette construction, que nous convie cette communication à l’occasion de la réédition de l’atlas (à Lima), cent cinquante ans après avoir vu le jour sous les presses de Fermin-Didot à Paris.
Vendredi 22 Février 2013 de 11h à 13h – Institut des Amériques (Salon des Amériques)
Guy BORDIN, Chargé de cours à l’inalco, membre du Centre d?étude et de recherche sur les littératures et les oralités du monde (cerlom)
« Noël et les fêtes de fin d »année chez les Inuit canadiens »
Un exemple d’appropriation lente et robuste. Les Inuit du Canada, jusqu’à leur conversion au christianisme au tournant des xixe et xxe siècles, connaissaient des cycles festifs de densité et de complexité variables selon les groupes qui, tous, pratiquaient cependant les jeux, le chant et la danse avec passion. L’hiver était la période cérémonielle et festive la plus intense dans l’ensemble de l’aire inuit et la nuit en constituait le moment privilégié. Depuis leur conversion, et de
façon désormais bien ancrée dans la culture inuit contemporaine, ce sont Noël et le Nouvel An qui marquent le principal temps festif. Caractérisés par leur longue durée et la succession des nuits de danse et de jeux dans le grand local collectif, ils reproduisent aujourd’hui assez fidèlement le schéma directeur de nombreuses fêtes inuit préchrétiennes. Le contexte et les significations, les types de danse sont différents, mais le modèle festif est assez semblable, au point que ces fêtes semblent avoir progressivement «réintégré» le modèle inuit. Le Noël de ce xxiesiècle commençant plusieurs semaines de festivités n?a en effet plus grand-chose à voir avec ce qu’il était au début de la christianisation, à savoir un évènement bref et finissant tôt, lequel avait en son temps marqué une profonde rupture avec ce que les Inuit vivaient auparavant. Les fêtes de fin d’année constituent ainsi un exemple caractéristique d’appropriation lente mais robuste de traits culturels importés.
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* SAA – Calendrier des séances suivantes: * 22 mars de 11h à 13h Espace Tocqueville; 5 avril de 11h à 13h Salon des Amériques; 19 avril de 11h à 13h Salon des Amériques; 17 mai de 11h à 13h Salon des Amériques; 31 mai de 11h à 13h Salon des Amériques; 14 juin de 11h à 13h Salon des Amériques
Conférence « Interprétation des codex Aztèques et codex Mayas » (14 janvier, Paris)
Birgitta LEANDER et Eric TALADOIRE
lundi 14 Janvier 2013 19h précises à la MAISON DE L’AMERIQUE LATINE 217, Bd St Germain 75007 Paris
« INTERPRETATION DES CODEX AZTEQUES ET CODEX MAYAS »
A l’occasion de la sortie du livre sur les trois Codex mayas, il convient de rappeler que d’autres civilisations de Mésoamérique sont aussi des cultures de l’écrit. Codex et manuscrits pictographiques nahuas, mixtèques ou d’autres constituent des sources inépuisables d’informations, d’une rare richesse.
Madame Birgitta LEANDER (suédoise, interprète de codex aztèques et textes en nahuatl), Doctorat d’Universidad Computense de Madrid en Histoire de l’Amérique latine, un autre de l’Uppsala universitet, Suède, d’Anthropologie sociale. Maîtrise en langues autochtones de l’UNAM. « Orden del AGUILA AZTECA » (2002). Doctorado Honoris Causa (2003). « International Scholar’s Award » (USA, 2003). Consultante internationale à l’UNESCO. Sa dernière œuvre, « INDIGENAS de AYER y HOY » (5 volumes dont 4 codex aztèques), est actuellement sous presse au Mexique.
Grand spécialiste de la civilisation Maya, Eric TALADOIRE, professeur émérite, a travaillé au Mexique depuis 1969, et a enseigné à l’Université de Paris 1. Nous découvrons réunis pour la première fois, de rares codex mayas dans les « CODEX MAYAS » Gallimard.
Sciences Po-CERI: colloque « Les arpenteurs du temps : recompositions sociopolitiques dans les Balkans contemporains » (23 janvier, Paris)
Christian Lequesne, directeur du CERI-Sciences Po
Maxime Lefebvre, directeur adjoint de la Direction de la prospective du ministère des Affaires étrangères
9H20 Intervention liminaire : Représenter les Balkans d’aujourd’hui : l’expérience de la réalisation de l’Atlas géopolitique des Balkans
Pierre Sintès, Université Aix-Marseille et Amaël Cattaruzza, Ecole militaire de Saint-Cyr
9h40-11H00 Table ronde I : Penser, recenser les mutations démographiques et identitaires dans les Balkans d’aujourd’hui
Présidente et discutante : Antonela Capelle-Pogăcean, CERI-Sciences Po
Neoliberalism and generational exclusion in Urban Bulgaria
Deema Kaneff, Centre for Russian and East European Studies, University of Birmingham
The presences of the past in Bulgarian-Macedonian relations: Controversies over world war II and the deportation of the Jews of Macedonia
Nadège Ragaru, CNRS/CERI-Sciences Po
The political uses of census in the Balkans
Amaël Cattaruzza, Ecole militaire de Saint-Cyr
11H00-11H15 Pause café
11H15-12H45 Table ronde II : Les transformations des territoires
Présidente et discutante : Catherine Perron, CERI-Sciences Po
Luxury and poverty in post-socialist cities: Anthropological vignettes from the Balkans
Ger Duijzings, UCL School of Slavonic and East European Studies
Investissements étrangers et « capitalisme dépendant » dans les Balkans : quelles incidences sur les modèles de relations d’emploi ?
Violaine Delteil, Université Paris III
Intermingling ecologies: humans, animals and the reconfiguration of the rural postsocialist space
Stefan Dorondel, Francisc I. Rainer Institute of Anthropology Bucharest
12H45-14H15 Déjeuner
14H15-14H45 Key note speaker: The Relationship between Europe and the Balkans : What lessons from the Greek Crisis?
George Prevelakis, Université Paris 1-Sorbonne
14H45-16H00 Table ronde III : Mobilités et jeux d’échelles européens : les enjeux migratoires
Présidente et discutants : Catherine Wihtol de Wenden, CNRS/CERI-Sciences Po
Linking the East and the West of Europe: Romanian migration to Spain
Monica Şerban, Research Institute for the Quality of Life, Romanian Academy of Sciences
Contrôle des migrations et rétention administrative des étrangers en Roumanie
Bénédicte Michalon, CNRS-ADES
Visa liberalisation for the Western Balkans – five years on
Tobias Flessenkemper, Stiftung Wissenschaft und Politik/German Institute for International and Security Affairs, Berlin
16H00-16H15 Pause café
16H15-19H00 Table ronde IV : Les défis de l’intégration européenne et des futurs élargissements européens
Présidée et animée par Jacques Rupnik, CERI-Sciences Po
La table ronde sera précédée par une intervention de S. E. Ursula Plassnik, Ambassadeur d’Autriche en France
Christian Lequesne, directeur du CERI-Sciences Po
Vladimir Gligorov, Institut de recherches économiques (WIIW), Vienne
Mladen Lazic, Université de Belgrade
Dejan Jovic, Université de Zagreb
Lidyia Topic, Regional Cooperation Council, Bruxelles-Sarajevo
Pierre Mirel, Commission européenne, DG élargissement
Responsables scientifiques : Nadège Ragaru, CNRS/CERI-Sciences Po, et Jacques Rupnik, CERI-Sciences Po
CERI-56 rue Jacob, 75006 Paris / Salle des conférences
Entrée libre dans la limite des places disponibles.
Inscriptions au colloque « Engagements et tensions dans la rénovation urbaine » (25-26 janvier, Paris)
Organisé par l’UMR CNRS LAVUE (Laboratoire Architecture Ville Urbanisme Environnement) et Centre SUD (Situations Urbaines de Développement) avec le concours du BRAURP (Ministère de la Culture et communication), de la Mairie de Paris et de la Région Ile de France à Paris, ENSA – Paris Val de Seine, les 25 et 26 janvier 2013.
Ce colloque international a pour objectif d’appréhender la rénovation urbaine principalement selon quatre principaux questionnements : quelles sont les convergences entre les formes historiques de la rénovation et ses modalités actuelles, dans des contextes sociétaux et urbains pourtant très contrastés ? Les développements récents des métropoles mondiales dans les pays en développement amènent-ils à reconsidérer les formes d’action et de justification des acteurs engagés pour ou contre la rénovation urbaine ? Comment appréhender les tensions que la rénovation urbaine peut générer, sachant que la multiplication des projets s’inscrit dans un double processus de métropolisation et de privatisation de l’espace urbain ? Enfin, quelles sont les réponses publiques et civiques (formes d’engagement, de mobilisations sociales ou de médiation) apportées à ces situations ?
Deux jours de communications, table-rondes et conférences par des chercheurs, praticiens et professionnels de plusieurs pays européens et du reste du monde !
Vous trouverez ici la présentation détaillée du colloque et le programme, ainsi que les modalités de participation en français et en anglais.
Inscription avant le 17 janvier sur le site _colloqueru.wordpress.com_ <http://colloqueru.wordpress.com>/
L’inscription au colloque comprend la participation aux repas, elle est fixée à 15 € pour les étudiants et 50 € pour les professionnels, chercheurs, associatifs. Chômeurs ou questions spécifiques, contactez Bénédicte Dubiez à colloqueru@gmail.com