Formation « en leadership et management au féminin » (4 au 15 mars Paris)
L’Ecole nationale d’administration propose une formation « en leadership et management au féminin » dans le cadre des cycles internationaux spécialisés d’administration publique (CISAP) de 2013.
La formation aura lieu à Paris du 4 au 15 mars 2013. Elle s’adresse à des femmes francophones ou qui parlent français, en position de responsabilité ou candidates à des postes décisionnels dans les sphères politiques, économiques, administratives ou dans le secteur non lucratif , hauts fonctionnaires, cadres d’entreprises publiques ou privées, responsables d’organisations internationales ou d’ONG.
Les candidates étrangères peuvent faire une demande de bourse auprès des Ambassades françaises dans leur pays de résidence.
Appel à candidatures : Prix d’histoire sociale Fondation Mattei Dogan/FMSH 2013
APPEL A CANDIDATURES 2013
Prix d’Histoire Sociale Fondation Mattei Dogan
Fondation Maison des Sciences de l’Homme
Prix attribué à une thèse de doctorat de haut niveau traitant d’un sujet d’histoire sociale, dans le sens le plus large du terme, du XIXe au XXIe siècle, et portant sur la France ou l’étranger.
Modalités d’attribution :
Le prix récompense une thèse de doctorat soutenue dans un établissement d’enseignement supérieur français (seul ou en cotutelle)
durant les deux années précédant l?année d?attribution. Pour l’édition 2011, la thèse devra avoir été soutenue entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2012.
Montant :
Le montant du prix est de 2000 euros.
Constitution du dossier (Les dossiers doivent être impérativement soumis par voie électronique et postale) :
Voie postale et électronique:
§ un résumé de la thèse
§ le rapport du jury de thèse
§ le curriculum vitae du candidat
Voie postale :
§ un exemplaire de la thèse papier et cd (pdf)
Envoi du dossier :
Les dossiers doivent être arrivés le 17 mars 2013 dernier délai, à l’adresse suivante :
Fondation
Maison des Sciences de l’Homme
Prix d’Histoire Sociale
Cécile d’Albis, bureau 328
190, avenue de France
75013 Paris,
France
Et par email à : cecile.dalbis@msh-paris.fr
La date-limite de dépôt des dossiers est le 17 mars 2013.
La lettre de l’Iddri – janvier 2013
Le Groupe des vingt économies les plus riches du monde, le G20, fournit un cadre de discussion informel aux chefs d’État pour traiter des grands problèmes de l’économie mondiale. Longtemps critiqué pour son conservatisme et l’exclusion du monde en développement, le groupe des six, créé en 1975, s’est élargi à plusieurs reprises avant d’institutionnaliser le G20 en 2008. Ce passage du G8 au G20 témoigne du déplacement du centre de gravité de l’économie mondiale vers les pays émergents et l’Asie notamment. La représentativité du processus s’en trouve également élargie : les pays membres du G20 représentent aujourd’hui plus des deux tiers de la population mondiale, contre moins d’un sixième pour le G8 avant 2008. Pour autant, l’heure des premiers bilans sonne aujourd’hui, après 5 ans d’activité. Le G20 doit, comme le G8, répondre de sa capacité à transformer les économies et surmonter les défis globaux qu’il place au cœur de ses missions, année après année.
Anticipant cet impératif de résultat qui pourrait lui être rappelé, le G20 s’équipe aujourd’hui de nouvelles capacités intellectuelles. Pour la deuxième fois dans le cadre de ses négociations, des think tanks des pays membres sont rassemblés à l’initiative du pays organisateur au sein d’un forum de discussion chargé de proposer des idées neuves. Appelé Think 20 (T20), ce forum fait partie d’un nouveau réseau d’acteurs qui inclut le Civil 20 (ONG), le Business 20 (patronat), le Labour 20 (syndicats) et le Youth 20 (jeunesse). Selon les membres de la troïka (organisateurs mexicains, russes et australiens des précédent, actuel et prochain sommets), l’objet du G20 n’est plus seulement de produire des accords politiques au gré des rapports de force, mais également des idées.
À la demande du ministère des Affaires étrangères, l’Iddri a participé au T20 de Moscou en décembre 2012, aux côtés de l’Institut français des relations internationales (IFRI), du Centre d’études prospectives et d’informations internationales (CEPII) et de Terra Nova. L’agenda, qui reprenait le programme des discussions officielles du G20 dans le cadre de la présidence russe en septembre 2013, comportait trois piliers : les déséquilibres macroéconomiques mondiaux ; les questions commerciales et d’investissement ; et le développement durable.
Les discussions au sein du forum ont permis aux think tanks des vingt pays membres de dresser un constat partagé sur la crise financière, résultat non seulement d’un déficit de régulation du secteur financier mais aussi de déséquilibres structurels sur les marchés des biens et des capitaux. Sur le commerce, la plupart des think tanks se sont prononcés pour la poursuite de la libéralisation commerciale, perçue comme un moteur de la croissance et pour la conclusion d’un accord global sur les investissements à l’étranger. Il a été souligné que les États doivent aussi préparer le long terme et, au-delà de la consolidation budgétaire à court terme, s’attaquer aux déséquilibres macroéconomiques structurels.
Sur ces questions de long terme, l’Iddri a regretté que le lien n’ait pas été établi entre les crises environnementales et la macroéconomie. La discussion sur la crise économique accorde une place encore trop faible à la déstabilisation des modèles de croissance causée par l’épuisement des ressources naturelles. Inversement, la discussion sur le développement durable manque d’analyse macroéconomique, même si aujourd’hui émergent de nouveaux modèles industriels et commerciaux autour des technologies vertes.
L’Iddri a aussi mis en avant la nécessité d’approfondir les discussions sur l’objectif de retour de la croissance, étendard du G20. En effet, les perspectives de croissance dans l’OCDE et la résilience des économies émergentes en particulier soulèvent des questions encore trop peu abordées : dans l’hypothèse d’une baisse structurelle des taux de croissance dans les pays les plus riches, quelles en seraient les implications sur le contrat social et plus largement, sur la société ? L’objectif de maximisation du PIB conserve-t-il sa pertinence ? Autant de questions qui structurent le programme sur la « nouvelle prospérité » lancé par l’Iddri en septembre 2012.
À l’issue du T20 de Moscou, une série de recommandations a été soumise à la présidence russe et aux « sherpas » (conseillers des chefs d’État). Ces recommandations reflètent différents points de vue sur les trois piliers mis à l’agenda, mais ne constituent pas une position commune des think tanks ni ne font apparaître les points de divergence entre instituts ou régions représentés. Les divergences pour autant sont au moins aussi intéressantes que les points de convergence, car elles offrent des pistes de réflexion et d’arbitrage dans lesquels les politiques peuvent s’immiscer. Les bonnes idées ne sont pas toujours d’emblée les plus consensuelles. Le processus de consultation que constitue le T20 reste donc perfectible, si le souhait persiste d’en faire une boîte à idées plus efficace et plus transparente pour les G20 futurs. Une discussion organisée sur plusieurs mois entre les instituts participants et en lien avec les autres réseaux d’acteurs, autour de textes précis (comme le font les sherpas), permettrait aux think tanks d’aboutir à des propositions plus novatrices et plus opérationnelles.
Le G20 a entamé une mue intellectuelle. Pour accompagner cette rénovation, l’Iddri travaillera à la fois sur les sujets mis à l’agenda et sur le processus, en poursuivant ses travaux sur les nouveaux modèles de croissance et en œuvrant à la mise en place d’une plate-forme d’échange entre think tanks en vue des prochains sommets, à Saint Petersburg en septembre 2013 et en Australie en 2014.
ÉVÉNEMENTS
Mercredi 23 janvier, à Berlin (Allemagne) – Expert dialogue on energy efficiency: how to combine incentives and regulation?, un atelier d’experts organisé par l’Iddri et l’Institute for Advanced Sustainability Studies (IASS Potsdam).
Ce dialogue d’experts franco-allemand sur l’efficacité énergétique s’inscrit dans le cadre d’une réflexion sur les enjeux de la transition énergétique. Il a pour vocation de renforcer l’échange d’expériences entre les stratégies et modèles français et allemands, ainsi qu’au niveau européen.
Vendredi 25 janvier – Citizen participation in environmental governance, une session du séminaire développement durable et économie de l’environnement (SDDEE), animée par Lars Kluver.
Qu’apporte la participation de la société civile aux négociations internationales sur le développement durable en matière de processus de décision politique ? Peut-on en décrire les effets empiriques ? Et que peut-on attendre de tels processus ?
Lundi 28-Jeudi 31 janvier, à Tokyo (Japon) – Earth System Governance Tokyo Conference, une conférence internationale dont l’Iddri est partenaire, organisée dans le cadre du Earth System Governance Project.
L’Iddri intervient dans plusieurs sessions et tables rondes lors de cette conférence internationale consacrée aux questions de gouvernance de l’environnement. Qui « gouverne » l’environnement mondial ? Selon quels « arrangements » et procédures ? Quelles sont les échelles de gouvernance les plus efficaces, dans quels contextes ?
Vendredi 1er février, à Montpellier – Eau, énergies, terres, emplois. Quelles ressources pour nourrir les villes ?, un colloque international dont l’Iddri est partenaire, organisé par la Chaire Alimentations du monde de l’Unesco.
Comment nourrir des populations urbaines toujours plus importantes tout en conservant des objectifs de développement durable ? Ce colloque s’intéressera à ce défi majeur, dont les dimensions — agricole, sociale et économique notamment — sont multiples, interconnectées et complexes.
Samedi 2 février, à New Delhi (Inde)- In-equalities and sustainable development, un événement organisé dans le cadre du Delhi Sustainable Development Summit.
Laurence Tubiana (Iddri), Remi Genevey (AFD) et Rajendra K. Pachauri (TERI) présentent la version anglaise de l’édition 2013 de Regards sur la Terre, l’annuel du développement durable, consacrée à la question des inégalités.
Mardi 5 février – Planifier la ville bas carbone, une session du séminaire développement durable et économie de l’environnement (SDDEE), animée par Mathieu Saujot et Eric Vidalenc.
Le potentiel énorme en économies d’énergie et d’émissions de CO2 que recèle l’immobilier, de logement ou professionnel, ne peut se réaliser que dans le cadre cohérent d’un urbanisme conçu dans cet esprit. Ambition difficile, mais pas insurmontable : c’est l’idée que développeront Mathieu Saujot et Eric Vidalenc dans cette session, en utilisant notamment le modèle transport-usage des sols Tranus, appliqué à la région urbaine de Grenoble, et ce pour différents scénarios prospectifs.
VIDÉOTHÈQUE
Mardi 18 décembre – Taking action against ocean acidification, une session du séminaire développement durable et économie de l’environnement (SDDEE), animée par Raphaël Billé, Jean-Pierre Gattuso et Ryan Kelly.
L’acidification des océans constitue aujourd’hui l’une des menaces les plus sérieuses pesant sur les écosystèmes et organismes marins. Toutefois, la recherche a jusqu’ici privilégié les implications écologiques et biogéochimiques de ce phénomène, au détriment d’une analyse des enjeux en termes de gestion et de politiques.
PUBLICATIONS
Sovereign Wealth Funds: opportunity or threat for the green economy?
E. Guérin. Working Paper.
Un article consacré aux fonds souverains. Quel est leur fonctionnement ? Quels sont leurs intérêts stratégiques ? Comment ciblent-ils leurs investissements, sur quels secteurs d’activités ? Et dans quelle mesure peuvent-ils contribuer à la transition vers une économie verte ?
Rio+20 Voluntary Commitments: delivering promises on sustainable development?
C. Ramstein. Working Paper.
Consacré au principe des engagements volontaires adopté lors de la Rio+20, cet article questionne la capacité de ces engagements, pris par différents types d’acteurs, à favoriser la définition et la mise en œuvre de politiques de développement durable, et à initier un nouveau modèle de gouvernance internationale.
Changement climatique : tous vulnérables ?
A. Magnan.
Alexandre Magnan publie aux Éditions Rue d’Ulm un ouvrage consacré à la vulnérabilité et aux possibles stratégies d’adaptation au changement climatique : Changement climatique : tous vulnérables ? Il a par ailleurs contribué en tant qu’auteur au rapport Les outre-mer face au défi du changement climatique de l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique.
LA VIE DE L’IDDRI
Jean Jouzel, président de l’Iddri et vice-président du Giec, a reçu le prix Vetlesen, le « prix Nobel » des sciences de la Terre, décerné par le Lamont-Doherty Earth Observatory de l’université Columbia de New York. Le prix récompense les travaux de Jean Jouzel sur la reconstitution des grands changements climatiques à partir de l’analyse des glaces de l’Antarctique et du Groenland ; il récompense également les travaux de Susan Solomon sur les causes du trou dans la couche d’ozone en Antarctique.
L’Iddri a le plaisir d’accueillir Matthieu Brun au sein du programme Agriculture et alimentation, pour travaillera sur les questions de sécurité et de politiques alimentaires dans le cadre, entre autres, du projet européen Foodsecure.
L’Iddri accueille également Pierre Laboué au sein du programme Agriculture et alimentation pour une période de 4 mois pour travailler sur les questions de gestion de la ressource en eau.
Bulletin de liaison du réseau Rhône-Alpes d’appui à la coopération, janvier 2013
Vous pouvez retrouvez le nouveau bulletin de la RESACOOP à l’adresse suivante : http://www.resacoop.org/lettres_resacoop/lettres/bulletin72.pdf
Formations courtes en Rhône-Alpes
Vous êtes toujours plus nombreux à vouloir améliorer vos compétences dans le champ de la coopération et de la solidarité internationale. Aussi, cette rubrique est à votre disposition pour rechercher une formation courte en Rhône-Alpes soit par le nom de la structure, soit par la thématique qui vous intéresse.
Pour télécharger la plaquette de formation de RESACOOP : cliquez ici
DUKE University and DCID programs
Project Appraisal and Risk Management
This program is for people who design, select, negotiate, or finance projects, and for those who are interested in the financial, economic, and social impacts of these projects. It is of special interest to professionals in government ministries and public enterprises; banks (private and public) and financial institutions; investment analysis; international development agencies, individual and corporate investment; private management, engineering, and business consulting firms; public-private partnerships (PPPs); regulatory institutions; and international aid agencies.
Budgeting and Financial Management in the Public Sector
The program is designed for: budget analysts; administrators in the central ministries of finance and planning; administrators in state or provincial level ministries of finance and planning; officials in sector ministries; managers of public enterprises; professionals in aid agencies; economists; and accountants and auditors.
Fiscal Decentralization and Local Government Financial Management
The program has been specifically created for government officials, policy makers, program managers, politicians, and consultants dealing with decentralization and local government reforms. It is expected that participants will include central and local-level elected politicians, policymakers and administrators, economists, lawyers, finance managers, and public sector management specialists from central and local governments, line ministries, international agencies, NGOs, and research and training institutions.
Tax Analysis and Revenue Forcasting
This program has been especially created for: public-sector executives at mid- and upper-levels of management; officials in tax administration, ministries of finance, and any other revenue-raising agencies; professionals in multilateral and regional banks and other international organizations involved with fiscal affairs; private-sector professionals who are in a position to apply these concepts and techniques; and consultants providing assistance to decision makers in public and private sectors.
IDA : Appel à communications « Femmes dans les Amériques »
L’Institut des Amériques (IdA), en partenariat avec le Centre Aixois d’Etudes Romanes (CAER, AMU) et avec le soutien de SciencesPo Aix, du Laboratoire d’Etudes et de Recherche sur le Monde Anglophone (LERMA, AMU), du Laboratoire Interdisciplinaire de droit des médias et des mutations sociales (LID2MS, AMU) et du Centre d´Études Mexicaines et Centraméricaines CEMCA (CEMCA), propose, pour la 11e édition de son Congrès annuel, de réfléchir sur la thématique Femmes dans les Amériques. Il se tiendra du 4 au 6 décembre 2013 dans les locaux d’Aix-Marseille Université (Maison de la Recherche-Centre Schuman). Il se déroulera en français, en anglais et en espagnol et débouchera sur plusieurs publications à caractère international.
CONTACT : congresIdA2013@gmail.com
Si les travaux sur le genre et les femmes ont largement marqué les sciences humaines ces dernières décennies, il s’agira ici, cinquante ans après la publication de l’ouvrage fondateur de Betty Friedan, Feminine Mystique, de proposer une approche croisant les domaines disciplinaires et les aires culturelles à l’échelle du continent, dans une perspective épistémologique résolument comparatiste entre le Nord et le Sud des Amériques et/ou transaméricaniste. Ce Congrès s’attachera à analyser les permanences et les mutations des rôles, des représentations et identités des femmes dans les Amériques, ainsi que la spécificité de l’aire culturelle des Amériques dans le questionnement sur le genre. Cette démarche comparatiste et transaméricaine orientera les conférences plénières et les Axes thématiques.
Les propositions de communications sont à envoyer aux coordinateurs de chaque Axe, aux adresses électroniques mentionnées ci-dessous. Elles ne devront pas excéder 3000 caractères (espaces compris) et devront être accompagnées d?une synthèse (une page) du Curriculum Vitae. La date limite de réception des propositions de communications est le 1er avril 2013.
L’Axe Histoire : Femmes et émergence des féminismes dans les Amériques, XVIIIe et XXe siècles
Coordinatrice/Coordinateurs :
Claire Sorin (Aix-Marseille Université)
clairesorin@hotmail.com
Thomas Glesener (Aix-Marseille Université)
thomas.glesener@univ-amu.fr
Luc Capdevila (Université de Rennes 2)
luc.capdevila@gmail.com
Cet axe propose un regard comparatiste sur l’histoire et l?historiographie des femmes dans les Amériques à partir des époques coloniales. Il s’agira d’explorer, par delà les frontières et dans la durée, certains phénomènes propres à l’histoire des femmes, à la fabrique du genre et à la façon dont les processus mémoriels, qu’ils soient nationaux, religieux ou socio ethniques, ont pu façonner des représentations antagonistes des femmes. Parmi les champs ouverts à l’exploration, on peut citer : la place des femmes dans le développement des sociétés coloniales, leur rôle et leur statut paradoxal dans l’essor des jeunes républiques, le développement du concept de maternité républicaine et ses répercussions, la propagation d’un discours essentialiste et l’impact de la théorie des sphères séparées, le rôle des femmes dans les constructions/expansions nationales, dans les mouvements de réforme et les conflits, les problématiques de race, de classe et de religion, les voix antiféministes, la genèse et le développement des mouvements féministes et leur impact sur l’historiographie.
Ateliers :
1. Femmes dans les colonies.
2. Femmes dans les processus d?indépendance et de constructions nationales.
3. Féminismes.
4. Historiographie.
L’Axe Religions : Femmes et Religions
Coordinatrices/Coordinateur :
Blandine Chelini-Pont (Aix-Marseille Université)
blandine.chelini-pont@univ-amu.fr
Pierre Langeron (Sciences Po Aix)
langeron.pierre@wanadoo.fr
Florence Rochefort (GSRL)
florence.rochefort@wanadoo.fr
Malgré la dimension majoritairement critique et antireligieuse de la contestation féministe américaine des années 1960 et 1970, le champ religieux a été pour les femmes américaines du XXe siècle, un champ d?expérimentation, de contestations et d’innovations, beaucoup plus investi par elles que par les femmes d’Europe. De ce point de vue, la féminisation théologique, la féminisation du sacerdoce, dans les différentes Eglises chrétiennes, la « politique sociale » transcontinentale des congrégations religieuses féminines, la valorisation et l?autonomisation des femmes pauvres par les Eglises de conversion, la militance religieuse féminine contre les pouvoirs institués, la déforestation, la destruction des populations indigènes, l’altermondialisme féminin sont des formes politiques contemporaines de l?engagement religieux encore largement inexplorées. Cet axe se propose de réunir et de confronter les recherches en cours sur les deux Amériques.
Ateliers :
1. Féminisme et religion.
2. Contestations et innovations politiques et sociales.
3. Réseaux transcontinentaux.
L’Axe Cultures amérindiennes : Frontières et middle ground, les pratiques traditionnelles des femmes amérindiennes au contact de la modernité
Coordinatrice/Coordinateur :
Frédéric Saumade (Aix-Marseille Université)
saumade@yahoo.fr
Odina Benoist (Aix-Marseille Université)
odina.benoist@wanadoo.fr
Il s’agira d’observer et d’analyser le rôle et le statut des femmes dans les processus de recomposition culturelle qui résultent de la diffusion des éléments de modernité parmi les communautés indigènes, ou bien de l’émigration de ces communautés aux Etats-Unis ou en Europe. En quoi la femme, dont dépend naturellement la reproduction des groupes, participe-t-elle spécifiquement à la reproduction d’une culture qui se détermine dans la relation à l’altérité ? Comment les tâches et les représentations que lui assigne la tradition de son groupe s’adaptent-elles à la confrontation à l’altérité liée aux impondérables de la migration ou de la modernisation ? Et dans quelle mesure la femme peut-elle être considérée comme agent de la dynamique d’une tradition capable d?absorber les influences exogènes ? l’économie de marché, la technologie moderne, le travail salarié, les modes culturelles contemporaines etc. ? et d?en faire le principe même de la réactivation de cette tradition ? Comment le droit moderne traite les normes traditionnelles relatives aux femmes, et quelles conséquences s?ensuivent-elles ?
Ateliers :
1. Femmes amérindiennes, culture matérielle et rituel.
2. Femmes amérindiennes et justice.
3. Femmes amérindiennes, nature, culture et modernité.
L’Axe Migrations : Femmes en migration dans les Amériques
Coordinatrice :
Virginie Baby-Collin (Aix-Marseille Université)
virginie.baby-collin@univ-amu.fr
A la longue invisibilité féminine dans les processus migratoires à l’échelle historique, ont succédé des travaux récents montrant de quelle façon les femmes ont participé, et participent de plus en plus, aux mobilités internes comme internationales. Leurs profils se sont diversifiés : en termes de générations, de niveaux de qualification et d’emploi exercé (avec une importance particulière des emplois liés à l?économie du care), de motivations, de configurations familiales. Les origines et les destinations des flux se sont complexifiés, des échelles nationales aux mobilités et circulations internationales, entre pays latino-américains, entre Amérique latine et Amérique du nord, mais aussi d?autres régions du monde vers les Amériques.
Ateliers :
1. La mesure et la caractérisation de la migration des femmes dans les Amériques.
2. L’enjeu de l’emploi féminin des migrantes.
3. Femmes et reconfigurations familiales transnationales.
4. La migration féminine comme source d’empowerment et mode d’agency ou bien simple maillon d’une chaîne de développement inégal caractéristique du capitalisme global dans la mondialisation.
L’Axe Monde du Travail : Les femmes et le monde du travail dans les Amériques
Coordinatrice/Coordinateur :
Gérard Gómez (Aix-Marseille Université)
gerardgomez62@free.fr
Donna Kesselman (Université Paris Est Créteil (UPEC)
dkessel11@gmail.com
Bien que l’on ressente encore les méfaits de la crise économique mondiale sur l’ensemble du continent américain, la hausse de la participation des femmes au marché du travail a été très significative depuis quelques années. Il convient néanmoins de souligner qu’elles endossent encore la majeure partie du travail précaire ou non rétribué et malgré les réformes mises en place en matière d’évolution professionnelle, des inégalités considérables persistent. La dimension genrée du secteur informel est à revisiter, d’autant plus que ce dernier n’est plus l’apanage du Sud, notamment chez les femmes immigrées au Nord. Si leur présence dans certains secteurs d’activité s’est beaucoup renforcée, comme le nombre de femmes assumant des fonctions à responsabilité, ainsi que des estimations prévoyant des mesures positives pour encourager la parité ou l’égalité de traitement homme-femme, le paradigme émergeant de l’Etat social minimaliste pèse en premier lieu sur la vie familiale et donc, sur les femmes. A travers un regard transaméricaniste et gardant une optique comparatiste Nord-Sud, cet Axe sera divisé en plusieurs ateliers.
Ateliers :
1. Entre marché de l’emploi et crise financière.
2. La discrimination envers les femmes dans le monde du travail.
3. L’action positive envers les femmes dans le monde du travail.
4. Évolution de l’Etat, de la femme et de la famille.
L’Axe Relations internationales et Politique : Femmes et pouvoir politique, femmes et relations internationales?
Coordinatrice/Coordinateurs :
Isabelle Vagnoux (Aix-Marseille Université)
isabelle.vagnoux@univ-amu.fr
David Garibay (Université de Lyon 2)
david.garibay@univ-lyon2.fr
Daniel van Eeuwen (Sciences Po Aix)
daniel.vaneeuwen@live.fr
Cet axe s’attachera à analyser l?évolution des femmes des Amériques en politique et dans les relations internationales, les progrès substantiels de ces dernières décennies mais aussi les défis qui demeurent et l’instrumentalisation politique des femmes. Les ateliers auront vocation à intégrer une dimension comparatiste, notamment entre le nord et le sud des Amériques.
Ateliers :
1. Luttes pour la représentation politique.
2. L’empowerment et les stratégies de campagne.
3. Femmes et pouvoir politique
4. Premières dames.
5. Évolution et rôle des femmes dans la diplomatie des pays des Amériques, qu?elles soient acteurs, acteurs par procuration, ou bien objet d’une politique.
L’Axe Littérature : Femmes écrivains et imaginaire des Amériques au XXIe siècle
Coordinatrice/Coordinateur :
Dante Barrientos (Aix-Marseille Université)
dante.barrientos-tecun@univ-provence.fr
Anne Reynes-Delobel (Aix-Marseille Université)
anne.reynes@wanadoo.fr
Le thème du congrès donne l’opportunité de mettre l?accent sur les stratégies d?écriture mises en œuvre par des écrivaines et poètes issues de diverses sphères historiques, culturelles et spatiales afin d’interroger les notions d?identité et d’espace, de reconfigurer les relations sociales, de faire émerger des positions esthétiques, éthiques et politiques originales, de revisiter les liens à la corporéité et le rapport à la mémoire, et, de manière générale, de se situer par rapport aux discours dominants de leurs pays. Trois ateliers déclineront des thématiques particulières dans un cadre temporel plus ou moins large, qui peut comprendre de l’époque coloniale à l’actualité. Le premier s’intéressera à la notion « d’écritures féminines transnationales » et cherchera à mesurer l’apport des recherches récentes à sa conceptualisation. On pourra s’interroger sur l’impact des phénomènes migratoires et de la mémoire dans les stratégies d’écritures. Le deuxième examinera les écritures du corps dans leur relation duelle à la subjectivité et à la communauté. Le troisième posera la question des écritures féminines aujourd’hui en termes de nouvelles tendances et de nouveaux genres.
Ateliers:
1. Dimensions esthétiques, sociales et politiques des écritures féminines transnationales.
2. Subjectivité, identité, communauté: écritures du désir, du corps et de la corporéité.
3. Ecriture(s) féminine(s) aujourd’hui: nouvelles tendances, nouveaux genres.
L’Axe Arts : Pratiques artistiques novatrices au féminin pluriel
Coordinateurs :
Norbert Rouland (Aix-Marseille Université)
norbert.rouland@wanadoo.fr
Alvar de la Llosa (Université de Lyon 2)
Alvar.DeLaLlosa@univ-lyon2.fr
André Muraire (Université de Nice)
muraire.andre@wanadoo.fr
Ces ateliers exploreront la façon dont les artistes femmes à travers les Amériques contribuent à écrire l?histoire de l?art contemporain dans le domaine des arts visuels, du théâtre et de la danse. Au vu des manifestations récemment organisées par les plus grandes institutions (elles@centrepompidou, mai 2009-février 2011, Art Institutions and Feminist Politics Now?, MoMA juin 2010, « Arts and the Feminist Revolution » MOCA mai-juillet 2007), on pourra s?interroger sur la spécificité des pratiques féminines artistiques contemporaines en relation avec les thèmes proposés par les divers Ateliers.
Ateliers :
1. Place des artistes femmes dans les institutions et/ou place de l?héritage féministe dans les politiques curatoriales.
2. De la mondialisation au transnationalisme : pratiques artistiques individuelles ou collectives dans les contact zones.
3. Nouvelles notions du corps.
4. Cinéma
Please find the link to the call for papers for the International conference Women in the Americas (Aix en Provence, France, Dec. 4th-6th, 2013) : http://women-americas.blogspot.fr/
Por favor encuentren el lazo para la convocatoria al coloquio Mujeres en las Americas (Aix en Provence, Francia, 4-6 dic. 2013). : http://mujeres-americas.blogspot.fr/
Veuillez trouver ci joint le lien vers l’appel à contributions du colloque Femmes dans les Amériques (Aix en Provence, 4-6 dec 2013). : http://femmes-ameriques.blogspot.fr/
ASTEE – Offre de volontariat de service civique
Durée de la mission :
6 mois, à partir du 1er février 2013.
Stage compatible avec le statut de service civique pour les moins de 25 ans.
Rémunération mensuelle : 465.83 euros de l’État (uniquement pour les moins de 25 ans) + 250 euros de l’ASTEE.
Lieu : Nanterre (92)
Téléphone : 01 41 20 17 60
Nombre de volontaire(s) recherché(s) : 1
Structure d’accueil : Association Scientifique et Technique pour l’Eau et l’Environnement (ASTEE)
51 rue Salvador Allende 92027 Nanterre
Site internet : www.astee.org
Activité de la structure :
L’Association Scientifique et Technique pour l’Eau et l’Environnement (ASTEE) est une association française reconnue d’utilité publique, qui rassemble près de 4 000 experts, chercheurs et opérationnels issus d’organismes publics et privés intervenant dans les services publics locaux de l’environnement. Elle est habilitée à émettre des recommandations aux pouvoirs publics sur des questions scientifiques et techniques dans ses champs de compétences : l’alimentation en eau potable, la collecte et le traitement des eaux usées et des déchets, la protection de la ressource en eau, des milieux aquatiques et des espaces naturels, la qualité durable de l’environnement.
Enfin, elle est reconnue comme un acteur de référence dans le secteur pour la haute technicité de ses travaux et sa capacité à faire du consensus entre les multiples acteurs concernés par une problématique du domaine environnemental.
L’ASTEE produit des ouvrages techniques de référence et publie mensuellement un magazine pour les professionnels du secteur « Techniques Sciences Méthodes ». Elle vise à diffuser le plus largement possible la connaissance technique et scientifique dans son champ de compétences. Elle organise des manifestations aux niveaux local, régional et international. En particulier, elle est présente sur le territoire national au travers de 13 sections régionales qui assurent la représentation locale de l’ASTEE et permettent l’intégration des enjeux environnementaux locaux.
Nature de la mission:
Contribuer à l’amélioration de la qualité des services d’eau potable, d’assainissement, de gestion des déchets et de protection de l’environnement selon les axes ci-dessous :
1. Faciliter la mise à disposition de l’information scientifique et technique disponible auprès des professionnels, en particulier auprès des collectivités territoriales, et faciliter les échanges d’information entre eux :
– par une contribution sur les réflexions autour des outils de communication de l’association (site internet, profil viadeo, envoi de mails de diffusion de l’information, intranet, extranet, etc.)
– par une participation active aux activités de l’association dans les sections régionales de l’association (participation aux journées techniques, valorisation de ce qui est fait en région, création de lien entre les sections)
2. Contribuer à la mise en réseau des professionnels de l’eau et de l’environnement afin de faire progresser la connaissance sur ces sujets et la qualité des services d’eau, d’assainissement et de gestion des déchets fournis aux citoyens : participation à des réunions de l’association, identification des besoins de certains membres, accompagnement de certains groupes ou évènements en fonction des attentes.
3. Appuyer l’association dans sa politique d’ouverture aux collectivités locales, contribuer à la création d’un support scientifique et technique pour les collectivités territoriales en charge des services publics d’eau et de propreté pour les aider à les gérer au mieux : analyse de leurs besoins (rencontres, entretiens, etc.), participation à des évènements les concernant, propositions d’actions à développer pour mettre en place concrètement ce support en lien avec la directrice générale
Envoi des candidatures avant le 15janvier 2013 à recrutement@astee.org avec CV et lettre de motivation.
Poste de politiste/sociologue de l’action publique à pourvoir au CIRAD
Ci-après, le descriptif d’un poste de politiste / sociologue de l’action publique à pourvoir au CIRAD.
http://www.cirad.fr/emplois-stages/postes-a-pourvoir/chercheurs/politiste
_Politiste – Sociologue de l’action publique _
Vous conduirez des recherches en analyse des politiques publiques, notamment dans le domaine de la gouvernance des ressources en eau. Ces recherches seront mises en oeuvre dans un premier temps dans les contextes Nord-africains de tensions croissantes sur les ressources où les politiques de gestion de l’eau affichent une ambition de décentralisation des pouvoirs.
Référence à rappeler : 1918-2 Lieu d’affectation : Maroc, pour les quatre premières années
Date de publication : 08/01/2013 Type de contrat : CDI
Date de clôture : 19/02/2013 Date de prise de fonction : Dès que possible
Descriptif du poste
Le poste est ouvert au Cirad, dans l’UMR pluridisciplinaire Gestion de l’eau, acteurs et usages ( http://www.g-eau.net/), au sein de l’équipe « Politique publique, gestion des services et des risques liées à l’eau » qui comprend deux autres politistes et quinze chercheurs en sciences humaines et sociales (sociologie, économie, gestion modélisation). Leurs objets de recherches sont les modalités concrètes de définition et de mise en oeuvre des politiques de l’eau, notamment au niveau local et régional, l’articulation entre niveaux de gouvernance et les tensions entre secteurs d’action publique (eau, agriculture, aménagement du territoire).
La personne recrutée abordera la circulation à l’international de normes de politiques publiques dont on observe l’influence dans l’élaboration des lois sur l’eau dans les Suds (influence Nord/Sud mais aussi échanges Sud-Sud. Lors de sa première affectation en expatriation au Maroc, il/elle analysera en particulier les changements induits par le paradigme devenu dominant de la « gestion intégrée et concertée des ressources en eau » à partir de l’étude de divers bassins hydrographiques du pays.
Profil souhaité
Le profil recherché est titulaire d’un doctorat en science politique ou sociologie politique avec une spécialisation dans le domaine de l’analyse des politiques publiques.
Expérience sur les thématiques de l’eau, des ressources naturelles ou du développement rural appréciée.
La maîtrise de l’anglais écrit et parlé est indispensable pour la valorisation scientifique des travaux et des missions dans des pays anglophones.
Une expérience préalable de travail au Sud serait appréciée.
Contraintes du poste
Mobilité géographique : l’affectation dans des pays du Sud est une forme privilégiée de la recherche au Cirad. La première affectation est programmée dans un pays du Maghreb. Par la suite, les affectations en France ou à l’étranger seront négociées entre l’agent, l’UMR et le Cirad, sachant que les thématiques de travail du Cirad sont ancrées dans les Sud. Missions fréquentes sur le terrain. Travail fréquent sur ordinateur.
Appel à candidature bourses d’étude de Suisse année universitaire 2012-2013
Les dossiers de candidature font l’objet d’une sélection préliminaire par les autorités nationales compétentes et la représentation diplomatique suisse. La représentation diplomatique suisse transmet les candidatures sélectionnées à la Commission fédérale des bourses pour étudiants étrangers (CFBE) qui effectue la sélection définitive. C’est ensuite le Département fédéral de l’Intérieur (DFI) qui octroie les bourses sur la base des propositions de la CFBE.
Lieu d’études :
Les bourses sont octroyées pour des études dans les Universités suisses ou les Écoles polytechniques fédérales.
Durée de la bourse :
Les bourses sont offertes pour tout le long de ton cursus universitaires
Finances de cours et taxes d’inscription :
La Commission fédérale des bourses ne prend pas en charge les finances de cours et/ou taxes semestrielles. En principe, les Universités ainsi que l’Ecole polytechnique fédérale de Zürich exonèrent les boursiers fédéraux des taxes semestrielles mais pas systématiquement des taxes d’inscription aux programmes de Masters. Si tel est le cas, il appartient aux boursiers de prendre en charge les finances de cours et d’inscription.
Les candidats doivent prouver leurs capacités et avoir un but de formation précis. Ils devront joindre à leur dossier de candidature un plan détaillé et précis des études ou de la recherche qu’ils envisagent d’effectuer en Suisse.
Pour ce faire, ils peuvent obtenir de plus amples informations disponibles auprès de notre représentant basé pour cette année en Afrique au Bénin à l’adresse mail: suisse.secretariatbourse@ymail.com . Ils devront également tenir compte des possibilités d’insertion professionnelle dans leur pays une fois leurs études achevées.
Le candidat doit prendre contact avec le secrétariat pour fournir certaines informations.
L’institution d’accueil ou l’ambassade de Suisse peuvent refuser le dossier si le candidat n’a pas établi ce contact préalable.
Les candidats qui sont déjà entrain d’effectuer une première année en Master dans l’une des universités ou Hautes écoles suisses ne sont pas éligibles pour une bourse de la Confédération suisse.
Les candidats doivent avoir une maîtrise suffisante de la langue d’enseignement française, anglaise, allemande ou italienne, pour bénéficier pleinement de leurs études en Suisse. Dans certains cas, ils devront aussi justifier une maîtrise suffisante de l’anglais.
Chaque dossier doit contenir les documents suivants dans l’ordre indiqué :
a) un formulaire de candidature (Faire une demande au secrétariat à l’adresse mail : suisse.secretariatbourse@ymail.com)
b) photocopie du baccalauréat ou d’un certificat équivalent
c) photocopies de certificats délivrés par les établissements d’enseignement supérieur fréquentés, photocopie du dernier diplôme universitaire obtenu (avec les notes) légalisées;
d) une lettre de motivation;
e) un curriculum vitae
g) un certificat médical (à fournir après par le secrétariat);
h) photocopie de la carte d’identité/ passeport
Point Info N°69 du CERCOOP Franche-Comté
Formation : « On part faire de l’humanitaire ? »
Formation : « Conception et montage de micro-projets de solidarité internationale »
Formation : « Le partenariat dans le cadre d’un micro-projet de solidarité internationale »
Formation : « Financer un microprojet de solidarité internationale : Élaborer le budget, rechercher des financements, rédiger une demande »
Temps d’information/Formation : Programmes JSI-VVVSI – Besançon (25)
Centraider/Rencontre multi-acteurs au Burkina Faso – 15 février 2013
13ème rencontres du Réseau Jeunes Amérique Latine – Enseignement Agricole
Ministère des Affaires Étrangères/Appel à projets annuel « coopération décentralisée » pour 2013
Ministère des Affaires Etrangères/Sécurité au Sahel
Assises du développement et de la solidarité internationale
Actes du 3ème Forum de l’action internationale des collectivités – 2 et 3 juillet 2012
Journée Educasol : « Education au développement et à la solidarité internationale et approches genre : Quels enjeux ? Quelles interactions ? » – Paris (75)
Rencontre : « Les associations, actrices du développement sur leur territoire » – Paris (75)