fév 26, 2013

Appel à communications Colloque Centre d’études équatoriennes

Patrimoine(s) en Équateur : Politiques culturelles et politiques de conservation

Vendredi 21 et samedi 22 mars 2014
Université Paris Ouest Nanterre – La Défense

Colloque international organisé par le Centre d´études équatoriennes,
avec l´appui du CRIIA (EA 369),
de la Délégation de l’Equateur auprès de l’Unesco,
de l´Ecole doctorale Lettres, langues, Spectacles (ED 138),
de l´UFR LCE de l’Université Paris Ouest.

La relation au(x) patrimoine(s) ne va pas de soi, le(s) patrimoine(s) étant eux-mêmes sujet(s) à des redéfinitions. La notion de patrimoine renvoie à ce qui est perçu par un groupe comme son héritage historique. Il peut s´agir du patrimoine culturel<http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrimoine_culturel>, qui recouvre les biens identitaires et culturels d’une population, tels que le patrimoine architectural<http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrimoine_architectural>, les patrimoines culturels immatériel<http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrimoine_culturel_immat%C3%A9riel>s, notamment le patrimoine linguistique<http://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Patrimoine_linguistique&action=edit&redlink=1>. Le classement au patrimoine mondial<http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrimoine_mondial> de l´humanité de la ville coloniale de Quito, établie sous l’égide de l’Unesco<http://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_des_Nations_unies_pour_l%27%C3%A9ducation%2c_la_science_et_la_culture>, est à ce titre emblématique. En Equateur, la notion de patrimoine renvoie également et de plus en plus au patrimoine naturel, lequel, comme le patrimoine culturel<http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrimoine_culturel>, est défini comme un bien commun<http://fr.wikipedia.org/wiki/Bien_commun> à léguer aux générations futures<http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9n%C3%A9rations_futures>. Ce patrimoine peut être posé comme une somme de ressources naturelles<http://fr.wikipedia.org/wiki/Ressources_naturelles> qui, comme le patrimoine culturel, doit être conservé pour être transmis. L´initiative originale Yasuní-ITT marque d´ailleurs un tournant dans les politiques de gestion et de conservation du patrimoine en Equateur.
Il sera intéressant de réfléchir à la façon dont ce patrimoine (ou partie du patrimoine) est présenté(e) et à la représentation que s´en font le public et le citoyen. Elle permet à cet égard d’apprécier les relations des projets politiques au passé et de cerner les modalités de la définition d’une culture nationale considérée comme genuinamente équatorienne. Les sens de « patrimoine » sont à comprendre selon une acception souple, afin de mieux apprécier les dimensions culturelles, politiques, sociales, écologiques le cas échéant, des différents projets, aux 19e, 20e et 21e siècles. Étudier ce que signifie(nt) le(s) patrimoine(s) et les nouveaux processus de patrimonialisation permet encore de rendre compte de la transformation et de l?élargissement des politiques culturelles, comme l´illustrent les politiques urbaines de restauration des centres historiques et la multiplication et promotion des parcs nationaux.

Axes de réflexion :
Les communications présentées pourront relever de la problématisation ou de l?étude de cas (périodes, acteurs, secteurs, territoires, dispositifs). Elles peuvent envisager la notion de patrimoine :
– par le biais de secteurs culturels déterminés (musées, enseignements artistiques, parcs naturels, médias?) ;
– par le biais de l?efficacité des instruments de protection des cultures et langues dites autochtones ;
– par le biais de la redéfinition des patrimoines, patrimoines « ethnologiques », reconnaissance des savoir-faire populaires, patrimoines ethnomusicologiques, patrimoines culinaires, patrimoines environnementaux et écologiques (biodiversité, parc nationaux, écomusées, etc.) ;
– par le biais des projets de restauration urbaine, de mise en valeur des centres dits « historiques » de Quito, Cuenca et Guayaquil notamment ;
– par le biais des relations entre politiques de conservation d?un « Patrimoine de l?humanité » promues par l?UNESCO et actions de l?Etat et/ou des Municipalités.
– comme un objet politique (produit par des formations politiques et sociales) ;
– comme un enjeu de construction d’identités et de rivalités entre groupes sociaux et ethno-sociaux ;
– comme un enjeu d?affirmation de l?État sur les territoires et de rivalités entre acteurs locaux et acteurs centraux ;
– comme un sujet de débats publics en termes idéologiques, politiques et identitaires ;
– comme un instrument de la démocratisation (ou non) fondée sur une certaine idée de la culture ;
– à travers les formes prises par l?inscription effective dans le corps social et sur les territoires des orientations d?une politique ou d´une initiative de conservation du patrimoine ;
– à travers l?engagement et les formes d?engagement des artistes, militants, associations, élus? ;
– à travers les moyens mobilisés, ou non, en faveur d?une politique patrimoniale, éventuellement au détriment d?une autre ; les formes politiques et administratives mises en ?uvre (travail législatif, fonds financiers, protocoles, chartes, conventions…) ;

La réflexion proposée se veut pluridisciplinaire, relevant du droit, des sciences politiques, des études culturelles, de la linguistique, de l’anthropologie, de la médiation culturelle, de la littérature, des arts, du cinéma, de l’aménagement du territoire, de l’urbanisme, de l’architecture, notamment.

Modalités de soumission
Les propositions de communication avec un titre, un résumé d´une dizaine de lignes et une brève présentation de l?auteur, sont à faire parvenir avant le 1er novembre 2013 à David Macías et Emmanuelle Sinardet :
davidmaciasb@gmail.com<mailto:davidmaciasb@gmail.com>
emmanuellesinardet@yahoo.fr<mailto:emmanuellesinardet@yahoo.fr>
Les communications pourront être présentées en espagnol ou en français.
Les communications retenues par le Comité scientifique feront l’objet d?une publication. Un document indiquant les normes typographiques à respecter vous sera envoyé avec l?acceptation de la communication.

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Patrimonio(s) en el Ecuador:
Políticas culturales y políticas de conservación

Viernes 21 y sábado 22 de marzo del 2014
Universidad Paris Ouest ? Nanterre ? La Défense

Coloquio internacional organizado por el Centro de Estudios Ecuatorianos
con el apoyo del Centro de Investigaciones Ibéricas e Iberoamericanas (EA 369),
de la Delegación del Ecuador en la UNESCO,
de la Escuela doctoral Letras, lenguas y artes del espectáculo (ED 138),
de la Facultad de lenguas de la Universidad Paris Ouest

La relación al patrimonio o a los patrimonios no es una cuestión sencilla, dado que éstos están sujetos a redefiniciones. La noción de patrimonio está vinculada con lo que un grupo humano percibe como su herencia cultural. Puede tratarse del patrimonio cultural, que comprende los bienes identitarios y culturales de una población, tales como el patrimonio arquitectónico, los patrimonios culturales inmateriales, particularmente el patrimonio lingüístico. La declaración de patrimonio mundial de la humanidad de la ciudad colonial de Quito, establecido bajo el auspicio de la UNESCO, es representativo. Pero en el Ecuador, la noción de patrimonio va también de la mano con el patrimonio natural, como un conjunto de recursos naturales, y particularmente en estos últimos años. Dicho patrimonio natural, como el patrimonio cultural, está definido como un bien común que debe ser conservado para ser transmitido a las generaciones futuras. La iniciativa original Yasuní-ITT marca a este respecto un cambio en las políticas de gestión y de conservación del patrimonio en el Ecuador.
Será interesante reflexionar sobre la manera cómo dicho patrimonio (o parte del mismo) es presentado e interrogarse qué representación se hacen de él el público y el ciudadano. Esta representación permite apreciar las relaciones de los proyectos políticos con el pasado y comprender las modalidades de la (re)definición de una cultura nacional considerada como ?genuinamente? ecuatoriana. Los diferentes sentidos que adquiere patrimonio deben interpretarse según una acepción flexible, con el fin de apreciar mejor las dimensiones culturales, políticas, sociales, e incluso ecológicas, de los diferentes proyectos en los siglos 19, 20 y 21. Analizar lo que significa el patrimonio (o los patrimonios) y los nuevos procesos de patrimonialización permite también comprobar la transformación y la amplitud de las políticas culturales, como lo ilustran las políticas urbanas de restauración de los centros históricos y la multiplicación y promoción de los parques nacionales.

Ejes de reflexión:
Las ponencias enviadas pueden abordar una problematización o un estudio de caso (periodos, actores, sectores, territorios, dispositivos). Pueden plantearse la noción de patrimonio:
– por medio de sectores culturales determinados (museos, enseñanza artística, parques naturales, medios de comunicación);
– por medio de la eficacia de los instrumentos de protección de las culturas y lenguas llamadas autóctonas;
– por medio de la redefinición de los patrimonios, patrimonios « etnológicos », reconocimiento del saber hacer popular, patrimonios etnomusicales, patrimonios culinarios, patrimonios medioambientales y ecológicos (biodiversidad, parques nacionales, ecomuseos, etc.) ?;
– por medio de proyectos de restauración urbana, de la puesta en valor de los centros llamados « históricos », especialmente en ciudades como Quito, Cuenca y Guayaquil;
– por medio de las relaciones entre políticas de conservación de un « Patrimonio de la humanidad » promovidas por la UNESCO y las acciones del Estado o de los Municipios;
– como un objeto político (producido por organizaciones políticas y sociales);
– como un factor crucial en la construcción de identidades y de rivalidades entre grupos sociales y etnosociales;
– como un factor crucial para la afirmación del Estado en los territorios y/o para las rivalidades entre actores locales y actores centrales;
– como un tema de debate público en términos ideológicos, políticos e identitarios;
– como un instrumento de la democratización (o no) teniendo como fundamento una visión determinada de lo que es cultura;
– a través de las formas jurídicas que adquieren las orientaciones de una política o de una iniciativa de conservación del patrimonio;
– a través de los medios movilizados, o no, a favor de una política patrimonial, eventualmente en detrimento de otra; las formas políticas y administrativas puestas en marcha (fondos financieros, protocolos, actas, acuerdos?);
La reflexión propuesta apunta a ser pluridisciplinaria, atañendo al derecho, las ciencias políticas, los estudios culturales, la lingüística, la antropología, la mediación cultural, la literatura, las artes, el cine, la organización del territorio, el urbanismo, la arquitectura, entre otros.

Modalidad de presentación de ponencias
Las propuestas de ponencia deben comprender un título, un resumen de una decena de líneas y una breve presentación del autor, y ser enviadas antes del 1ro de noviembre del 2013 a David Macías y Emmanuelle Sinardet:
davidmaciasb@gmail.com<mailto:davidmaciasb@gmail.com>
emmanuellesinardet@yahoo.fr<mailto:emmanuellesinardet@yahoo.fr>
Las ponencias podrán ser presentadas en español o en francés.
Las ponencias escogidas por el Comité científico serán publicadas. Una vez la ponencia aceptada, se enviará un documento indicando las normas tipográficas que deben respetarse con fines de publicación.

fév 26, 2013

Séminaire « Économies et économistes des Amériques : Regards croisés, approches historiques et comparatives (28 février, Paris)

jeudi 28 fevrier 2013, 17h-19H* Les Séminaires de l´Institut des Amériques* Économies et économistes des Amériques : Regards croisés, approches historiques et comparatives

Le CREDA *(Centre de Recherche et de Documentation sur les Amériques UMR7227) et le CERVEPAS* (Centre d´études et de recherches sur la vie économique des pays anglo-saxons, membre de l´EA 4399 CREW)

*Christian DEBLOCK (Université du Québec à Montréal, Professeur invité à l´IdA Rennes<http://www.ida-rennes.org/chaire/chaire-des-ameriques/liste-des-candidats-selectionnes-2012-2013/christian-deblock)*

« La politique commerciale des Etats-Unis  »
Texte en ligne<http://www.ieim.uqam.ca/IMG/pdf/Deblock_politiquecommercialesamericaines_jardintheories_30oct2010pdf.pdf>

*Organisé par*:
Martine AZUELOS, Robert BOYER, Carlos QUENAN

fév 26, 2013

Nouvelle parution « L’Espérancière » Recueil de nouvelles

 

À paraitre en  avril

Nadine Bari, née en Dordogne, épouse un étudiant guinéen. Tous les deux font de brillantes études de droit. En 1958, quand Sékou Touré fait voter non au référendum proposé par De Gaule pour intégrer l’Union française, la Guinée se retrouve indépendante mais isolée. En revanche ce non soulève l’enthousiasme de tous les jeunes Guinéens. Nadine Bari et son mari rentrent donc en Guinée pour participer à la construction du  pays. Le jeune homme intègre un  Ministère, sa jeune femme travaille pour un organisme international. Ils ont 4 enfants. Mais peu à peu les conditions se dégradent : à la faveur des faux complots créés de toutes pièces par le régime, Sékou Touré épure à tour de bras, tantôt les intellectuels, tantôt les enseignants, tantôt une ethnie, tantôt les ennemis « infiltrés »… Se sentant menacé parce que Peul, intellectuel et marié à une Française (3 raisons d’être mal vu), le jeune homme fait partir sa famille en France. Prenant la décision de quitter le pays clandestinement il sera arrêté comme des milliers de personnes enfermées, torturées, disparues, tuées. Nadine Bari est revenue vivre en Guinée après la mort de Sékou Touré. Elle a publié 8 livres sur son pays d’adoption.

Ces nouvelles portent l’espoir et le désespoir, entre lesquels oscillent les Guinéens depuis 50 ans. Des histoires inspirées par la réalité, écrites dans une langue incisive, vivante et touchante. Nadine Bari donne  un caractère profondément humain à tous ces récits, que ce soit les retrouvailles d’un couple après 10 ans de captivité, la traque d’un voleur, l’évasion pittoresque de deux prisonniers ou la fuite tragique de ce jeune homme qui espère rapidement passer la frontière. Le passage de la ligne de démarcation n’est pas loin, comme celui de n’importe quelle frontière entre tyrannie et liberté.


« L’espérancière » est le premier titre d’une collection de nouvelles  « Tinka » aux éditions Ganndal.

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fév 26, 2013

Première séance du séminaire «Foncier, villes et territoires au Brésil : histoire et historiographie. Approches régionales et comparatives » Claudia Damasceno (5 mars, Paris)

Première séance du séminaire  : Espaces et sociétés au Brésil : Foncier, villes territoires, paysages

Mardi 5 mars 2013 :
*Foncier, villes et territoires au Brésil : histoire et historiographie. Approches régionales et comparatives
*Claudia Damasceno Fonseca, directrice d’études EHESS/CRBC-Mondes Américains (UMR 8168)
Salle 1, 105, bd. Raspail 75006 Paris – 13h à 15h

http://lodel.ehess.fr/crbc/document.php?id=920>

Séance introductive /« Histoires spatiales » et géographies rétrospectives du Brésil/ (1)

12 mars:
« Histoires spatiales » et géographies rétrospectives du Brésil/ (2)

19 mars:
Propriété et territoire dans les Amériques portugaise et espagnole/ — Claudia Damasceno et Federica Morelli (Université de Turin)

26 mars:
Catégories spatiales et lexiques territoriaux dans les Amériques ibériques (XVIe-XXe siècles)/

2 avril:
Histoire ecclésiastique, histoire spatiale, histoire sociale : la paroisse dans les Amériques portugaise et espagnole/ — Claudia Damasceno et Maria Elena Barral (Conicet et Université de Lujan, Argentine/ IEA-Paris)

9 avril :
L’Eglise et la colonisation du Nord-Est de Bahia (1640-1750)/ — Evergton de Souza, Université Fédérale de Bahia

16 avril:
Travail, dévotion, peuplement : les confréries de Noirs et de Métis dans les espaces de frontière de l’Amérique portugaise/ — Francisco Andrade, Université Fédérale de Ouro Preto

23 avril:
L’histoire foncière du Brésil : héritages coloniaux, enjeux contemporains/ _

14 mai:
Les registres fonciers comme source pour l’histoire économique, politique et sociale : le cas des villes coloniales brésiliennes/

21 mai:
Propriétaires, vizinhos, citoyens : les questions foncières et politiques en milieu urbain et périurbain (Amérique portugaise /espagnole, XVIe-XVIIIe siècles)/

28 mai:
Structure foncière et topographie sociale dans les villes minières du XVIIIe siècle : une étude de cas/ (bilan provisoire et perspectives d’une recherche en cours)

4 juin:
Conclusions et présentations des travaux des étudiants

fév 26, 2013

Groupe de Réflexion sur le Brésil Contemporain (27 février, Paris)

Groupe de Réflexion sur le Brésil Contemporain* 27 février 2013 190, Avenue de France, 75013, salle 1

Jefferson Agostini Mello , professeur de littérature du Départements d’Etudes Culturelles de l’ USP présentera sa réflexion sur:

« Duplicités chez Bernardo Carvalho: entre esthétique et politique, l’universel et le particulier. « 

fév 26, 2013

Prochaine sceance Groupe de Reflexion et Etudes sur la Colombie

Le Groupe de Réflexion et Etudes sur la Colombie a le plaisir de vous inviter à la présentation du rapport : « Como corderos
entre lobos, del uso y reclutamiento de niñas, niños y adolescentes en el marco del conflicto armado y la criminalidad de Colombia », de Mme Natalia Springer. Ce travail, qui nous fait se pencher sur une des abominations du conflit armé, celle de la participation
des enfants dans la machine de guerre, autant comme combattants, victimes et acteurs/es, est l?invitation à ne pas rester immobiles et donner aux enfants et aux adolescents une perspective de vie en paix, justice et bien-être.

Politologue et Docteure en « Transitional Justice Mechanisms » de l’Université de Vienne. Madame Springer est auteure parmi d?autres :
« ¿Negociar la Paz o hacer la Justicia ? », Planeta 2010, et « Desactivar la Guerra », Planeta 2005. Actuellement est la doyenne de la « Facultad de Relaciones Internacionales y Ciencias Juridicas de l’Université Jorge Tadeo Lozano, à Bogota ». Également elle a une colonne de presse dans le journal El Tiempo.

Jeudi 28 février
17:30
Institut des Ameriques
175 rue de Chevaleret, Plateau A, 8ème étage
750013

SVP. Veillez être à l’heure puisque l’accès au bâtiment est interdit après 18:00 heures

fév 26, 2013

Suite du calendrier des conférences du SEGED au second semestre

Rappel : ces conférences sont obligatoires pour les M2R en science politique.

Les étudiants qui ne pourront valider ce séminaire par leur participation active régulière (parce qu’ils sont sur le terrain ou pour des raisons professionnelles) devront rendre à Renée Fregosi un compte rendu de lecture en relation directe avec leur sujet de mémoire au plus tard le 14 juin 2013.
vendredi 1er mars de  14h à 16h (salle P.Rivet 5e étage)

Diana Knopova (IHEAL-Paris III)
Conférence sur « Les partis verts en Amérique latine dans une perspective comparatiste. Une recherche doctorale »

vendredi 15 mars de 14h à 16h (salle P.Rivet 5e étage)
Clémentine Berjaud (Paris I), Adeline Joffres (Paris III-IHEAL), Eduardo Rios (Sciences Po) et Natacha Vaisset (Rennes II-Lille III)
Conférence sur « Le Venezuela d’Hugo Chavez: bilan et perspectives »

La présentation sera réalisée sur la base du « dossier élections » du GEIVEN (Groupe d’études interdisciplinaire sur le Venezuela)

ATTENTION
Modification de date :

vendredi 12 avril de 14h à 18h (salleA RdCh)
Flavia Friedenberg, Professeur à l’université de Salamanque
Conférence et débats (4h) sur « El Populismo »

 

fév 26, 2013

Événement IDA : Élections mexicaines (28 février, Paris)

The return of the PRI in Mexico: An Initial Assessment of the Peña Nieto Administration
En partenariat avec le University College London et Nuffield College

à partir de 10h30. Les intervenants invités:

Rodrigo AGUILERA
Economist Intelligence Unit

Juan Carlos DOMINGUEZ Instituto Mora

Victor QUINTANA SILVEYRA Professeur invité à l’IHEAL

se joignent au Professeur Kevin MIDDLEBROOK (UCL-IdA) et au Professeur Laurence WHITEHEAD (Nuffield College-IdA)
afin d’analyser et débattre autour des premiers mois de l’administration PRI (Partido Revolucionario Institucional) actuelle.

Salon des Amériques.

Pour plus de renseignements, consulter le site de l’IDA

fév 26, 2013

Sciences Po-CERI-GREPIC-LUISS: colloque « Où va l’Italie ? »

Mercredi 27 février | 9h30

Journée d’études organisée par le  GREPIC (Groupe de Recherches et d’Etudes Pluridisciplinaires sur l’Italie Contemporaine), CERI-Sciences Po et la SOG (School of government) de la Luiss. Avec le soutien de la Fondation pour l’innovation politique et la Fondation Jean Jaurès, et en association avec EurActiv.fr

9h30 – 13h00 La campagne et les résultats
Ouverture :
Massimo Egidi, Recteur de la Luiss
Marc Lazar, professeur des universités à Sciences Po et chercheur au CERI, et SOG-Luiss
Présidence : Renaud Dehousse, directeur du Centre euroopéen de Sciences Po

Introduction à l’analyse globale de la campagne et des résultats
Roberto D’Alimonte, Luiss
Discussion avec Ilvo Diamanti (Université d’Urbino), Marc Lazar, (professeur des universités à Sciences Po et chercheur au CERI, et SOG-Luiss) et Giovanni Orsina, (SOG-Luiss)

De nouveaux leaders pour l’Italie ?
Sergio Fabbrini, SOG-Luiss

14h30 – 16h45 Quelles perspectives pour l’Italie ?
Présidence : Giovanni Orsina, SOG-Luiss

Quelle démocratie en Italie ?
Leonardo Morlino, SOG-Luiss

Quelles perspectives économiques pour l’Italie ?
Marcello Messori, LUISS

Quelle place a désormais l’Europe en Italie ?
Renaud Dehousse, directeur du Centre européen de Sciences Po

16h45 – 17h00 Pause café

17h00 – 18h30 Quels enseignements politiques et économiques peut-on tirer des élections italiennes pour l’Italie, la France et l’Europe ?
Table-ronde finale animée par Marc Lazar (professeur des universités à Sciences Po et chercheur au CERI, et SOG-Luiss) et Sergio Fabbrini (SOG-Luiss)
Avec Massimo Egidi (Luiss), Sylvie Goulard (député européenne), Dominique Reynié (Fondation pour l’Innovation politique), Gilles Finchelstein (Fondation Jean Jaurès)

Langues de travail : français, italien et anglais, sans traduction
Responsable scientifique : Marc Lazar, professeur des universités à Sciences Po et chercheur au CERI, et SOG-Luiss

CERI-56 rue Jacob, 75006 Paris / Salle des conférences
Entrée libre dans la limite des places disponibles. Contact : paolo.modugno@sciences-po.fr

fév 26, 2013

Prochaine séance du séminaire des doctorants du CERMA (01 Mars, Paris)

Le prochain séminaire des doctorants du CERMA aura lieu vendredi 01 Mars, de 15h à 17h dans les locaux de l’EHESS, en salle 6 au 105 boulevard Raspail.

Nous aurons le plaisir d’accueillir Rodrigo Nabuco de Araujo, docteur en histoire, CUFR d’Albi, FRAMESPA (France Méridionale et Espagne : histoire des sociétés du Moyen-Age à l’époque contemporaine), qui présentera un exposé intitulé :

« La diplomatie militaire française au Brésil (1958-1978) :Doctrines, technologies, réseaux »

Pour plus d’informations sur le séminaire, vous pouvez consulter le site de l’EHESS (ou nous écrire !) : http://www.ehess.fr/fr/enseignement/enseignements/2012/ue/861/

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