avr 1, 2015

Appel à communications pour un colloque international : « PENSER L’EMANCIPATION »

Ce colloque international, qui aura lieu des 28 au 30 janvier 2016 à l’université libre de Bruxelles, est organisé par le réseau “Penser l’émancipation”. Il fait suite aux éditions de Lausanne en octobre 2012 (http://wp.unil.ch/ple/) et Paris (http://www.penserlemancipation.net/site.html?page=accueil) en février 2014 et s’inscrit dans une série d’initiatives visant à développer, dans le monde francophone, un espace de réflexion et de discussion autour des élaborations théoriques et des pratiques sociales qui mettent en jeu l’émancipation humaine.

Les propositions de communication (environ 2000 signes) sont à envoyer à l’adresse électronique suivante, le dimanche 17 mai 2015 au plus tard. : penserlemancipation2016@gmail.com

PRESENTATION

La « crise financière » qui a éclaté en 2008 est loin d’être surmontée. La généralisation actuelle des politiques d’austérité, l’exploitation accrue du travail qui s’accompagne d’une mise en concurrence incessante des travailleurs, les remises en cause de l’État social, le recours à une appropriation militaire et néocoloniale des richesses naturelles aux dépens de la survie des populations ont pour corollaire une dégradation du niveau de vie d’un nombre croissant d’individus, qui s’accompagne bien souvent de restrictions de leurs droits sociaux et syndicaux, voire de leurs libertés politiques. Partout, les appareils répressifs (policiers, législatifs et judiciaires) tendent à se renforcer. On assiste également à un retour offensif de courants jouant sur la différenciation nationaliste, religieuse, ethnique, voire ouvertement raciste, et/ou sexiste comme prétendue solution à la crise capitaliste. Ces idées réactionnaires déteignent sur la grande majorité des partis défenseurs de l’ordre économique capitaliste, même ceux qui se réclament de la gauche.

Le capitalisme, qui étend sa domination à l’ensemble des temporalités et des espaces de la vie sur terre pour satisfaire à des exigences de rentabilité toujours accrues, démultiplie, dans ce mouvement même, les champs de sa « crise » – dont le concept et la réalité doivent aujourd’hui plus que jamais faire l’objet d’analyses et de débats.

À l’autre pôle, la recrudescence depuis 2008 des mobilisations et manifestations de masse mais aussi le retour et le renouvellement de pratiques de résistance plus diffuses sont également les témoins de l’approfondissement de la crise en cours. Dans le monde du travail, on assiste à une déstabilisation des cadres traditionnels de l’action collective en lien avec la fragilisation de la condition salariale, qui ne se traduit pas par une éradication de la conflictualité au travail, mais bien par un redéploiement sous contrainte des pratiques conflictuelles. La transformation des modes de la conflictualité sociale se décline en boycotts, grèves perlées, grèves du zèle, sabotages, etc., et se traduit par une progression des conflits courts (grèves de moins de deux jours et débrayages), des conflits sans arrêt de travail et des conflits individuels. De manière plus globale, les révolutions dans le monde arabe, les mouvements sociaux dans le sud de l’Europe (Grèce, Portugal, Espagne,..), les grèves massives dans l’industrie asiatique, les actions collectives contre les privatisations des ressources et de l’accès à la terre en Amérique centrale et du Sud, l’impact du mouvement « Occupy » aux États-Unis, la mise en place d’« alternatives » au diktat des marchés (cantines populaires, potagers collectifs, habitats communautaires, « donneries », « repairs café », etc.) comme le développement de mouvements d’opposition spécifiques (luttes contre les expulsions de sans-papiers, constitution de comités de chômeurs, de comités de quartiers contre les expropriations de logements ou encore de « Zone à Défendre », telle que la « ZAD » opposée au projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en France) expriment également tous, explicitement ou implicitement, avec des contenus politiques et des pratiques certes très variés, cette recrudescence des pratiques d’émancipation sociale. Un certain nombre de structures qui voient le jour dans ces mouvements de résistances deviennent en même temps de nouveaux espaces de théorisation critique.

La nécessité de réfléchir sur les dynamiques régressives dominantes autant que sur les pratiques d’émancipation n’a cessé d’être à l’ordre du jour depuis la première édition de la série de colloques « Penser l’émancipation » en 2012 à Lausanne. À l’heure où nous écrivons ces lignes se dessinent dans les dits “pays riches” d’Europe les contours de plans d’austérité drastiques. C’est le cas notamment en Belgique – qui vient de connaître une large mobilisation contre cette politique (120.000 manifestants le 6 novembre 2014) – où doit se tenir la présente édition du colloque en janvier 2016. Les théories de l’émancipation seront-t-elles une fois encore en retard sur la réalité sociale, politique et économique ?

L’édition 2016 du colloque « Penser l’émancipation » propose d’interroger, au travers d’une vingtaine d’ateliers (de trois intervenant-e-s chacun), les articulations, les relations et les convergences des différents champs de résistance face à l’approfondissement de la crise capitaliste.

Afin de donner une certaine cohérence à ces ateliers, ceux-ci seront regroupés dans six grandes sessions structurées comme suit : en amont, une première session introductive rassemblera diverses interventions consacrées à l’analyse des caractéristiques et des manifestions de la « crise » actuelle, dans ses dimensions les plus générales et globales. Suivront ensuite quatre sessions, structurées autour de quatre grands champs de lutte – économique, politique, écologique et culturel – sachant que, dans la réalité, les frontières entre ces « champs » sont évidemment floues et poreuses et qu’il est impossible de les cloisonner strictement comme objet d’étude. La question que nous voudrions voir transversalement posée, dans chaque atelier, est précisément celle des liens entre les luttes particulières et une perspective émancipatrice d’ensemble. Pour l’ensemble de ces sessions, nous souhaiterions des exposés analytiques sur les théories et pratiques spécifiques d’émancipation que ces différents types de luttes suscitent. L’approche interdisciplinaire (sociologie, histoire, économie, anthropologie, géographie,…) sera privilégiée, y compris des retours historiques sur des expériences et pratiques du passé, essentielles pour comprendre et agir sur le présent. Une sixième et dernière session sera consacrée à l’étude de mouvements qui étendent en acte aujourd’hui – mais à une échelle encore locale – les champs de leurs pratiques contestatrices à une multiplicité d’aspects de la vie sociale (production, enseignement, modalités de prise de décision, culture, information, arts, etc.) et qui constituent à nos yeux autant de précieux laboratoires de réflexion sur les questions que pourraient poser un processus d’émancipation sociale d’ensemble. Cette dernière session sera également l’occasion de poser la question de la convergence et de la coordination des luttes au niveau international.

Notre réseau réunit des chercheurs et chercheuses, des éditeurs et éditrices, des acteurs et actrices du mouvement social, qui entendent contribuer à développer dans le monde francophone, un espace de réflexion et de discussion ouvert et respectueux des différences, sans pour autant se départir du débat et de la confrontation. Il s’agit pour nous de permettre aux recherches et élaborations théoriques, comme aux pratiques sociales, de participer à l’émergence d’une politique d’émancipation riche, exigeante, consciente de son histoire, et à même de répondre aux défis du temps présent.

Les propositions de contributions pour ce colloque devront s’inscrire dans l’une des six sessions suivantes (les thèmes suggérés pour chacune des sessions ne sont pas exhaustifs, il s’agit simplement de donner – à travers une série d’exemples – une orientation générale aux sessions) :

Les ressorts de la crise globale
pertinence du concept de « crise » (en usage sans interruption depuis les années 1970) ;
outils théoriques de compréhension des mécanismes de l’approfondissement de la crise du capitalisme ces dernières années ;
pays émergents, gouvernements latino-américains post-néolibéraux, nouveaux rapports de force internationaux et évolution de l’impérialisme consécutivement à la crise ;
précarisation des conditions d’existence des individus, démantèlement des acquis sociaux, remise en question de l’État social, et offensive généralisée contre les organisations du travail/des travailleurs ;
analogies historiques pertinentes à la crise actuelle en termes d’inspirations pour des pratiques d’émancipation ou crise sans précédent ?
Luttes sur le terrain des entreprises et expérimentations/pratiques économiques en résistance
analyse de luttes sur le terrain économique des entreprises : grèves, occupations d’usines/entreprises, etc. ;
retours sur des expérimentations économiques alternatives et/ou en résistance : des coopératives à l’économie sociale et solidaire, en passant par les services d’échanges locaux (SEL), l’autogestion, les mouvements pour la décroissance, etc.
Luttes dans le champ politique
analyse des mouvements de résistance contre les politiques étatiques d’austérité actuelle, contre des gouvernements/régimes en place, mais aussi contre les politiques déployées par les institutions internationales (OMC, FMI, BM, Commission européenne, BCE,…) ;
analyse des continuités et ruptures dans les formes d’organisations (partis, syndicats, collectifs…) ; déploiement de pratiques politiques alternatives (démocratie directe, assemblées populaires, regroupements par affinités, décision par consensus, occupation de places publiques, etc.) ;
Luttes dans le champ sociétal, philosophique et culturel
luttes contre les discriminations sexistes, racistes, ethniques ;
émancipation et religion (retour du religieux – théologies d’émancipation) ;
résistances à l’isolement social (à la médiatisation des rapports humains par la marchandise, le travail, etc.) : création de solidarités nouvelles, retour du « collectif », projets de vie alternatifs ;
luttes et pratiques alternatives contre les modèles de développement et de consommation effrénés (problèmes de “malbouffe”, de santé, d’isolement social des individus..) : culture « underground », mouvement antipub, réinvestissement de l’espace public, questionnement des pratiques d’enseignement, critique des technologies nouvelles, mouvements anti-industriels/anti-productivistes, etc.
Luttes écologiques/environnementales
mouvements anti-industriels/anti-productivistes, etc.
mouvements anti-nucléaire, luttes contre l’exploitation du gaz de schiste (Québec, Algérie, Pologne,…) ;
mouvement pour la décroissance, retour « au local » (production et consommation), agroécologie… ;
luttes contre la privatisation des ressources naturelles, contre « l’accumulation par dépossession » ; luttes pour les « communs ».
Luttes convergentes – convergence des luttes
création de « communes libres », de « centres sociaux », de « zones à défendre » (ZAD), contre l’appropriation capitaliste des espaces de vie ;
expériences « autogestionnaires » locales : par exemple à partir des mouvements des « usines récupérées » en Argentine mais qui vont déborder le seul cadre de l’entreprise, au cœur du mouvement Barrios en Lucha (Quartiers en lutte) en Espagne, ou encore au cours des occupations dans le quartier athénien d’Exarchia en Grèce, etc. ;
quelle coordination des luttes au niveau international ? Analyse en termes d’action syndicale, de pratiques de solidarité, refus ou nécessité d’une cohésion internationale ? (retour sur le passé des « Internationales ») ?

DÉPÔT DES PROPOSITIONS :

La date limite pour soumettre une proposition de communication est le dimanche 17 mai 2015 au plus tard.
Les propositions, d’environ 2000 signes, sont à envoyer à l’adresse électronique suivante : penserlemancipation2016@gmail.com

INFOS PRATIQUES :

Les frais de voyage et d’hébergement ne pourront être pris en charge par les organisateurs et organisatrices que de façon exceptionnelle. La priorité sera donc donnée à des participants et participantes ne disposant que de très faibles moyens.

Date du colloque : Jeudi 28, vendredi 29, samedi 30 janvier 2016
Lieu : Université Libre de Bruxelles, Campus du Solbosch

avr 1, 2015

Séminaire : Perspectives comparatives sur les droits des peuples autochtones » – année 2014-2015

L’équipe ERC SOGIP, dirigée par Irène Bellier, a le plaisir de vous inviter au séminaire mensuel : « Perspectives comparatives sur les droits des peuples autochtones » – année 2014-2015 : participation politique et citoyenneté à la 6ème séance sur : Les enjeux fonciers pour les peuples habitant les forêts

Date : Jeudi 9 avril 2015
Heures : 9h à 13h
Lieu : EHESS, Salle 1, bâtiment Le France, 190 av de France, 75013 Paris.

Intervenants :

Miquel FIGUERAS MOREU, « Qu’est-ce qu’un territoire au Venezuela ? » (doctorant EHESS, LAS)
Geoffroy FILOCHE, « Objets déconnectés ou pièces d’un puzzle ? Les droits fonciers des Amérindiens de Guyane » (IRD, GRED)
Jean-Pierre NGUEDE, « Les pygmées d’Afrique centrale : entre construction et déconstruction des modes de vie traditionnel et moderne » (doctorant EHESS, IMAF)

Présentation :

Nous consacrerons cette séance à l’analyse des dynamiques territoriales des peuples autochtones habitant les forêts. Les territoires autochtones et leurs ressources naturelles sont considérés aujourd’hui comme un élément central pour la garantie des droits de l’homme des peuples autochtones. Cela conduit à une multiplication de dynamiques qui rendent plus complexes les articulations de ces territoires aux systèmes politiques, économiques et juridiques. La cohabitation de différentes représentations du territoire, la superposition des lois et des institutions, la présence d’enjeux économiques contrastés transforment la gouvernance des territoires autochtones. Cela a pu dans certaines situations renforcer le rôle de ceux-ci comme noyau d’un projet politique, mais aussi créer des discontinuités, mettant en difficulté la sûreté de ces terres et la consolidation des droits reconnus. Nous examinerons cela à travers l’étude de trois cas. Geoffroy Filoche, à partir de la Guyane française analysera les implications de l’imbrication des droits fonciers dans le maillage institutionnel et social du territoire départemental. La présentation de Jean-Pierre Nguede évoquera les enjeux de la transformation des modes de vie des Pygmées d’Afrique centrale suite à des expériences de migration. La présentation de Miquel Figueras Moreu se focalisera sur les effets du processus de titularisation des terres mené au Venezuela. Il mettra en relief les tensions existant entre les différentes représentations des territoires.

Résumés :

Miquel FIGUERAS MOREU, « Qu’est-ce qu’un territoire au Venezuela ? »

La défense des peuples autochtones d’Amérique du Sud s’est fermement attachée aux cadres juridiques et à l’appareil d’Etat. Le droit foncier a été sans doute l’axe privilégié, le territoire étant conçu comme l’incarnation de l’économie, de la culture et de la philosophie autochtones. Vingt ans après les premières législations, le bilan est ambivalent : un succès indiscutable du point de vue quantitatif, surfaces, populations et droits confondus ; mais une victoire amère pour diverses raisons. La légalisation des terres a été un moteur d’assimilation et de dépendance aux cultures et économies nationales ; les titres sont limités par une double renonciation : à la continuité territoriale (parcellisation), ou aux zones stratégiques concomitantes aux fronts d’expansion nationale (éloignement) – parfois les deux simultanément. D’autre part, la propriété n’a pas assuré la sécurité, rien ne veille à l’accomplissement du droit. Et finalement, le contrôle des ressources reste soumis aux projets extractivistes d’Etat et d’entreprises multinationales.

Geoffroy FILOCHE, « Objets déconnectés ou pièces d’un puzzle ? Les droits fonciers des Amérindiens de Guyane »

Même si la France refuse toujours de reconnaître aux Amérindiens de Guyane le statut de peuples autochtones, des droits fonciers leur sont octroyés depuis 1987. Ces droits ne se laissent toutefois pas facilement appréhender. Initialement, leur étendue n’a été explicitée qu’a minima afin de sauvegarder les apparences d’égalitarisme républicain et de favoriser l’acceptabilité politique par la population créole de ces droits spécifiques et exclusifs. Parallèlement, les dispositifs fonciers en place sont débordés par les dynamiques sociales qu’ils prétendent réguler. Ils font l’objet de réappropriations parfois radicales par les communautés autochtones qui sont de plus en plus difficiles à justifier auprès des institutions publiques. Les décalages entre droit et fait sont d’autant plus crûment mis en lumière que les terres amérindiennes sont toujours plus imbriquées dans un espace guyanais faisant l’objet de nouvelles régulations résultant des politiques de conservation de la biodiversité (Parc amazonien de Guyane), d’urbanisme ou d’aménagement du territoire. Alors que les zones de vie autochtones ont été par le passé (relativement) déconnectées de la vie juridique et ont été gérées assez librement par les Amérindiens, des controverses émergent aujourd’hui concernant l’articulation de différentes légitimités sur un espace partagé. Dès lors, l’objectif principal de l’intervention est de montrer dans quelle mesure les droits fonciers des Amérindiens s’intègrent et évoluent dans le maillage institutionnel croissant du territoire guyanais. Les principaux résultats sont tirés d’une étude menée entre 2013 et 2014, coordonnée par Damien Davy (CNRS) et Geoffroy Filoche (IRD).

Jean-Pierre NGUEDE, « Les pygmées d’Afrique centrale : entre construction et déconstruction des modes de vie traditionnel et moderne »

Depuis quelques décennies, la sédentarisation des Pygmées en Afrique, en Afrique centrale, en particulier, a permis la transformation des territoires qu’ils occupaient jadis en aires protégées, concessions forestières et minières et en plantations agro-forestières. Le passage des modes de vie traditionnel, soutenu par des programmes d’organismes internationaux (Plan international, Unicef, etc.) et de la société civile, ne s’est pas vérifié sans problèmes : la relation tendue avec les Bantous, la précarité du travail trouvé en village, le contexte de guerres continues dans la région sont des facteurs qui découragent les Pygmées situés à la frontière du Cameroun et de Centrafrique de s’intégrer dans la « civilisation ». Ils sont chassés ou regagnent volontairement, de façon progressive, les profondeurs de la forêt. Seulement, ils sont confrontés à une adaptation difficile. Se situant dans les perspectives de construction et de déconstruction des modes de vie, cette communication vise à analyser la dynamique culturelle des Pygmées dans un nouveau contexte qui est celui du retour dans l’environnement de départ.
Prochaine séance : séance de clôture du séminaire SOGIP dans le cadre de la Conférence SOGIP 2015

Jeudi 16 avril 2015 : Citoyenneté, participation politique.
Intervenants : Martin Papillon (Université d’Ottawa, politiste), Carole Lévesque (anthropologue), Daniel Salée (politiste), séance animée par Irene Bellier, Martin Préaud, Laurent Lacroix et Véronica Gonzalez Gonzalez.

Attention : le séminaire du 16 avril se tiendra à l’EHESS, 190 avenue de France 75013 Paris au 6ème étage en salles 638 à 641 dans le cadre de la Conférence « Echelles de gouvernance, Les nations unies, les Etats et les peuples autochtones ». Accès libre à l’ensemble du programme sur réservation, dans la limite des places disponibles. Merci de bien vouloir confirmer par mail votre participation et vos dates de présence : conferencesogip2015@gmail.com

Programme de la conférence : http://www.sogip.ehess.fr/spip.php?article600

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Nous avons le plaisir de vous annoncer que la version française de l’ouvrage Making the Declaration Work : The United Nations Declaration on the Rights of Indigenous peoples, dirigé par Claire Charters et Rodolfo Stavenhagen (IWGIA, 2009) intitulée « La Déclaration des droits des peuples autochtones : Genèse, enjeux et perspectives de mise en œuvre » est maintenant en libre accès. Toutes les informations et téléchargement à partir du site SOGIP :http://www.sogip.ehess.fr/spip.php?article549

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Séminaire coordonné par :
Irène Bellier, Directrice de Recherche au CNRS, LAIOS-IIAC et Verónica González González, postdoctorante LAIOS-SOGIP et animé par l’équipe SOGIP (ERC 249236) Présentation du séminaire années 2014-2015 :

7 séances, 2ème jeudi du mois de 9 h à 13 h, salle du Conseil A (sauf le 9 avril ; salle 1 et le 16 avril ; salles 638-641), bâtiment Le France, 190-198 avenue de France 75013 Paris, du 13 novembre 2014 au 9 avril et le jeudi 16 avril 2015. Ouvert à tous.

Le séminaire se déroulera autour de 7 séances : 13 novembre 2014, 11 décembre 2014, 8 janvier 2015, 12 février 2105, 12 mars 2015, 9 avril 2015 et le 16 avril 2015 (le 16 avril se tiendra la dernière séance du séminaire dans le cadre de la conférence SOGIP qui aura lieu du 15 au 17 avril au France.)

Présentation générale du séminaire : Perspectives comparatives sur les droits des peuples autochtones – années 2014-2015 : participation politique et citoyenneté

Le séminaire de l’équipe SOGIP (ERC 249 236, IIAC-LAIOS) examine les perspectives ouvertes par l’adoption en 2007 de la Déclaration des Nations-Unies sur les Droits des Peuples autochtones (DDPA). Cette année, il aura comme principal horizon de réflexion l’exercice par les peuples autochtones de leurs droits civils et politiques et, dans un sens large, de la citoyenneté. Ces groupes historiquement mis aux marges de la société et de l’Etat, se sont souvent mobilisés pour demander un traitement égalitaire. Leurs demandes ont abouti, dans différents cas, à des propositions de modèles de citoyenneté qui, tout en reconnaissant le caractère universel de la citoyenneté et l’importance des droits de l’homme à caractère individuel, soulèvent le besoin de reconnaître des particularités culturelles et ethniques, ainsi que des droits collectifs comme une condition nécessaire à la garantie d’une citoyenneté effective, et inclusive. La DDPA énonce les bases d’une telle citoyenneté, qui se veut également respectueuse des institutions politiques dont les peuples autochtones se sont dotés pour se gouverner. La mise en place des modèles de citoyenneté culturelle comporte autant d’opportunités que de risques pour la consolidation des projets politiques. L’exercice des droits politiques et civils des peuples autochtones rencontre, au niveau pratique, de nombreuses contradictions que nous essaierons d’identifier au cours des différentes séances

avr 1, 2015

Invitation présentation dossier multiculturalisme PAL92

Présentation du dossier de la Revue PROBLÈMES D’AMERIQUE LATINE 92 aura lieu autour du thème : « Paradoxes et ambigüités des politiques multiculturelles »

Date : Mardi 7 avril
Hueres : 16h à 18h
Lieu : l’IHEAL – Institut des Hautes Études de l’Amérique latine,
28 Rue Saint-Guillaume, 75007 Paris – Salle C, RdC.

Discutants :
Véronique Boyer – Anthropologue – Directrice du Centre de Recherches sur les Mondes Américains (CERMA)
Virginie Laurent – Sociologue – Professeure à l’Université de Los Andes – Colombie

Avec la participation de Carlos Agudelo, Capucine Boidin, Maité Boullosa, Elisabeth Cunin et Odile Hoffmann

CREDA-Centre de Recherche et de Documentation sur les Amériques UMR – 7227. CURAPP – Centre Universitaire de Recherches Administratives et Politiques de Picardie UMR- 7319. URMIS – Unité Mixte de Recherche Migrations et Société. LMI-MESO Laboratoire Mixte International « Gouvernance et Ressources dans le bassin méso-américain »

Pour plus d’informations, voir ce PDF : resumesPAL92

avr 1, 2015

Appel à candidatures année universitaire 2015-2016 bourses de recherche doctorale de la Fondation Martine Aublet 2015-2016

La Fondation Martine Aublet, sous l’égide de la Fondation de France, offre, pour l’année universitaire 2015-2016, une douzaine de bourses de recherche doctorale à des étudiants inscrits en troisième cycle dans un établissement d’enseignement supérieur français ou en co-tutelle avec une université étrangère.

Les disciplines concernées sont l’anthropologie, l’ethnomusicologie, l’ethnolinguistique, l’histoire de l’art, l’histoire, l’archéologie, et la sociologie.

Ces bourses sont destinées à financer exclusivement des recherches de terrain en Afrique, en Asie, en Océanie, au Moyen-Orient, dans l’Océan Indien et les Amériques amérindienne, latine et caribéenne.

Si aucun domaine thématique de recherche n’est privilégié, il est impératif que la méthodologie d’enquête soit qualitative et relève de l’observation participante ethnographique, du traitement d’archives et de la documentation historiographique (collections comprises), de la participation à des chantiers de fouilles archéologiques ou bien de la conduite d’entretiens thématiques et directifs. Ces bourses de terrain concernent donc la phase initiale de la réalisation d’une thèse (première et deuxième année de 3° cycle) et non la phase de rédaction finale (à partir de la troisième année).

Ces bourses sont attribuées pour une durée de 12 mois non reconductible, du 1er novembre au 31 octobre. Elles sont chacune d’un montant global de 15000 euros, versé en deux fois. Elles sont allouées après évaluation et sélection des dossiers par le Comité des rapporteurs et le Conseil Scientifique de la Fondation Martine Aublet, et validation par le Conseil d’administration de la Fondation. Aucune condition de nationalité n’est exigée.

MODALITES D’ENREGISTREMENT DES CANDIDATURES

Les demandes de bourses de recherche doctorale doivent être établies suivant un formulaire à télécharger, durant la période de l’appel à candidature, sur le site Internet du musée du quai Branly. Le dossier de candidature devra être accompagné d’une lettre du directeur de thèse arguant de la qualité du projet présenté. Les lauréats seront tenus de remettre à la Fondation un rapport succinct à mi-parcours de leur recherche, puis un rapport complet à l’issue de celle-ci qui sera publié dans des Annales de la Fondation.

Pour être enregistré, le dossier de candidature complet doit obligatoirement faire l’objet d’un double envoi avant le 15 juin 2015 à minuit :

– par voie électronique, à l’adresse suivante : bourses.martineaublet@quaibranly.fr . Les différents documents seront regroupés en un unique fichier pdf intitulé de la façon suivante NOMDUCANDIDAT_bourseFMA_2015.pdf. L’ensemble du dossier de candidature ne dépassera pas 5Mo.

– par courrier postal (avec mention ‘Candidature Bourse doctorale Fondation Martine Aublet’ portée sur l’enveloppe), avec le formulaire de candidature daté et signé, à l’adresse suivante :

Fondation Martine Aublet
Département de la recherche et de l’enseignement
musée du quai Branly
222, rue de l’Université
75343 Paris Cedex 07

Tout dossier incomplet sera écarté.

Les étudiants qui comptent s’inscrire en première année de thèse à la rentrée universitaire 2015 devront joindre à leur dossier de candidature une attestation de leur futur directeur de thèse confirmant leur inscription. Ils devront nous faire parvenir la copie de leur carte d’étudiant en septembre.

La liste des candidatures admises à concourir sera affichée sur le site web du musée du quai Branly à partir du 2 juillet 2015.

La liste des lauréats sera affichée sur le site web du musée du quai Branly et diffusée à la fin du mois de septembre 2015. La cérémonie de remise des bourses aura lieu dans le courant du mois d’octobre.

Pour l’inscription, se reporter à la pièce jointe suivante : FORMULAIRE bourse doctorale Martine Aublet 2015-16

avr 1, 2015

2ème appel à participation : « Ciudades y conflictos : ayer, hoy y mañana »

Dates : 17, 18, 19 de junio 2015
Lieux : Bogotá – COLOMBIA y Madrid – ESPAÑA

Las Jornadas de Jóvenes Americanistas (JJA) son reuniones anuales que tienen por objetivo contribuir a la formación de jóvenes investigadores (de maestría hasta doctorado) que trabajan sobre las Américas. Buscan fomentar la creación de espacios de discusión para el desarrollo de la investigación y el uso de metodologías pluridisciplinarias y con un enfoque internacional. Lo nuevo de la sexta edición de las JJA, « Ciudades y conflictos: ayer, hoy y mañana», es la organización del evento en América y en Europa al mismo tiempo los días 17, 18 y 19 de junio, compartiendo ponencias. Así, el evento se desarrollará en la Alianza Francesa de Bogotá (Sede Centro) y en la Universidad Nacional de Educación a Distancia (UNED) de Madrid.

El objetivo de estas jornadas es poner en discusión las temáticas urbanas con el análisis de los conflictos, desde un punto de vista metodológico, conceptual y epistemológico. Una reflexión multidimensional – disciplinaria, espacial y temporal – y comparativa será propuesta en esta ocasión con el fin de formar a los jóvenes investigadores a la doble entrada temática de la ciudad y el conflicto.

El formato mezcla conferencias magistrales, talleres dirigidos por expertos y discusiones alrededor de trabajos de investigación en curso de desarrollo. Durante tres días, el objetivo será reunir en Bogotá y en Madrid más de 30 jóvenes e investigadores confirmados de todas las ciencias sociales (geografía, urbanismo, historia, sociología, antropología, ciencia política, arqueología, etc.).
….
Les Journées des Jeunes Américanistes (JJA) sont des réunions annuelles consacrées à la formation des jeunes chercheurs (de niveau master jusqu’aux jeunes docteurs) qui travaillent sur les Amériques. Elles visent l’ouverture d’espaces de discussion pour le développement de la recherche et de méthodologies avec une approche pluridisciplinaire et internationale. La nouveauté de la sixième édition des JJA « Villes et Conflits : hier, aujourd’hui et demain » est l’organisation de l’événement en Amérique et en Europe au même moment – les 17, 18 et 19 juin 2015 – en partageant les activités. L’événement aura lieu à l’Alliance Française de Bogota et à l’Université Nationale d’Education à Distance de Madrid.

L’objectif des Journées des Jeunes Américanistes est de mettre en discussion les thématiques urbaines et l’analyse des conflits, d’un point de vue méthodologique, conceptuel et épistémologique. Une réflexion multidimensionnelle – disciplinaire, spatiale et temporelle – et comparative sera engagée pour former les jeunes chercheurs à la double entrée thématique de la ville et du conflit.

Le format mélange conférences magistrales, ateliers dirigés par des experts et discussions autour de travaux de recherche en cours. Pendant trois jours, l’objectif est de réunir à Bogota et à Madrid plus de 30 jeunes chercheurs et des chercheurs séniors de toutes les sciences sociales (géographie, urbanisme, histoire, sociologie, anthropologie, sciences politiques, archéologie…).


COMITE D’ORGANISATION

hattemer Cyriaque – Volontaire International IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
robert, Jérémy – Chercheur associé IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
Bignon, François – Coordinateur Institut des Amériques, Pôle Andin Lima
valadeau Céline – Chercheur pensionnaire IFEA en Colombie (UMIFRE 17, USR 3337)
Moreno, Cristina – Coordinatrice Institut des Amériques, Pôle andin Bogota
Guerrero, Camilo – Doctorant IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
Rivera, Ana María – Coordinatrice UNED
borras, Gérard – Directeur IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
lestage, Françoise – Directrice CEMCA (UMIFRE 16, USR 3337)

COMITE SCIENTIFIQUE

Benites-Gambirazio, Eliza – Doctorante UMI 3157 iGlobes (CNRS/Université d’Arizona)
Bernet peña, Luis – Investigador asociado IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
Bignon, François – Doctorant Institut des Amériques, pôle Andin Lima
Boeuf, Alice – Chercheure associée IFEA (UMIFRE 17), Université Nationale de Colombie
Duarte, Guillaume – Doctorant Institut des Amériques, pôle Mexique
Exbalin, Arnaud – Chercheur Casa de Velázquez (EHEHI)
Garralón García, Marta – chercheuse UNED
Guerrero, Camilo – Doctorant IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
Guevara, Sofia – Doctorante Institut des Amériques, pôle San José
Hattemer, Cyriaque – Doctorant IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
Latargere, Jade – Doctorante CEMCA (UMIFRE 16, USR 3337
Langlois, Alice – Doctorante IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)
Marchand, Amaël – Doctorant CEMCA (UMIFRE 16, USR 3337)
Pérez lopez Ruth – Chercheur pensionnaire CEMCA (UMIFRE 16)
Robert, Jérémy – Chercheur associé IFEA (UMIFRE 17, USR 3337)

En adjunto los detalles del evento y los requisitos para participar (francés y español)
Las propuestas deberán presentarse al correo: jja2015@ifea.org.pe
Tienen plazo hasta el 15 de abril.

Pour des informations supplémentaires, voir les PDFs : Appel-JJA-2ndCirculaire-ESP-23032015

, Appel-JJA-2nd-Circulaire-FR-23032015

avr 1, 2015

Rencontre-débat sur le thème : « Droit à la résistance, parcours de « résistants » en situation coloniale esclavagiste et après l’abolition »

Organisées par l’Institut d’Histoire de la Révolution Française, les 3e rencontres du grand Séminaire d’Histoire des outre-mer français ont pour but de s’interroger sur la notion juridique de résistance à l’oppression mais aussi sur les parcours des individus ou groupes humains résistant à l’autorité coloniale esclavagiste. Il s’agira de mettre en perspective une conception plus socio-historique de la notion de résistance et de la figure du résistant. Différentes rencontres sont proposées dans tout Paris avec une conclusion générale le samedi 11 avril 2015 de 17h10 à 18h00 dans la salle principale du Pavillon Gabriel.

Participation libre dans la limite des places disponibles.

En savoir plus : http://www.ihmc.ens.fr/8-11-avril-2015-Grand-Seminaire-d.html
frederic.regent@univ-paris1.fr

mar 30, 2015

Vient de paraître : « La présence de la Chine dans la Caraïbe »

En 2014, l’Institut des Amériques a réalisé un rapport à la demande de l’AFD qui, a mobilisé plusieurs experts de son réseau et a été coordonné par Carlos Quenan, Professeur à l’IHEAL et Vice-Président de l’IdA ; Eric Dubesset, Maître de conférence à la Faculté de Droit et de Sciences Politiques de Bordeaux et Viktor Sukup, Analyste d’économie internationale et ancien fonctionnaire de la Commission européenne dans le domaine de la coopération au développement.

L’AFD vient de publier cette étude sous la forme d?un document de travail. Il sera présenté dans le cadre d’une séance de Think Tank de l’Institut des Amériques au cours des prochaines semaines.

Depuis quelques années, la République populaire de Chine (RPC) organise son grand retour sur la scène internationale. Tant sur le plan diplomatique que sur le plan économique, elle tend ainsi à multiplier ses implantations dans le monde. Dans la Caraïbe insulaire, où sa présence est ancienne, l’influence chinoise s’affirme au bénéfice de cette dynamique, tout en se diversifiant. Est-il cependant possible de parler de percée chinoise dans cette région historiquement sous influence de l’Europe et des États-Unis ?
Réalisée dans le cadre d’un partenariat entre l’Institut des Amériques (IdA) et de l’Agence Française de Développement (AFD), cette étude tente d’y répondre.

Liste des auteurs:

– Romain CRUSE enseigne la géographie, l’économie et l’histoire de la Caraïbe à l’Université des Antilles et de la Guyane (UAG), en Martinique, ainsi que l’University of the West Indies (UWI), à Trinidad et à la Jamaïque, dans les départements d’économie, de géographie et de sciences politiques. Il enseigne aussi le créole jamaïcain dans le département d’Anglais de l’UAG.

– Juan Carlos DIAZ MENDOZA, Étudiant à l’IHEAL.

– Laneydi MARTINEZ ALFONSO, Doctorante à l’Université de La Havane.

– Antonio ROMERO, Département Macroeconomia y Estudios Comparados, Universidad de la Habana (Cuba).

Pour plus d’informations sur ce document voir ce lien : http://librairie.afd.fr/la-presence-de-la-chine-dans-la-caraibe/

mar 30, 2015

Appel pour des positions postdoctorales pour deux ans à Santiago du Chili

Un appel pour des positions postdoctorales pour 2 ans à Santiago est lancé. Toutes les nationalités sont bienvenues, ainsi que toutes les disciplines des sciences sociales.

Pour plus de détails, merci de se reporter à ce PDF : COES call for postdocs 2015

mar 30, 2015

Le Musée de l’histoire de l’immigration lance une aide à l’édition des thèses

Dans le cadre de sa politique de soutien à la diffusion et à la valorisation de la recherche, le Musée de l’histoire de l’immigration propose une aide à l’édition des thèses.

En 2015, seront attribuées deux aides de 1500 euros chacune, versées sur convention, à des éditeurs publiant en France, et ayant retenu pour publication un ouvrage portant sur l’histoire des migrations.

Toutes les thèses, quelle que soit l’année de soutenance, sont éligibles.

La qualité scientifique de la thèse, mais aussi l’approche historique et la dimension centrale des migrations constituent des critères importants de l’évaluation.

Les dossiers de candidature devront comporter : une lettre d’engagement de l’éditeur ; le rapport de thèse et une copie de la thèse en format numérique pdf.

La date limite d’envoi des dossiers est fixée au 1er juin 2015.

Le choix des lauréats sera annoncé à l’automne.

Contact : Marianne Amar, marianne.amar@histoire-immigration.fr

Pour d’autres informations, voir : http://www.histoire-immigration.fr/

mar 27, 2015

Inscription de vos étudiants à « Parcours migratoires et santé »

Comme chaque année, l’ONG marseillaise, Santé Sud, organise la Journée Provençale de la Santé Humanitaire, qui se déroulera le vendredi 13 novembre 2015 à a Faculté de Médecine de Marseille secteur Timone, qui en est partenaire. Cet événement a pour objectif prioritaire de former les étudiants des domaines médical et médico-social aux enjeux de la santé dans le monde. Cette année, le thème des « Parcours migratoires » sera abordé lors de conférences et débats d’experts reconnus.

C’est pourquoi il vous est proposé d’inscrire d’ores et déjà les étudiants qui suivent vos cours à cet événement, à titre de journée pédagogique. Une première présentation générale est jointe : le comité scientifique travaille actuellement au programme final. Pour inscrire un groupe, contactez notre secrétariat à la communication à contact@santesud.org

Pour plus d’informations, voir le PDF que voici : presentation-10e-jpsh

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