Le Mexique sur RFI avec Georges Couffignal
Une heure sur le Mexique :
Georges Couffignal et Alain Rouquié interviendront sur RFI le samedi 6 juillet 2013 à 20h10 dans l’émission « Géopolitique, le débat » présentée par Marie-France Chatin.
Cette émission sera disponible en podcast sur le site de RFI dès le vendredi 5 juillet 2013.
Aujourd’hui sur France Inter : L’Amazonie au fil du fleuve Jari
Sur le site de France Inter dans l’émission « Le temps d’un bivouac », vous pourrez réécouter l’émission du 3 juillet avec François-Michel Le Tourneau, Directeur de recherche au CNRS-CREDA
L’Amazonie au fil du fleuve Jari
L’expédition Mapaoni est une aventure scientifique et humaine exceptionnelle au cœur de l’Amazonie, dans une des régions les plus mystérieuses du monde menée en 2011 par le géographe François-Michel Le Tourneau. Cette zone hostile, aux confins du Brésil, du Surinam et de la Guyane française, est tombée dans l’oubli depuis plus de quarante ans. En suivant notamment le chemin emprunté en 1937 sous le régime nazi par une expédition naturaliste allemande, nous remonterons sur plus de 750 kilomètres le fleuve Jari, affluent méconnu de l’Amazone. C’est également l’occasion de partir à la rencontre des peuples d’Amazonie : qui vit en forêt ? Comment les populations se répartissent sur ces territoires ? Les rives du Jari, jadis peuplées de nombreuses tribus amériendiennes, le sont-elles toujours ? Avec en fond les problèmes de déforestation, les enjeux et conflits que soulèvent ces territoires de l’immensité amazonienne.
Contact : François-Michel Le Tourneau
Convocatoria becas SEGIB y OEA
La SEGIB y la Casa de Velázquez convocan dos becas para el cursos 2013-14, una para un investigador y la otra para un creador artístico.
Incluye matrícula, desplazamiento y residencia en la Casa de Velázquez.
Plazo hasta el 15 de julio de 2013 Información, convocatoria y formularios enhttp://fci.uib.es
La Organización de Estados Americanos tiene abiertas diversas convocatorias para realizar cursos de formación en diversos países para ciudadanos iberoamericanos.
Diversos plazos
Información http://fci.uib.es
Call for proposals Belgeo Flagships and industrial renewal
Appel à articles Belgeo 2014/2* *Les grands équipements culturels dans les espaces industriels en reconversion : de la requalification urbaine aux projets métropolitains ? * *Guest editors : Thomas Pfirsch, CALHISTE, Université de Valenciennes et* *Bernard Reitel, DYRT, Université d’Artois * Commission « Villes et métropolisation » du CNFG Dans le contexte de la métropolisation et d’une concurrence accrue entre villes, la culture s’est affirmée depuis une vingtaine d’années comme un élément essentiel des politiques urbaines (Evans, 2001 ; Swyngedouw et aliter2002 ; Grésillon ?) Elle apparaît aujourd’hui comme un instrument incontournable de la transition post-moderne de villes de plus en plus tournées vers l’innovation dans le cadred’une économie de la connaissance. Depuis les expériences pionnières de Baltimore ou de Bilbao, les musées et les grands équipements culturels (bibliothèques, grandes salles de spectacle etc…) grands équipements culturels jouent un rôle moteur dans cette affirmation des villes sur la scène internationale. Ces « projets porte-drapeaux » (/flagship projects, /Evans, 2005) souvent confiés à des grands noms de la /starchitecture/ globale (Jenks, 2005, Gravari, 2009), servent d’emblèmes pour de vastes projets de requalification urbaine. Les ambitions se déclinent au-delà de la seule production d’une nouvelle offre culturelle et touristique : il s’agit non seulement de renouveler l’image de la ville, de repenser les centralités, de réaménager les espaces publics, mais aussi de redéfinir les relations entre une ville et son environnement régional. Depuis « l’effet Bilbao » (réf), la création de grands équipements culturels emblématiques est même devenue un paradigme urbain global, largement mobilisé par les villes industrielles en crise à la recherche d’un nouveau destin (Ingallina et Park, 2005), de l’Imperial War Museum de Manchester au Musée du design d’Essen dans la Ruhr, du centre Pompidou de Metz au tout récent Louvre-Lens… Plus de 15 ans après l’expérience de Bilbao, et à travers l’exemple des espaces industriels en reconversion, nous proposons d’analyser les usages et les effets urbains de ces grands équipements culturels. En effet, au-delà de l’effet vitrine et du marketing intense qui les entourent, l’impact réel des grands équipements culturels demeure mal connu et difficile à évaluer (Evans, 2005; Orueta, 2009, Lusso). Si leurs retombées économiques immédiates ont parfois été approchées, leurs effets urbains restent peu étudiés (Lusso, 2009). Il s’agit pourtant d’une question cruciale, en particulier dans les espaces industriels en reconversion. Dans ces régions marquées par la présence de conurbations minières ou de vastes corridors d’urbanisation polycentriques et considérés comme mal intégrés, les grands projets culturels sont largement utilisés pour recoudre le tissu urbain, créer de nouvelles polarités et « faire ville ». Ces projets sont porteurs d’une ambition métropolitaine, à l’image des villes de la Ruhr qui, quelques années après la fin du projet IBA de l’Emscher Park, ont postulé collectivement au label de capitale européenne de la culture 2010, affirmant ainsi une « Metropole Ruhr » sur la scène internationale. Les grands équipements culturels contribuent-ils vraiment à structurer les espaces industriels en reconversion et à« fabriquer de la ville »? Sont-ils réellement des moteurs de la métropolisation de ces espaces ? Outre cette approche urbaine, l’objectif de cet appel est aussi d’émettre une posture critique. Au-delà des discours publics et du marketing territorial, des études récentes ont en effet souligné l’instrumentalisation croissante de la culture dans le cadre des politiques urbaines néo-libérales, dont les musées et autres « flagship projets » seraient l’une des manifestations symboliques les plus éclatantes (Swyngedouw, Moulaert et Rodriguez, 2002 ; Rousseau, 2009 ; Smyth H., 1994). Les grands équipements culturels s’inscrivent en effet dans une stratégie de « production d’un capital valorisable » (Fagnoni, 2009), et enclenchent des dynamiques de valorisation foncière et immobilière qui peuvent s’accompagner de processus de gentrification ou de tri social. Dans des villes industrielles encore marquées par une forte image ouvrière et longtemps caractérisées par des politiques de keynésianisme spatial, ils peuvent aussi participer d’un refaçonnement identitaire en direction des nouvelles classes moyennes ou « créatives » (Rousseau, 2009). Enfin, ces grandsprojets introduisent de nouvelles élites dans le jeu du pouvoir urbain et s’accompagnent d’un rôle croissant des pouvoirs publicslocaux et régionaux et le recours de plus en plus fréquent aux partenariats publics-privés dans le contexte général d’une marchandisation de la culture et de l’institution muséale (les marques Louvre ou centre Pompidou devenant commercialisables sur le marché global… - Fagnoni, 2009). Cette approche urbaine et critique pourra être développée autour de trois axes principaux. *Thème 1 : Les grands équipements culturels : des instruments d’aménagement du territoire et de développement local* Une première interrogation porte sur le modèle de gouvernance à adopter pour ces politiques culturelles à visée économique. En effet, sur quel jeu d’acteurs reposent ces grands projets culturels ? Le retrait de l’Etat central et le rôle croissant des pouvoirs locaux et des acteurs privés permettent-ils aux grands équipements culturels d’être des instruments d’aménagement du territoire? Ces deux dynamiques sont-elles compatibles ? Se pose ensuite la question du modèle de développement local à adopter pour obtenir un réel impact sur les villes industrielles en reconversion. Comment les musées et les équipements culturels s’inscrivent-ils dans leur environnement économique local ? S’agit-il de simples « implants » ou forment-ils de véritables de catalyseurs de développement local ? En troisième lieu, les méthodologies méritent d’être questionnées. Si les techniques d’évaluation des retombées économiquesdirectes des musées sont connues (nombre d’entrées, emplois directs créés, fréquentation des hôtels et restaurants alentour etc…), comment apprécier à la fois quantitativement et qualitativement les liens entre le musée et son environnement économique et urbain (perception par les habitants, nouvelle image externe de la ville etc…) ? Comment sortir des approches sectorielles ou segmentées pour situer les grands équipements culturels dans « le système territorial tout entier » (Fagnoni), en mettant en valeur par exemple des interactions entre culture et tourisme, ou culture et industrie ? *Thème 2 Grands équipements culturels et fabrique de la ville dansles espaces industriels* Outre leur visée économique, les grands équipements culturelssont des instruments de requalification urbaine. La notion même de « projet culturel » et son efficacité pourront être interrogées :la culture peut-elle servir de base à un « projet de ville » dans les espaces industriels, à savoir porter un projet collectif permettant à ces territoires de se constituer une nouvelle identité locale tout en s’affirmant à l’international ? Les infrastructures culturelles entraînent-elles un déclin de l’identité ouvrière et industrielle de ces espaces ? Outre l’image de la ville, c’est aussi la question de l’impact des musées sur les centralités et les espaces publics qui devra être posée. Comment les grands équipements culturels s’intègrent-ils à ces quartiers, à la fois du point de vue esthétique, morphologique et fonctionnel ? Comment ces quartiers sont-ils reliés au reste de la ville et appropriés par les habitants à travers leurs pratiques et leurs mobilités ? Enfin, se pose également la question des impacts sociaux des grands équipements culturels. Si ces derniers créent de la centralité, ils peuvent aussi être à l’origine de nouvelles fractures et fragmentations urbaines. Quels sont les effets des musées et des grands équipements culturels sur la valorisation foncière et immobilière des quartiers environnants ? Ces derniers s’accompagnent-ils de processus de gentrification ou de tri social ? La culture est-elle mise au service d’une stratégie de requalification des villes ouvrières en direction des classes moyennes supérieures? *Thème 3. : Les grands équipements culturels, moteurs de la métropolisations?* Enfin, les projets évoqués traduisent souvent une ambition métropolitaine, celle d’inscrire les villes, les agglomérations à une échelle au moins nationale, voire internationale et transfrontalière. Dans les régions industrielles d’urbanisation diffuse, polycentrique, la culture peut-elle servir de levier pour « faire métropole », à l’image des villes de la Ruhr, collectivement impliquées dans le projet d’axe culturel de la vallée de l’Emscher ? Les projets culturels peuvent-ils servir de moteur à la mise en place de régions urbaines plus intégrées susceptibles de peser dans la compétition métropolitaine globale ? Les textes devront donc étudier les nouvelles relations qui, à travers les projets d’infrastructures culturelles, se tissent entre des villes voisines d’un même corridor industriel, et à plus petite échelle entre espaces industriels et grandes métropoles tertiaires. Le positionnement des grands équipements dans l’offre culturelle régionale et nationale, mais aussi les logiques d’acteurs et les collaborations régionales ou transfrontalières dans l’organisation des grands projets culturels sont autant de questions qui pourront être étudiées. *Les propositions, accompagnées d'un texte de présentation d'une page au maximum, doivent être soumises aux deux guest editors (*_*bernard.reitel@univ-artois.fr* <mailto:bernard.reitel@univ-artois.fr>_* et *_*thopfirsch@hotmail.com* <mailto:thopfirsch@hotmail.com>_*), avec copie au co-directeur de Belgeo, Christian Vandermotten (*_*cvdmotte@ulb.ac.be* <mailto:cvdmotte@ulb.ac.be>_*).* *La date limite pour le dépôt des propositions est fin octobre 2013 et les manuscrits prêts à être soumis aux referees sont attenduspour fin avril 2014 au plus tard.* * * *Cultural flagship projects in restructuring industrial areas : * *from urban renewal to metropolitan strategies ?* *Guest editors : Thomas Pfirsch, CALHISTE, Université de Valenciennes and* *Bernard Reitel, DYRT, Université d’Artois * *Commission « Villes et métropolisation » du CNFG* In a context of increasing global competition between cities, culture has become in recent years an essential component of urban policies (Evans, 2001 ; Swyngedouw and aliter 2002). Culture is seen as an indispensable instrument for the cities post-modern transition to innovation-oriented activities in the context of the knowledge-economy. Since the pioneering initiatives from Baltimore or Bilbao, museums and large cultural facilities such as libraries or major event complexes are playing a significant role in the assertion of cities on the global scene. These “flagship projects” often entrusted to top names of the global “starchitecture” (Jenks, 2005, Gravari, 2009) are used as emblems for broader projects of urban regeneration. Ambitions go far beyond the mere development of new cultural or touristic services: the aim is not only to renew the image of the city, but also to rethink centralities, to reshape public spaces and to define new relations between the city and its region. Since the “Bilbao effect”, building major cultural facilities has become a global urban paradigm which has been largely mobilized by industrial cities in search of a new destiny (Ingallina et Park, 2005): the Imperial War Museum in Manchester, the Design museum in Essen in the Ruhr conurbation, the centre Pompidou in Metz and more recently the Louvre in Lens. More than 15 years after the Bilbao experience, we suggest to analyze the uses and the urban effects of these major cultural facilities in restructuring industrial areas. Indeed, beyond showcase effects and marketing strategies, their actual impacts remain poorly known and difficult to evaluate (Evans, 2005; Orueta, 2009, Lusso). If the immediate economic effects of major cultural facilities have sometimes been explored, few studies have analysed their urban consequences. This is a crucial point, especially in restructuring industrial areas*. *In such regions, shaped by mining conurbations or polycentric urbanization corridors considered as badly integrated by planners, large cultural projects are used to sew up the built-up fabric, create new polarities and, in a word, produce urbanity. Like the cities of the Ruhr’s conurbation, which, several years after the end of the international architecture and urban planning exhibition IBA (Internationale Bauaustellung), have collectively candidate to the label of European cultural capital 2010 to assert a “Metropole Ruhr” on the international stage, these projects embody the ambition to build metropolises. *Do major cultural projects really help bring structure and urbanity to industrial areas? Are they really a driving force for metropolization processes?* Besides this urban focus, we also suggest to develop a reflective and critical approach. Beyond official discourses and territorial marketing, recent studies have stressed the growing manipulation of culture by neo-liberal urban policies, whose one of the most impressive manifestation would be represented by flagship projects (Swyngedouw, Moulaert et Rodriguez, 2002 ; Rousseau, 2009 ; Smyth H., 1994). Major cultural facilities are part of a strategy of “producing a valuable resource” (Fagnoni, 2009), and often generate land and property valuations, which can lead to processes of gentrification or social filtering. In old industrial cities which have long been associated to a strong working class image and spatial Keynesianism policies, , they can be used to reshape identities in order to attract new middle or creative classes (Rousseau, 2009). Thus, large cultural projects often introduce new elites in the game of urban power and imply a growing role of local and regional public stakeholders as well as an increasing recourse to public/private partnerships within a context of growing merchandization of culture and museum institutions. This urban and critical approach will focus on 3 over-lapping key areas. *Theme 1: Major cultural facilities as tools for regional planning and local development* Papers will first explore the new governance models associated with economic oriented cultural policies. Which players are involved in major cultural developments? Faced with the withdrawal of central governments, the rise of local powers and the increasing role of private entities, the question will be asked whether museums and other cultural facilities can still play a role in regional planning and reduce territorial inequalities? Papers will also analyze the economic impact of major cultural facilities in industrial areas. How do these large projects fit into their local economic environment? Do they remain mere transplants with no effect on other economic sectors or can they create a dynamic of development and economic restructuring for a whole region? Third, methodological approaches will be discussed. Many works have analyzed the direct economic impacts of museums, mostly in the tourism and culture sectors, and using quantitative methods and data (number of tickets, of new jobs, occupancy rates of the surrounding hotels and restaurants…). But exploring the relationships between cultural facilities and their economic environment requires broader and cross-sector approaches, both quantitative and qualitative, in order to catch the effects of flagship projects on the image of the cities and their interactions with the local economic system as a whole, including traditional and new industries. *Theme 2. Major cultural facilities and the remaking of the city in manufacturing areas* Museums and other major cultural developments do not have solely economic objectives, they also form part of large urban regeneration programs. First, papers will analyze the effects of cultural facilities on the city image and identity, focusing on the concept of “project” which of late has had an increasing importance in urban planning. Can “cultural projects” be used as a basis for strengthening broader “cityprojects” in old manufacturing areas, that is to say can the development of collective projects be designed to create a new local identity and international image? The consequences of cultural facilities on urban centralities and public spaces will also be explored. Indeed, large cultural developments are often symbolic emblems for the building of new central areas in industrial conurbations where public spaces are scarce or absent. How do cultural facilities fit in with their surrounding area, both in terms of aesthetics, morphology and functions? Are they well connected to the rest of the city, and do they reshape the residents’ urban practices and their movements in the urban environment? Another key issue is the impact of cultural flagship projects on the social geography of manufacturing cities. Indeed, cultural facilities can create new public spaces, but they can also generate new forms of social segregation and processes of land and property valorization. Are they associated to gentrification or other social filtering processes? As some recent studies have pointed out, can cultural projects be seen as parts of symbolic policies designed to redefine working class cities for the new middle class and creative groups? *Theme 3. Major cultural facilities as driving forces for metropolization?* Major cultural developments are often part of metropolization projects aiming at enlarging urban organization and governance on a wider national, international and cross-border scale. This is the case of the recent Emsher valley cultural project, which involves all the cities of the Ruhr conurbation. In the old manufacturing areas, where urbanization is often extensive and polycentric, can major cultural facilities help form integrated urban regions that may have more influence in the increasingly competitive global context? Papers will explore the new sets of relationships that cultural developments generate between cities of the same local manufacturing area, and between industrial urban regions and large tertiary metropolitan areas on a national or international scale. The positioning of flagship projects in the regional or national cultural market will be discussed, as well as the new regional cooperation policies that cultural projects invariably generate. *Proposals, with a short presentation (less than one page), has to be submitted to both guest editors (*_*bernard.reitel@univ-artois.fr* <mailto:bernard.reitel@univ-artois.fr>_* et *_*thopfirsch@hotmail.com* <mailto:thopfirsch@hotmail.com>_*), with a copy to the co-director of Belgeo, Christian Vandermotten (*_*cvdmotte@ulb.ac.be* <mailto:cvdmotte@ulb.ac.be>_*).* *The deadline for the proposals is end of October 2013 and final papers, ready for submission to the referees, are awaited before the end of April 2014 at the latest.*
IdA Appel à projets 2014
Nous avons le plaisir de vous annoncer que dans le cadre de sa politique d’encouragement à la recherche sur les Amériques, l’Institut des Amériques lance un appel à projets pour les manifestations scientifiques et les missions de terrain des doctorants qui auront lieu au cours de l’année civile 2014. L’appel est désormais disponible sur le site Internet de l’Institut des Amériques.
La date de dépôt des dossiers est fixée au 16 septembre 2013.
Appel à candidature Programme de Bourses du Gouvernement mexicain 2014
Appel à candidature du Programme de Bourses du gouvernement mexicain pour étrangers pour l’année 2014, publié le 26 juin dernier par le Ministère des Relations extérieures mexicain (SRE). Le dépôt des candidatures restera ouvert jusqu’au 26 août 2013. Les dossiers de candidature devront être déposés auprès du service de Coopération éducative, technique et scientifique de l’Ambassade du Mexique en France :
Erika REBOLLAR
Coopération éducative, technique et scientifique
Ambassade du Mexique en France
9, rue de Longchamp
75116 Paris
Tel. 01 53 70 27 66
Fax. 01 47 55 65 29
erebollar@sre.gob.mx
Pour obtenir des renseignements sur les bourses attribuées par le gouvernement mexicain, les intéressés ont la possibilité de consulter le site Internet du Ministère mexicain des Relations extérieures : www.sre.gob.mx
La décision finale sur l’attribution des bourses appartient à la Direction générale de Coopération éducative et culturelle du Ministère mexicain des Relations extérieures. En ce qui concerne les institutions mexicaines d’enseignement supérieur et les centres de recherche, les intéressés peuvent obtenir de plus amples renseignements sur les sites Internet suivants :
ANUIES:http://www.anuies.mx
CONACYT: http://www.conacyt.mx
L’Ambassade du Mexique en France est en mesure de recevoir uniquement les candidatures des étudiants français. Les bourses sont accordées seulement dans le cadre de programmes d’études et des institutions comprises dans l’appel à candidature 2014.
Job oportunity in France: sociologue du développement
Dans le cadre de ses activités, SKM France recrute un(e) sociologue du développement pour un poste de chef de projet.
Filiale du groupe SKM (www.globalskm.com), SKM France est un bureau d’étude réalisant des études d’impact social et environnemental dans le secteur des industries extractives, en Afrique, en Asie et au Moyen-Orient.
*Responsabilités *:
Placé sous la responsabilité du directeur de SKM France, le(la) sociologue du développement sera chargé(e) de :
– traiter la composante sociale des études d’impact environnemental et social,
– la préparation de plan de réinstallation pour les opérations nécessitant un déplacement involontaire de populations,
– la définition de plans de développement en milieu urbain ou rural,
– réaliser toute analyse ou planification liée aux aspects sociaux des études et projets réalisés par SKM,
– contribuer à la préparation de propositions techniques et financières dans le cadre des réponses à appel d’offre, pour ses domaines
de compétence.
* *
*Profil recherché :*
· Les candidats doivent pouvoir :
– former et coordonner des équipes d’enquêteurs,
– être capable de diriger une équipe,
– travailler en équipe et de façon autonome,
– être à l’aise dans un contexte interdisciplinaire et interculturel.
· Une formation universitaire de niveau master ou doctorat en sciences sociales appliquées au développement est requise.
· Un minimum de 5 ans d’expérience est requis, sur des études et/ou projets à l’international.
· Une expérience de terrain avérée est indispensable. Les candidats doivent être familiers avec la pratique de la consultance et/ou
de la recherche appliquée.
· Maîtrise opérationnelle de l’anglais écrit, lu et parlé obligatoire.
· Une maîtrise des méthodes d’enquête qualitatives et quantitatives est demandée.
· Les thématiques sur lesquelles le sociologue du développement sera amené à travailler sont diverses et varient en fonction des projets. Il pourra s’agir d’étudier les systèmes de production agricole, les impacts des projets sur la santé, les relations société-environnement, des groupes ethniques minoritaires (peuples autochtones ou indigènes au sens de l’UNESCO), de réaliser des enquêtes ménages, etc. Une bonne capacité d’adaptation est donc nécessaire.
· Une connaissance de logiciels statistiques (SPSS, R) et/ou de gestion d’enquête (Sphinx, Modalisa, CSPro) et/ou de gestion de données qualitatives (Nvivo ou autre) et/ou de bases de données (Access) sera appréciée.
· La connaissance des normes environnementales et sociales en vigueur au sein des institutions internationales (p.ex. Banque Mondiale, IFC, ADB) est un atout.
*Statut : *
Le poste est un CDI, basé à Grenoble. De fréquentes missions au Moyen-Orient, en Afrique ou en Asie sont à prévoir.
*Contact : *Si vous êtes intéressés, merci d’envoyer par e-mail votre CV et lettre de motivation, incluant vos coordonnées complètes, à
crepussard@globalskm.com.
sociologue_du_developpement_SKM
New website and articles on access to healthcare
Nouveau site Internet qui vous donne accès à nos articles scientifiques sur l¹équité et l¹évaluation
I am pleased to announce our new website which gives you access to our scientific articles on equity and evaluation
Dont nos trois dernières publications/ Our last three publications.
* Improving equity by removing healthcare fees for children in Burkina Faso
http://www.equitesante.org/2013/06/17/improving-equity-by-removing-healthcar
e-fees-for-children-in-burkina-faso-fr/
* What factors influence health policy entrepreneurs in West Africa ?
http://www.equitesante.org/2013/06/14/what-factors-influence-health-policy-e
ntrepreneurs-in-west-africa-fr/
* Une synthèse exploratoire du courtage en connaissance en santé publique
http://www.equitesante.org/2013/06/11/une-synthese-exploratoire-du-courtage–
en-connaissance-en-sante-publique/
* Pragmatisme et réalisme pour l¹évaluation des interventions de santé
publique
http://www.equitesante.org/2013/06/04/pragmatisme-et-realisme-pour-levaluati
on-des-interventions-de-sante-publique/
New Publication: Land, Mobility, and Belonging in West Africa
Now available from Indiana University Press:
Land, Mobility, and Belonging in West Africa
By Carola Lentz
« Illuminates the distinctive historical trajectory of land claims, authority, and belonging among the Dagara and Sisala peoples of the Black
Volta region, and locates this specific case history within broader debates over transformation in access, use, and control over land in colonial and postcolonial Africa. » ?Sara Berry, Johns Hopkins University
Focusing on an area of the savannah in northern Ghana and southwestern Burkina Faso,* Land, Mobility, and Belonging in West Africa* explores how rural populations have secured, contested, and negotiated access to land and how they have organized their communities despite being constantly on the move as farmers or migrant laborers. Carola Lentz seeks to understand how those who claim native status hold sway over others who are perceived to have come later. As conflicts over land, agriculture, and labor have multiplied in Africa, Lentz shows how politics and power play decisive roles in determining access to scarce resources and in changing notions of who belongs and who is a stranger.
348 pp., 17 maps
cloth 978-0-253-00953-1 $85.00 / £66.00
paper 978-0-253-00957-9 $30.00 / £20.99
ebook 978-0-253-00961-6 $24.99
More information at: http://www.iupress.indiana.edu/catalog/806843
New publication: Diaspora at Home?: Wartime Mobilities in the Burkina Faso-Côte d’Ivoire Transnational Space
Bjarnesen, Jesper 2013.
Diaspora at Home?: Wartime Mobilities in the Burkina Faso-Côte d’Ivoire Transnational Space
Uppsala Studies in Cultural Anthropology 53. Uppsala: Acta Universitatis Upsaliensis.
Wartime mobilities, home, transnational space, diaspora, urban anthropology, West Africa, conflict, return, migration, youth, intergenerational relations.
In the period 1999-2007, more than half a million Burkinabe returned to Burkina Faso due to the persecution of immigrant labourers in neighbouring Côte d’Ivoire. Ultranationalist debates about the criteria for Ivorian citizenship had intensified during the 1990s and led to the scapegoating of immigrants in a political rhetoric centred on notions of autochthony and xenophobia. Having been actively encouraged to immigrate by the Ivorian state for generations, Burkinabe migrant labourers were now forced to leave their homes and livelihoods behind and return to a country they had left in their youth or, as second-generation immigrants in Côte d’Ivoire, had never seen.
Based on 12 months of ethnographic fieldwork in Burkina Faso and Côte d’Ivoire, the thesis explores the narratives and everyday practices of returning labour migrants in Bobo-Dioulasso, Burkina Faso’s second-largest city, in order to understand the subjective experiences of displacement that the forced return to Burkina Faso engendered. The analysis questions the appropriateness of the very notion of “return” in this context and suggests that people’s senses of home are multiplex and tend to rely more on the ability to pursue active processes of emplacement in everyday life than on abstract notions of belonging, e.g. relating to citizenship or ethnicity.
The study analyses intergenerational interactions within and across migrant families in the city and on transformations of intra-familial relations in the context of forced displace-ment. A particular emphasis is placed on the experiences of young adults who were born and raised in Côte d’Ivoire and arrived in Burkina Faso for the first time during the Ivorian crisis. These young men and women were received with scepticism in Burkina Faso because of their perceived “Ivorian” upbringing, language, and behaviour and were forced to face new forms of stigmatisation and exclusion. At the same time, young migrants were able to exploit their labelling as outsiders and turn their difference into an advantage in the competition for scarce employment opportunities and social connections.