Formation « La capitalisation des expériences : Un voyage au coeur de l’apprentissage »
Nous vous informons qu’une formation-action aura en trois sessions autour du thème : « La capitalisation des expériences : Un voyage au cœur de l’apprentissage », aura lieu aux dates suivantes :
4 et 5 mars 2015
2 avril 2015
25 juin 2015
Publics : Agents des collectivités et salariés des ONG chargés de piloter ou d’animer directement un projet de capitalisation durant l’année
Qu’avons-nous appris individuellement et collectivement de notre action ? Comment faire le tri dans nos expériences pour tirer des leçons utiles ? En quoi partager nos propres expériences peut contribuer à développer nos capacités et celles de nos collaborateurs ? Comment mieux valoriser la richesse de nos expériences ?
Deux principes clefs fondent la démarche de capitalisation : l’apprentissage et le partage. A partir d’un regard rétrospectif sur nos expériences et pratiques, avec pour questionnement central le «comment avons-nous fait ?», la capitalisation permet de formaliser des enseignements à partager. Pour cela, plusieurs chemins méthodologiques sont possibles. La capitalisation est par nature une démarche sur mesure !
Pour vous aider à clarifier votre stratégie ou votre projet de capitalisation, le F3E propose cette année une formation-action. Construite en lien avec vos préoccupations, cette formation alternera séquences théoriques et mises en pratiques.
Inscriptions avant le 20 février 2015
Pour plus d’informations, voir : http://f3e.asso.fr/article/1590
Rencontre-débat : « A quoi servent les frontières? »
Un Rendez-vous du 12 au 15 mars 2015 pour la 7ème édition aura lieu autour du thème : « A quoi servent les frontières? »
Malgré la mondialisation le concept de frontière n’est pas mort, que ce soit dans sa revendication nostalgique d’un espace mieux protégé d’un autre menaçant, ou dans sa réintroduction sous de nouvelles formes, car la rivalité économique et politique ne s’est pas arrêté pour autant. Si les tracés changent peu, le sens du mot frontière a évolué, ainsi que sa symbolique et sa matérialisation. Nationales, administratives, numériques, sociales, technologiques ou spatiales, leur rôle et leur évolution interrogent, inquiètent parfois, stimulent la réflexion et la compétition internationale. Le monde de demain se configurera par rapport à elles, même en leur absence, et nous ne pouvions pas ne pas rassembler les meilleurs spécialistes pour en parler à Grenoble.
Pensez à vous inscrire ici ! : http://www.centregeopolitique.com/v2/fr/7eme-edition/7eme-pgm
Pour des informations supplémentaires, se reporter ici : http://www.centregeopolitique.com/v2/fr/7eme-edition/7eme-pgm
Ouverture de l’appel à projets 2015-2016 du Campus Condorcet
Pour la cinquième année consécutive, le Campus Condorcet lance un appel à projets pour soutenir des actions de coopération scientifique portées par des équipes des établissements et organismes fondateurs du Campus. Deux types d’actions sont susceptibles d’obtenir un financement : les Ateliers Campus Condorcet (pour les chercheurs et enseignants-chercheurs) et les Journées des doctorants (pour les doctorants).
Les candidatures doivent être déposées sur la plate-forme Actions de coopération scientifique du Campus Condorcet au plus tard le 17 mars 2015 à midi.
Les projets lauréats bénéficieront d’un soutien financier de la part du Campus Condorcet. En outre, les actions seront valorisées à l’aide des différents moyens de communication du Campus.
Les critères de sélection
Les membres du conseil scientifique examineront les projets, en prenant en compte notamment les critères suivants :
– Le caractère de nouveauté des projets ;
– La possibilité d’une inscription dans la durée des projets relevant de la catégorie des Ateliers, qui doivent pouvoir déboucher sur des propositions concrètes de recherches collectives au sein du futur Campus ;
– La vertu fédérative de projets réunissant réellement des chercheurs appartenant à au moins deux établissements et organismes fondateurs du Campus ;
– La capacité des projets de mettre en valeur un ou plusieurs axes scientifiques du Campus Condorcet.
Le calendrier
Le dossier de candidature doit être renseigné par le responsable sur la plate-forme au plus tard le 17 mars 2015 à 12h00.
Les projets seront examinés par les membres du conseil scientifique du Campus Condorcet. Les projets sélectionnés seront ensuite proposés à la délibération du conseil d’administration du Campus Condorcet.
La réponse parviendra au responsable au cours du mois de mai 2015, par voie électronique.
Les projets sélectionnés prendront effet à partir du 1er septembre 2015 et se termineront le 30 septembre 2016 au plus tard.
Pour d’autres informations, voir : http://www.campus-condorcet.fr/Activites-scientifiques/Les-appels-a-projets/Les-modalites-de-candidature
Vient de paraître : « Voir et incarner. Une phénoménologie de l’espace. Corps – architecture – ville »
Auteur : Marc Perelman
Année : 2015
Édition : Première édition
Nombre de pages : 464
Résumé :
Le but, sinon la visée, de cet ouvrage ressortit à une tentative de mise au jour d’une intelligibilité des rapports sociaux, politiques et idéologiques, historiquement institués entre le corps, l’architecture et la ville. Sans prétendre vouloir faire l’inventaire exhaustif des multiples associations, dépendances voire des unions, osmoses, fusions entre ces trois objets ou sphères de recherche, eux-mêmes inscrits dans une interrogation plus large sur l’espace et le temps, ce recueil de textes tente d’analyser les moments forts, les noyaux durs, les structures pérennes dont ils dépendent plus ou moins directement.
Quelle est la thèse centrale de cet ouvrage ? Elle est qu’au cœur des rapports réels, symboliques ou encore imaginaires établis entre le corps humain et l’espace, qu’il soit construit matériellement au moyen de l’architecture ou peint par le biais de fresques ou de tableaux, il est de fait question d’un puissant mouvement dont le corps est à l’origine et auquel la pensée sous le registre spéculatif de l’intuition, de l’anticipation, voire sur le modèle de la construction elle-même, lui est attachée.
Les différents chapitres de cet ouvrage soutiennent une interrogation sur la cristallisation d’une symbolique corporelle de l’architecture, la mise au jour de la projection du corps – des parties du corps ou du corps tout entier – dans l’architecture voire dans la ville, la réfraction de l’architecture dans le corps, enfin sur l’organisation de la ville perçue comme un gigantesque corps. Le développement de l’ouvrage cherche à montrer que l’organisation du corps, sa dynamique, son mouvement général dans la société occidentale participe de la structure de l’architecture autant que celle-ci le structure jusqu’à procéder à une forme d’amalgame voire de fusion entre eux.
Voir : http://www.lesbelleslettres.com/livre/?GCOI=22510100818420&fa=description
Vient de paraître : Le Mali contemporain
Nous avons le plaisir de vous informer la parution de l’ouvrage collectif intitulé : Le mali contemporain. Des chercheurs membres du réseau GEMDEV ont contribué à cette publication publication.
Pour plus d’informations, voir les PDF de la couverture et du sommaire : et Le Mali contemporain_Sommaire-2
Vient de paraître : « Introduction à la géohistoire »
Auteur : Christian GRATALOUP
Éditeur : Armand Collin
Année 2015
Nombre de pages : 224
La « géohistoire », expression née sous la plume de Fernand Braudel, s’intéresse aux interactions entre les dimensions géographique et historique pour proposer une analyse des sociétés sur le temps long et à différentes échelles. À l’ère de la mondialisation, le croisement des perspectives spatiales et temporelles prend toute son importance et devient presque une nécessité. Ce manuel pédagogique propose une mise au point simple et critique sur les outils d’interface entre histoire et géographie. Assortie de cartes originales et de nombreuses définitions, cette introduction, première du genre, révèle toute la fécondité de l’approche géohistorique.
Christian GRATALOUP est professeur à l’université Paris Diderot-Paris 7 et à Sciences Po Paris.
Pour d’autres informations, voir : http://www.armand-colin.com/livre/429904/introduction-a-la-geohistoire.php
Vient de paraître : « Savoir et changer »
Auteurs : Alfred Döblin – Marie Hermann – Jean-Jacques Rosat
Editions : Agone
Année : 2015
Nombre de pages : 192
Traduit de l’allemand par Damien Missio
Préface de Jacques Bouveresse
Avant-propos de Marie Hermann et Jean-Jacques Rosat
« Obéissance, assiduité, pragmatisme sont des vertus de soldat et de serviteur, d’employé, de larbin. Ce sont les vertus d’une fourmi, non pas d’une personne humaine. Qu’on montre pour quelle raison une collectivité a le droit de sacrifier des hommes, de transformer des personnes en machines. Qui plus est, on n’a pas fait cela ici – et dans beaucoup d’autres lieux – au profit d’une collectivité mais au profit d’une classe seigneuriale. Voilà la vérité fondamentale, le fin mot de l’histoire. »
« Cette panique dans la bourgeoisie ! Ils se rendent enfin compte qu’ils ne tiennent plus les rênes et que ça ne peut plus continuer ainsi ! Ils vont consentir à ouvrir les yeux, sinon ils passent sous les roues ! Oui, Marx avait raison sur ce point : le capitalisme a élevé lui-même son fossoyeur – ils ont construit des usines, se sont étendus mais, en même temps, les ouvriers aussi ont grandi et, un jour, ça ne va plus sans eux et, un jour, ils ont eux aussi des idées libérales sous une forme compacte, quasiment en béton et, un jour, ils ont tout le pouvoir, et alors quoi ? »
Dans cette série de lettres écrites en 1930 à un étudiant qui le questionnait sur son positionnement dans les débats de son époque, Döblin développe une réflexion sur le rôle des intellectuels dans la société. Convaincu que ceux-ci expriment naturellement ce que leur classe prescrit, il les incite à se rapprocher des ouvriers, seuls porteurs des idées de liberté autrefois bourgeoises. Mais il reste méfiant vis-à-vis de Marx et de Lénine, à qui il concède les « bonnes bases » du matérialisme historique mais reproche un « messianisme pur jus », préférant affirmer les principes d’un « vrai » socialisme : liberté, rassemblement spontané des hommes, refus de toute contrainte, indignation face à l’injustice, tolérance et pacifisme.
Né au sein de la bourgeoise juive allemande, Alfred Döblin (1878–1957) déménage très tôt pour Berlin, ville qui a profondément influencé son œuvre et où il vivra jusqu’à son exil à Paris en 1933 – qu’il fuira en 1940 pour les États-Unis. Pendant la Première Guerre mondiale, il est affecté comme médecin militaire en Lorraine puis en Alsace, expérience qui nourrit le premier des quatre tomes du roman historique Novembre 1918. Toute son œuvre demeurera largement méconnue, notamment en raison du succès, dès sa parution en 1929, de Berlin Alexanderplatz. Une situation dont Döblin souffre dès son retour en Allemagne en 1945, où il peine à se faire entendre et éditer.
Pour plus d’informations, voir : http://agone.org/bancdessais/savoiretchanger/
Voyages, voyageurs et Amérique centrale : une (re) lecture pluridisciplinaire (XIXe-XXe siècle)
Vous trouverez en fichier attaché (Viajeros en América Central – Programa ) le programme d’une journée d’étude autour du thème : « Voyages, voyageurs et Amérique centrale : une (re) lecture pluridisciplinaire (XIXe-XXe siècle) ».
Date : Mercredi 25 Mars 2015
Heures : 9h à 18h
Lieu : Maison de Sciences de l’Homme d’Aquitaine (MSHA) Salle 2
10, Esplanade des Antilles, 33607 Pessac
Rencontre-débat : « Les problèmes économiques et sociaux contemporains à Cuba »
Dans le cadre du séminaire « les problèmes économiques et sociaux contemporains à Cuba » (CEMI-EHESS), Rémy Herrera, économiste au Centre d’Économie de la Sorbonne (CES), interviendra sur le thème suivant: « Les relations Etats-Unis – Cuba : hier, aujourd’hui, demain »
Date : du mardi 17 février 2015
Heures : 15h à 17h.
Lieu : 105 Boulevard Raspail, salle 6
Leleu Jérôme, Doctorant en Sciences Economiques à l’EHESS (TSD) sous la direction de Jacques Sapir.
Spécialité: Cuba, système de direction économique.
Session de formation : « Futurs de villes. Continuités et changements de paradigme »
Une session de formation aura lieu sur le thème : « Futurs de villes. Continuités et changements de paradigme ».
Date : Jeudi 19 mars et vendredi 20 mars 2015 à Paris
Animé par Georges Amar, Isabelle Baraud-Serfaty, Anne Charreyron Perchet, Jean Haëntjens, Hugues de Jouvenel, Paul Lecroart, Gérard Magnin, Morgan Poulizac
OBJECTIFS
L’aménagement du cadre urbain s’est imposé comme un enjeu économique, social, écologique et politique de tout premier plan. Cette prise de conscience est affirmée à la fois par le dynamisme des métropoles, les réformes des collectivités territoriales engagées par de nombreux pays européens et la production académique.
La mutation qui est engagée déroute par son aspect foisonnant. L’ouverture des possibles urbains se joue simultanément sur les modèles économiques, les modes de vie, les systèmes de mobilité, les systèmes énergétiques, les politiques culturelles et modes de gouvernance.
L’objectif de cette session est de fournir aux acteurs impliqués dans la production du cadre urbain (collectivités, entreprises, professionnels de l’urbanisme) des clefs de lecture pour comprendre les principales lignes de force de cette mutation.
L’INVENTION DE L’ÉCO-URBANISME : ENTRE CONTINUITÉS ET OUVERTURE DES POSSIBLES
• Les continuités : réseaux, formes urbaines, représentations, structures politiques…
• L’ouverture des possibles : modèles économiques, systèmes de mobilité, systèmes énergétiques, modes de vie, modes de gouvernance…
• La ville durable, itinéraire très sinueux d’une utopie
• Les modèles de villes durables : ville résiliente, ville éco-responsable, smart city, ville créative, ville loisir, ville hypermobile…
• Les attentes et les logiques derrière les modèles
• La ville patchwork : compromis attentiste ou transition vers d’autres « modes de ville » ?
• Résonances et changements de paradigme : quelques exemples
VILLE INTELLIGENTE ET INNOVATION URBAINE
• Pourquoi les grands acteurs du numérique s’intéressent-ils aux villes ?
• Les principaux champs d’application des technologies numériques : systèmes de mobilité, systèmes énergétiques, compréhension et gestion des systèmes urbains, innovations sociales, gouvernance numérique…
• Les tentations de la « numérisation des villes » : le techno-solutionnisme, le salut par le big data…
• Pouvoir numérique et pouvoir politique
• Comment urbaniser le numérique ?
LES VILLES EN PREMIÈRE LIGNE DANS LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
• Pourquoi les villes sont en première ligne dans la transition énergétique
• Les enseignements tirés des initiatives menées par les villes du réseau Energy Cities
• Les points clefs de la transition énergétique dans les villes :
– Le renforcement des capacités d’action locale
– La connaissance des ressources et des flux des territoires
– De nouvelles façons de penser la question financière
– L’invention d’une nouvelle gouvernance locale
– L’aménagement du territoire pour réduire les consommations énergétiques
LA VILLE RÉSILIENTE
• Définitions (de quelle résilience parle-t-on ?)
• La montée en puissance du concept de résilience (des « Villes en transition » aux villes mondiales)
• Incidences sur les méthodes de management et de gouvernance
• Incidences sur la conception des systèmes urbains
• Exemples de Vierzon, Copenhague, Rotterdam, New York…
LES CHANGEMENTS DE PARADIGME : DE LA MOBILITÉ À L’URBANITÉ
• Pour une prospective créative
• La notion de changement de paradigme (paradigm shift)
• Le cas de la mobilité :
– foisonnement et hybridation des modes
– le rapport au temps
– la notion de reliance
– la notion d’ars mobilis
• Application à d’autres changements de paradigme (l’énergie, l’activité, la culture…)
• Le défi de l’urbanité (ars urbanis) ?
LA VILLE DE DEMAIN SERA-T-ELLE ENCORE GRATUITE ?
• Les trois payeurs traditionnels de la ville
• Les quatre menaces à la gratuité de la ville
• La tentation de la privatisation et le défi de la coproduction
• L’importation des nouveaux modèles économiques issus du numérique via la « ville intelligente »
LES CHANGEMENTS DE PARADIGME EN ACTION
• De la voie rapide urbaine à la rue, un changement de modèle ? Cas de Portland, Séoul, New York
• Crises, déclics et changements de cap : cas de Copenhague, Malmö, Medellin, Hambourg
• Nouveaux modèles urbains et inerties (cas de l’Est parisien)
Pour plus d’informations précises : https://www.futuribles.com/fr/base/agenda/futurs-de-villes-continuites-et-changements-de-par/