Call for Paper Tsantsa 20 : L’anthropologie et le tournant ontologique
Appel à contributions : Tsantsa 20/2015 : L’anthropologie et le tournant ontologique
Responsables du dossier:
Frédéric Keck (Laboratoire d’Anthropologie Sociale, CNRS/EHESS/Collège de France)
Saskia Walentowitz (Institut d’anthropologie sociale, Université de Berne)
Ursula Regehr (Institut d’anthropologie sociale, Université de Berne)
L’anthropologie et le tournant ontologique
À quoi ressemble une anthropologie qui ne place plus l’anthropos au centre du monde social ? Qu’est-ce qu’une science humaine fondée sur le constat que les humains et les non-humains se constituent mutuellement ? Comment penser la diversité des cultures si on ne la rapporte plus à l’aune d’une nature universelle ? Qu’est-ce que le social s’il n’est plus un domaine indépendant ? Le dossier thématique du numéro 20 de la revue TSANTSA sera consacré aux renouvellements suscités par le « tournant ontologique » dans la discipline.
Par un changement de paradigme, voire une révolution silencieuse, l’anthropologie abandonne ses dualismes fondateurs. La dichotomie entre « nature » et « culture » est ébranlée par l’étude de cosmologies qui postulent l’existence d’une pluralité des « natures » et le partage d’une même «culture » avec d’autres formes de vie, choses ou artefacts. Le multiculturalisme occidental apparaît dès lors comme une possibilité parmi d’autres d’instaurer des collectifs. L’unité de la « nature » n’y est obtenue qu’au prix d’un travail, notamment par l’activité scientifique, qui départage sans cesse l’humain comme seul sujet connaissant du reste du monde peuplé de choses connues.
La décentralisation de l’anthropos a des implications profondes pour la constitution des objets de recherche, les méthodes d’investigation, le geste analytique et les formes de restitution. L’anthropologie se symétrise en attestant de la force d’agir des non-humains sans préjuger de leur statut ontologique entre « sujets » et « objets ». Elle prend les matières au sérieux, sans les réduire à des substrats de l’action ou de la pensée symbolique. Elle privilégie la description des multiples compositions de mondes communs plutôt que leur interprétation savante. En quittant ainsi les fondements constitutifs de la discipline, une nouvelle anthropologie comparative s’esquisse.
Au sein de ce projet comparatif, les approches diffèrent nécessairement. Le terme « ontologie » foisonne avec des acceptions diverses dans les analyses pionnières conçues à partir d’horizons disciplinaires et de lieux ethnographiques variés : anthropologie de la nature, ethnographie multi- espèces, philosophie empirique, anthropologie des sciences et des technologies, sémiotiques matérielles, archéologie symétrique, phénoménographie, anthropologie récursive… Sans appeler à une unification de ces approches, le dossier de TSANTSA 20 souhaite réunir des articles originaux qui
puisent librement dans ces répertoires hétérogènes. Qu’inspire une ethnographie perspectiviste en Amazonie à une étude sur la biosécurité en Asie et inversement ? Comment une anthropologie de la nature multiple en Europe modifie-t-elle l’analyse de la globalisation des standards relatifs à la santé ou à la biodiversité ? Que deviennent les concepts anthropologiques quand il n’y a plus lieu de distinguer entre l’idéel et le matériel? Que peut apporter une anthropologie des sciences pour faire parler les non-humains dans des analyses d’interactions autres que scientifiques ? À l’inverse, comment étendre la communication multi-espèces aux études sur les mondes technoscientifiques où prolifèrent des entités nouvelles ?
Nous recherchons pour ce dossier thématique des textes qui font circuler et résonner les différentes voies explorées par les recherches qui instaurent le tournant ontologique. Nous sollicitons des réflexions qui concernent non seulement les potentiels, mais aussi les risques d’un tel décentrage de l’anthropos et de l’anthropologie. Comment une science humaine qui se veut désormais non anthropocentrique peut-elle être critique des nouvelles formes d’exploitationdes ressources humaines et non-humaines ? Que nous apprend-elle sur les multiples asymétries, y compris entre les genres, question qui semble peut abordée jusqu’ici ? Favorise-t-elle le postulat de l’incommensurabilité ou, au contraire, ouvre-t-elle la voie à de nouvelles réciprocités face aux défis contemporains ?
Langues: allemand, français ou anglais
Résumés: 500 mots comprenant titre, résumé de l’argument, nature du corpus et des indications précises concernant la méthodologie ; notice biographique comprenant la discipline et le statut professionnel de l’auteur-e, à envoyer jusqu’au 31 janvier 2014, à saskia.walentowitz (at) anthro.unibe.ch
Article: Longueur de l’article: 40’000 signes (espaces et bibliographie compris)
En cas d’acceptation, prière de joindre à votre article :
– Bref résumé (max. 500 signes, si possible en anglais, sinon dans la langue de votre article)
– 4 – 6 mots-clés
– Informations personnelles et coordonnées de contact (domicile ou institution, téléphone, courriel).
Des directives complémentaires peuvent être téléchargées en cliquant sur le lien suivant :
http://www.seg-sse.ch/pdf/directives_Tsantsa.pdf
Calendrier:
31 janvier 2014 : Réception des résumés.
28 février 2014 : Notification aux auteur-e-s retenu-e-s par le comité de rédaction.
30 juin 2014 : Réception du texte (max. 40’000 signes, espaces compris) soumis à double évaluation anonyme (comité de lecture et experts externes).
1 octobre 2014 : Communication des évaluations aux auteur-e-s.
5 janvier 2015 : Réception des versions définitives pour édition.
Mai 2015 : Publication du numéro 20 de TSANTSA
APPEL A COMMUNICATION / CALL FOR PAPERS – Enquêtes collectives (25-27 juin 2014 Dijon France)
APPEL A COMMUNICATION / CALL FOR PAPERS – Enquêtes collectives (25-27 juin 2014 Dijon France)
*Le CESAER et la MSH de Dijon organisent un colloque (25-27 juin 2014 à Dijon) sur le thème des *enquêtes collectives en sciences sociales**,* qui s’adresse à l’ensemble des chercheurs en sciences humaines et sociales. Vous trouverez l’appel à communication en pièce jointe en anglais et en français.
Si le redéploiement des enquêtes collectives est inséparable de l’évolution du contexte institutionnel et financier de la recherche dans les dernières décennies, ce colloque vise d’abord à réunir des retours d’expériences contemporaines et des travaux d’histoire des sciences sociales relatifs aux enquêtes collectives. Il s’agit de cerner les évolutions épistémologiques et scientifiques qui se font jour dans les pratiques collectives de la recherche.
Trois axes sont privilégiés :
*1**Histoire des enquêtes collectives*
*2**Les enquêtes collectives contemporaines*
*3**Revisite, archivage et mutualisation des données*
Plus de renseignements sur
https://colloque.inra.fr/enquetes_collectives
Les propositions de communication (résumé de 3000 mots, en français ou en anglais) sont à poster avant *le 15 février 2014*sur le site https://colloque.inra.fr/enquetes_collectives
Faites bien attention à valider votre soumission et pas laisser le texte en « brouillon »
Pour tout renseignement, contactezCorinne Dasen (enquetes.collectives@dijon.inra.fr <mailto:enquetes.collectives@dijon.inra.fr>).
**CALL FOR PAPERS / APPEL A COMMUNICATION – Collective Research (25-27 june 2014 Dijon France)* *
CESAER and the Dijon /Maison des Sciences de l’Homme/ (MSH) are organizing a conference on the theme * »Collective research in the
social sciences »*. It is addressed to all researchers in the human and social sciences. Call for papers (french and english in attached file.
The recent return of collective research is inseparable from developments in the institutional and financial context of research over recent decades. This conference will assemble contributions concerning collective research from contemporary research experiences and the history of the social sciences to better identify the epistemological and scientific developments that emerge from collective research practices.
Three themes are highlighted at this time:
*1****The history of collective research*
*2****Contemporary collective research *
*3****Revisits, archiving, and sharing data*
Call for paper on https://colloque.inra.fr/enquetes_collectives
Paper proposals (up to 3000 characters, in French or English) should be post to by *february **15, 2014* at https://colloque.inra.fr/enquetes_collectives
Appel à Communication – Journée des Jeunes Chercheurs de l’Institut de Géographie 2014
Appel À Communication
Journée des Jeunes Chercheurs de l?Institut de Géographie de Paris (JIG), 10 avril 2014
https://sites.google.com/site/journeeigparis/home
*Crise(s) ?*
Dysfonctionnements territoriaux ou facteurs de production de l’espace ?
Volcan islandais ou tsunami en Indonésie, changements climatiques ou émeutes de la faim, crise grecque ou mouvement *Occupy*,
désindustrialisation ou décroissance urbaine, émeutes des banlieues ou révolutions arabes : dans les médias ou les discours politiques, tout
semble désormais être crises. S’agit-il des symptômes de véritables crises économiques, sociales, écologiques, ou bien d’épiphénomènes ? Ce constat interroge d’une part la définition de la notion de crise, en particulier dans son articulation au territoire, et d’autre part la polysémie du terme.
Souvent restreinte à une acception économique, dans son sens courant, la notion de crise se caractérise comme une manifestation brusque et intense
de phénomènes. Il s’agit d’un moment de doute ou de remise en cause en lien avec des dysfonctionnements au sein de systèmes stables, à l’instar de la dette des pays africains dans les années 1980. Ces périodes d’incertitude constituent des transitions entre un état de dégradation et une situation ultérieure, offrant ainsi des opportunités de recompositions et d’élaborations d’alternatives comme cela commence à être observé par
exemple dans le cas de l’agriculture urbaine en Grèce ou dans les villes américaines en décroissance. En tant que ruptures dans les continuum
sociaux, les crises sont des phénomènes courts et intenses qui qualifient des espaces et des territoires. Aussi, comment interroger cette notion en
science sociale et plus particulièrement en géographie ?
Qu’elles soient comprises comme des phénomènes économiques, sociaux ou politiques, les crises sont éminemment géographiques. Où sont-elles ? Quels sont leurs déploiements et leurs logiques spatiales ? Quels sont les facteurs qui en sont à l?origine et quelles recompositions
entraînent-elles ? La dimension géographique n’apparaît souvent que dans une posture déterministe (aléas naturels, accidents technologiques,
malthusianisme) ou comme élément de contexte. Toutefois, les crises constituent des transitions durant lesquelles interviennent des processus
et des acteurs qui contribuent à (dés/ré)organiser les espaces et les territoires, et qui sont à l’origine de blocages sociaux. S’intéresser aux
crises revient également à comprendre comment se produisent ces transitions qui mettent en jeu la capacité des sociétés à gérer et à s’adapter à des
évènements courts et intenses. Les questions posées sont donc aussi bien celles des espaces, des échelles et des types de crises, que celles des
dynamiques, des modes d’évaluation, de perception et de gestion de ces dernières.
La notion de crise apparaît comme une clé d’analyse géographique pertinente par la mise en relation des dimensions spatiales et temporelles des
sociétés. En effet, les crises peuvent être saisies comme une échelle spatio-temporelle aussi spécifique qu’exceptionnelle, par laquelle les
rapports sociaux et de pouvoir, les pratiques, les liens et les échanges, s’organisent selon des formes singulières. Les crises contribuent à
produire de nouveaux espaces à travers les dysfonctionnements qu’elles cristallisent dans une temporalité courte. Dans cette perspective, la
valeur heuristique de la notion de crise semble évidente car elle permet de délimiter des espaces qui n?existent pas autrement.
Enfin, les crises ne sauraient être saisies sans la prise en compte de différentes échelles : ne sont-elles pas des marqueurs ou des symptômes
d’enjeux à des échelles plus locales ou globales ? Ainsi, les émeutes de la faim sont en partie les stigmates de dysfonctionnements liés à des logiques
insérées dans le processus de mondialisation. Inversement, la crise des *subprimes* aux Etats-Unis a eu des conséquences planétaires, tout en étant
le résultat de processus spéculatifs généraux. Les crises apparaissent alors comme des articulations éphémères, mais non moins importantes, entre
des faits situés à l’échelle macro-géographique et des déclinaisons particulières et locales. L’intérêt scientifique de cette notion serait d’améliorer notre compréhension de l’espace des sociétés. La notion de crise est donc un concept opérationnel innovant et pertinent pour la compréhension d?un monde en mouvement dans ses dimensions temporelle, sociale, spatiale (et donc scalaire), tout en demeurant un objet géographique complexe dont les fondements sont à construire.
L’objectif de cette journée sera donc d’interroger la crise en tant qu’objet scientifique en géographie. Dans quels cas cette notion est
mobilisée et dans quelle mesure se révèle-t-elle pertinente ? La crise est-elle un simple dysfonctionnement d’un système ou bien peut-elle être
productrice d’espace ? Plus généralement, que permet-elle de dire sur les espaces et les territoires ? Quelles sont les limites et les apports de cette
grille d’analyse ?
L’appel est ouvert aux approches théoriques comme aux études empiriques (études de cas, comparaisons) qui mobilisent la notion de crise. Les
propositions de communication pourront s?inscrire dans l?un ou plusieurs de ces différents axes de réflexion :
· *Les approches théoriques* des crises et la manière dont elles sont interrogées, avec en particulier la question des définitions des échelles
spatiales et des bornes temporelles.
· *Les méthodes privilégiées* et les obstacles à la mesure quantitative ou qualitative des crises, en particulier sur un terrain en crise (données,
enquêtes).
· *Les crises dans les différentes régions du monde*, aux échelles locales, régionales ou globales, et leurs articulations.
· *Les logiques et les dimensions spatiales des crises*, entre étendue, processus de diffusion et emboitements d’échelles.
· *Les crises en tant qu?objets dynamiques*, dont *les facteurs* impliquent en retour des recompositions, des transformations, entre un avant et un
après,
· *Les acteurs des crises et leurs interactions*, interrogeant à la fois les conséquences (populations touchées, perceptions) et *la gestion* de ces
moments exceptionnels (prévention, mobilisation, réactions).
*Propositions de communications*
L’appel à communication s’adresse à l’ensemble des jeunes chercheurs (Master, Doctorants, Post-doctorants), s’intéressant à l’étude de l’espace
en géographie comme dans d’autres sciences humaines et sociales. Avec l’accord des participants, les versions écrites des présentations pourront
faire l’objet d’une publication sur le site du colloque.
*Modalités de participation*
Trois formes de communication (individuelle ou collective) sont possibles :
· Une présentation orale de 20mn, suivie des questions de l’assemblée.
· Un poster scientifique. Ils seront exposés toute la semaine de la JIG et feront l’objet du concours de poster de l’École Doctorale de Géographie de
Paris.
· Un court métrage (documentaire) en rapport avec la thématique proposée.
*Envoi des propositions de communication orale*
Les propositions doivent respecter les conditions suivantes :
· Indiquer le titre de la communication et une liste de 5 mots-clés maximum.
· Indiquer le nom et les coordonnées de(s) auteur(s) (e-mail, n° de téléphone), adresse postale, et organisme de rattachement (université et
unité de recherche).
· Fournir un résumé de la communication d’une page maximum, police 12, Times New Roman.
· Indiquer les axes principaux auxquels se rattache la communication en tête de proposition.
Les propositions doivent être envoyées avant le *lundi 3 Février 2014*inclus à l’adresse suivante doctorants.edparis@gmail.com.
*Envoi des propositions de posters*
Les propositions de posters sont à envoyer par mail à Chantal Béranger avant le *31 Mars 2014* : Chantal.Beranger@paris-sorbonne.fr.
Les modalités complètes sont présentées sur le site de l’École doctorale de géographie de Paris :
http://ed-geographie-paris.univ-paris1.fr/concours-de-posters-scientifiques-0
*La Journée des jeunes chercheurs de l’Institut de Géographie de Paris (JIG) aura lieu le 10 avril 2013, dans l’Amphithéâtre Emmanuel De Martonne, à l’Institut de Géographie, 191 rue Saint Jacques 75005 PARIS.*
*Comité d?organisation :*
Solène BAFFI – Univ. Panthéon Sorbonne ? Paris 1
Emmanuel CHAUVIN – Univ. Panthéon-Sorbonne ? Paris 1
Clémentine COTTINEAU – Univ. Panthéon-Sorbonne ? Paris 1
Sylvestre DUROUDIER – Univ. Paris Diderot ? Paris 7
Jack KEILO – Univ. Paris Sorbonne ? Paris IV
Guillaume SAULOUP – Univ. Panthéon-Sorbonne ? Paris 1
Etienne TOUREILLE – Univ. Paris Diderot ? Paris 7
Site internet de la JIG : https://sites.google.com/site/journeeigparis/home
Site de l?Ecole Doctorale : http://ed-geographie-paris.univ-paris1.fr/
Contact des organisateurs : doctorants.edparis@gmail.com
Appel à contributions: Actions publiques urbaines dans les suds : trajectoires et ajustements
Les textes devront être soumis
au 30 septembre 2014
et seront sélectionnés selon la procédure d’évaluation habituelle de la revue Géocarrefour
Appel à articles Genre et Alimentation
Veuillez trouver ci joint un appel à articles pour un numéro du Journal des anthropologues sur « genre et alimentation »
Call for paper JDA Gender and food_reluJH
Appel JDA Genre et alimentation VF
ADLAF : Call for Papers Naturalezas globalizadas – perspectivas latinoamericanas
Call for Papers ADLAF – Asociación Alemana de Investigación sobre América Latina
Congreso Anual 2014
Naturalezas globalizadas – perspectivas latinoamericanas
Del 26 al 28 Junio 2014
Fundación Konrad Adenauer, Berlín, Academia de la Fundación Konrad Adenauer, Tiergartenstraße 35
La Asociación Alemana de Investigación sobre América Latina invita a presentar ponencias para cuatro Mesas de Trabajo en el marco de su congreso anual interdisciplinario. Los resúmenes (de hasta 200 palabras), acompañados de breves datos sobre su autor o autora (hasta 500 caracteres), deberán ser enviados antes del 15.01.2014 a la dirección de correo electrónico: adlaf@giga-hamburg.de.
Dentro del marco del congreso se ofrece a los investigadores junior la oportunidad de presentar sus proyectos científicos en modalidad póster. Más informaciones al respecto se publicarán próximamente.
Appel communications / Femmes et accès à la justice en Afrique
UMR 5115 « Les Afriques dans le monde » Sciences Po Bordeaux 11 allée Ausone F–33607 PESSAC CEDEX Tél. +33 (0)5 56 84 43 11 Fax. +33 (0)5 56 84 43 24 c.andren@sciencespobordeaux.fr www.lam.sciencespobordeaux.fr
Appel à candidature 2014 – Fonds Louis Dumont d’aide à la recherche en anthropologie sociale
Appel à candidature 2014 – Fonds Louis Dumont d’aide à la recherche en anthropologie sociale
Le Fonds Louis Dumont a été créé en 1988, et offre chaque année une aide temporaire à un chercheur débutant, en anthropologie sociale. Il est géré par la Fondation Maison des sciences de l’homme et s’adresse à de jeunes chercheurs sans condition de nationalité mais obligatoirement basés en France.
Trois points sont à souligner :
- Il s’agit exclusivement d’anthropologie sociale, ce qui impose particulièrement au débutant une perspective monographique.
- On n’est pas chercheur avant d’avoir étudié, la formation à l’anthropologie est essentielle.
- Le Fonds apporte un complément de ressources au lauréat, en participant à ses frais de voyage(s) et / ou de séjour sur le terrain.
Informations soumission article RTM
la Revue Tiers Monde soumet à débat, devant son Comité de rédaction, toutes les propositions de dossiers thématiques qui sont envoyées spontanément à la rédaction. Ces propositions de dossiers doivent prendre la forme d’un appel à contribution. Les modalités pratiques de soumission d’un projet sont détaillées dans le document « Soumission de dossiers thématiques » ci-joint.
Pour mémoire, nous vous joignons également les « Recommandations aux auteurs » pour la rédaction d’un article, que ce soit dans le cadre d’un dossier ou d’un envoi spontané à la revue. Pour mémoire, nous rappelons également que la Revue Tiers Monde soumet à évaluation de son Comité de lecture, tous les articles spontanément envoyés à la rédaction.
RTM recom aux auteurs 2012
RTM recom aux auteurs 2012
Soumission de dossiers thématiques RTM
Soumission de dossiers thématiques RTM
Appel à communication – journée d’études sur les foyers
Veuillez trouver ci-joint un appel à communications pour une journée d’études intitulée « Retours sur les foyers africains. Nouvelles perspectives scientifiques et méthodologiques », qui aura lieu le 21 mai 2014 à l’EHESS à Paris.
CFP Foyers