déc 8, 2014

Invitation colloque : « Comment approcher la Chine contemporaine? »

Date : Mardi 16 décembre 2014

Lieu : Université Paris IV- Sorbonne ; Salle des actes
54, rue Saint-Jacques 75005 Paris

Plan d’accès : https://maps.google.fr/maps?sll=48.8481501,2.3439438&sspn=0.0054222,0.0109864&q=54+Rue+Saint-Jacques,+Universit%C3%A9+Diderot+Paris+7,+75005+Paris&output=classic&dg=ntvb

Pour s’inscrire : inscription@gabrielperi.fr
Pour les Occidentaux, comprendre « l’Empire du Milieu » semble avoir toujours été un véritable casse-tête, d’autant que la Chine n’a jamais été figée, durant des siècles elle a montré une importante capacité d’innovation. Aujourd’hui puissance mondiale « ré-émergée », son histoire a connu une formidable accélération en quelques décennies. Elle demeure source de questionnement quand elle n’est pas jugée à l’aune de nos préjugés qui rendent illisible ce qui s’y construit. Aborder et comprendre les réalités chinoises du XXIe siècle, leurs complexités politiques, économiques et sociales et les contradictions engendrées par les nouveaux choix de développement économique nous appelle à porter un nouveau regard, serein, sur ce qu’il se passe en Chine. L’ambition du colloque « Comment approcher la Chine contemporaine ? », initié par la fondation Gabriel Péri, est de confronter les expériences et les réflexions de chercheurs chinois, français et britanniques pour mieux comprendre les enjeux d’un pays et d’une société en pleine mutation et à la recherche d’une voie propre de développement.

09h00 – Accueil
Ouverture par Michel Maso, Directeur de la Fondation Gabriel Péri

Les deux premières sessions seront consacrées à quelques aspects historiques et culturels du pays afin de mieux appréhender les modes de pensée et de fonctionnement tant au sein du PCC que de l’ensemble de la société.
09h15 – Première table-ronde : D’où vient la Chine ?

Présidence : Patrick Theuret, Correspondances Internationales

L’évolution de la Chine peut-elle s’expliquer sans un retour vers un passé qui permettrait de comprendre la résilience des institutions sociales ? On parle, par exemple, beaucoup en Chine aujourd’hui d’un retour du confucianisme. Quelle est la portée de ces références au passé ?

Intervenants :

Quynh Delaunay, chercheure honoraire au CNRS, Chine : une société traditionnelle à l’épreuve de la mondialisation
Shen Dali, écrivain, professeur de littérature française à l’Institut des Langues étrangères de Chine, « La culture confucéenne dans la Chine contemporaine »
Marie-Paul Berthou (sous réserve), enseignante, philosophe, spécialiste de la pensée chinoise

10h15-10h45 : discussion
11h00 – Deuxième table-ronde : Quelques réflexions sur les origines et l’évolution du PCC

Présidence
: Jean-Numa Ducange, Maître de conférence, Université de Rouen

La recherche d’une voie originale propre aux conditions chinoises s’est imposée quasiment depuis la fondation du PCC (juillet 1921). Né à partir de cercles d’études marxistes, le PCC a été sous l’influence de trois grands courants du marxisme : le courant européen – porté par les étudiants chinois en France comme Zhou en Lai, Deng Xiaoping –, le courant russe et le courant japonais. Dans quelle mesure vont-ils être adaptés aux conditions nationales de développement ?

Intervenants :

Alain Roux, professeur émérite des Universités à l’INALCO, « La prodigieuse histoire de la “pensée Mao-Zedong” : les métamorphoses d’un concept »
NieYunlin, Directeur du Centre de recherche sur l’histoire du socialisme, Wuhan), « The special tasks for the oriental communists and the chinese communist party »

12h15-12h45 : Discussion

PAUSE DEJEUNER
14h00 – Troisième table-ronde : Quel mouvement ouvrier chinois ?

Présidence : Dominique Bari, journaliste, chargée de mission à la Fondation Gabriel Péri

De nombreux conflits sociaux ont éclaté ces dernières années révélant une mutation profonde du mouvement ouvrier. Trois questions se posent : quel est l’impact et quelle est la nature des grèves ? Peut-on dire qu’une nouvelle classe ouvrière est en formation ? Peut-on voir évoluer les pratiques syndicales en Chine ?

Intervenants :

Dr Cao Xuebing, Maître de conférences en sociologie à l’Université de Keele, « The changing labour and employment policies in contemporary China »
Dr Yang Keming, Maître de conférences en sociologie à l’École des sciences sociales appliquées de l’université de Durham, « Is there a labour movement? Is there a working class? Understanding labour strikes in today’s China »
Su Yihui, Université de finance et d’économie de Shanghai, « Student Workers in the Foxconn Empire, the commodification of Education and Labor in China »

15h15-16h Discussion
16h00 – Quatrième table ronde : Évolution sociopolitique dans la Chine contemporaine. Comment vit et s’exprime la société chinoise contemporaine ?

Présidence : Serge Wolikow, président du conseil scientifique de la Fondation Gabriel Péri

Les réformes des structures économiques et des institutions ont bouleversé la société chinoise dans toutes ses composantes (sociales, urbaine et rurale). De nouveaux rapports avec le pouvoir politique ont émergé exprimant des revendications nouvelles de justice sociale, de citoyenneté, de respects des droits. Comment s’élaborent les décisions politiques pour répondre aux nouveaux enjeux économiques et aux revendications d’une société très hétérogène ?

Intervenants :

Jean Louis Rocca, sociologue, chercheur au CERI, « Quelques éléments sur la question politique : contestations et tentatives de pensée politique »
Michel Aglietta, professeur émérite à l’Université Paris X Nanterre, « Enjeux et défis de la réforme chinoise »
Pr Miao Guangxin, Université du Shanxi, « The process, feature, and achievement of the reform of Chinese administrative system »

17h-17h30 Discussion
17h45 – Intervention de clôture

déc 8, 2014

Vient de paraitre: Les terrains du développement et de l’humanitaire. convergences et renouveau réflexif (Revue Anthropologie et Développement)

Dossier spécial coordonné par – Sylvie Ayimpam, Magali Chelpi, Jacky Bouju

Résumé:

Ces quinze dernières années, le champ du développement a participé au renouveau réflexif, en explorant de nouvelles manières de faire de l’ethnographie dans des situations d’interventions courtes et planifiées opérant dans des contextes parfois difficiles. C’est ainsi qu’aujourd’hui, nombre de chercheurs se sont engagés dans des formes de recherche collaboratives et participatives dans lesquelles l’information est un processus de co-production épistémologique issue d’une interaction dialogique répétée. Mais, dans la dernière décade, l’accroissement des foyers de tension s’est accompagné localement de guerres civiles avec leurs lots d’atrocités collectives, de génocides, et de violations récurrentes des droits de l’Homme dans le monde, qui ont transformé quantités d’êtres humains en réfugiés ou qui les ont contraints à la migration forcée ou à l’exode rural.
Les politiques de l’humanitaire s’étant rapprochées des politiques de développement, l’anthropologie de l’action humanitaire s?est rapidement réapproprié nombre d’idées issues des travaux en anthropologie du développement : les questions de capture et de manipulation de l’intervention « par le haut » et « par le bas », la question du degré d’enchâssement dans l’environnement immédiat, les jeux d’acteurs et les jeux de pouvoir, etc.

Pour plus d’informations sur le différentes contributions du dossier, voir :

déc 8, 2014

Appel à propositions : Panel sur « African Migrants in France: African Protests, Resistances & Révolutions »

veuillez trouver ci-joint un appel à propositions pour le panel co-organisé avec Françoise Blum (CHS/CNRS) pour la 6e Conférence européenne des études africaines : http://www.ecas2015.fr/african-migrants-in-france-african-protests-resistances-revolutions/

déc 5, 2014

Biennale de la sociologie de l’urbain à Lille : Villes et comparaisons

Le RT9 de l’Association française de sociologie a le plaisir de vous informer qu’il organise à Lille sa première Biennale de la sociologie urbaine : des journées d’études – appelées à devenir un rendez-vous récurrent – qui ont vocation à rassembler l’ensemble des sociologues français-e-s travaillant sur les villes et les questions urbaines ou territoriales, et plus largement tous les collègues intéressé-e-s.

La première journée est entièrement consacrée à l’atelier doctoral du RT9 qui porte cette année sur « la ville par ses acteurs ».

Les deuxième et troisième journées constituent le cœur de la Biennale, et ont donc vocation à rassembler l’ensemble des participant-e-s à cette dernière. La thématique retenue cette année porte : sur la pratique de la comparaison en sociologie urbaine.

Résumé

Les 16, 17 et 18 décembre 2014, le RT9 de l’Association française de sociologie organise à Lille sa première biennale de la sociologie urbaine : des journées d’études – appelées à devenir un rendez-vous récurrent – qui ont vocation à rassembler l’ensemble des sociologues français-e-s travaillant sur les villes et les questions urbaines ou territoriales, et plus largement tous les collègues intéressé-e-s. La première journée est entièrement consacrée à l’atelier doctoral du RT9 qui porte cette année sur « la ville par ses acteurs ». Les deuxième et troisième journées constituent le cœur de la biennale, et ont donc vocation à rassembler l’ensemble des participant-e-s à cette dernière. La thématique retenue cette année porte sur la pratique de la comparaison en sociologie urbaine.

Annonce/Présentation

Les 16, 17 et 18 décembre 2014, le RT9 de l’Association française de sociologie organise à Lille sa première Biennale de la sociologie urbaine : des journées d’études – appelées à devenir un rendez-vous récurrent – qui ont vocation à rassembler l’ensemble des sociologues français-e-s travaillant sur les villes et les questions urbaines ou territoriales, et plus largement tous les collègues intéressé-e-s. La première journée est entièrement consacrée à l’atelier doctoral du RT9 qui porte cette année sur « la ville par ses acteurs ». Les deuxième et troisième journées constituent le cœur de la Biennale, et ont donc vocation à rassembler l’ensemble des participant-e-s à cette dernière. La thématique retenue cette année porte sur la pratique de la comparaison en sociologie urbaine. Les programmes ci-après présentent dans le détail ces trois journées de communications et de débats.
Argumentaire

Pratiquer la comparaison en sociologie urbaine

Sans comparaison la sociologie n’est pas possible, écrivait Durkheim dans Le Suicide. Depuis son apparition au tournant du XXe siècle, la sociologie urbaine a largement répondu à cette injonction : en mettant en place des comparaisons intra-nationales et internationales de villes ou de quartiers ; en s’intéressant à des contextes historiques différents dans une perspective diachronique ; en confrontant des échantillons de populations, des groupes ou des espaces identifiées préalablement comme comparables ; et en cherchant constamment à combiner les apports heuristiques de la monographie, le plus souvent locale, avec ceux d’une montée en généralité visant à identifier des modèles et des types idéaux (de quartiers, de villes, de configurations spatiales, de relations locales, de processus de transformation urbaine, etc.). En effet, comparer consiste souvent à décrire chaque cas étudié à l’aide d’une grille de lecture commune, imposée plus ou moins tard selon le protocole d’analyse choisi, puis à saisir les éventuelles convergences entre les différents cas et les particularités de chacun d’entre eux, afin de distinguer les effets locaux – notamment les « effets de lieu » – des logiques structurelles plus larges.

Cependant, les spécificités des objets et des questionnements de la sociologie urbaine la confrontent à des obstacles qui lui sont propres dans la mise en œuvre de la comparaison. L’étude de la variation de caractéristiques spatiales pose notamment la question des traits retenus pour comparer des espaces, et des limites des unités circonscrites pour justifier la comparaison. De la même façon, l’analyse sociologique des pratiques de l’espace et du territoire est soumise non seulement au danger épistémologique de la spatialisation, mais aussi à la difficulté de comprendre, en contexte, le sens que les acteurs (habitants, aménageurs, etc.) donnent à l’espace considéré.

On pourrait multiplier les exemples montrant que la sociologie urbaine a exprimé dès ses débuts une volonté affirmée, dans le cadre d’un solide enracinement empirique, de mobiliser la comparaison, mais qu’elle a en même temps rencontré des difficultés pour conceptualiser cette opération et la mettre en œuvre de façon raisonnée et réflexive ; et ce malgré le fait que l’exportation et le recours à des modèles et des instruments analytiques souvent élaborés dans un autre cadre local et/ou national (qu’il s’agisse de Chicago, de Paris ou d’ailleurs) reviennent de fait à comparer implicitement.

Les deux journées principales de cette première Biennale seront donc consacrées à la présentation de recherches comportant une dimension comparatiste, ainsi qu’à toutes les questions attenantes à la comparaison : pourquoi décide-t-on d’abandonner l’approche monographique pour aller vers la comparaison ? Quels sont les avantages et désavantages d’un research design d’emblée comparatiste, par rapport à la « mise en regard » dans un second temps de résultats élaborés indépendamment ? Comment sont choisies et délimitées les unités que l’on confronte ? Quelles sont les méthodes mobilisées – et éventuellement combinées – et comment se déclinent-elles dans le cadre d’une comparaison (que celle-ci soit réalisée à la demande d’un tiers ou dans le cadre d’une recherche « purement » académique) ? Est-il possible, en sociologie urbaine, de sélectionner les termes de la comparaison afin de réduire et d’identifier précisément les variables dont on souhaite étudier l’effet ? Au niveau de la forme des textes produits, quelles sont les rhétoriques descriptives et les économies de la démonstration mobilisées pour comparer des unités spatiales ? La monographie est-elle un genre dépassé et, si non, à quelle condition peut-elle progresser ? L’injonction à la comparaison – de plus en plus récurrente, notamment de la part des agences de financement – peut-elle dans certains cas être un obstacle pour la recherche ?

Certaines séances se pencheront par exemple sur les enquêtes comparatistes portant sur des groupes sociaux, habitants ou usagers de la ville, dont on étudie les pratiques spatiales. Il s’agira alors d’ouvrir la « boîte noire » des recherches, pour développer une réflexion méthodologique, portant notamment sur la construction de l’objet et le choix des terrains… Quelles sont les stratégies mobilisées pour permettre la comparaison et la « comparabilité » ? Comment sont identifiés ces groupes ? De quelles manières leurs pratiques de l’espace et leurs discours sont-ils étudiés puis décrits ? Quel rôle les éléments morphologiques (au sens d’Halbwachs) jouent-ils dans la comparaison ?

D’autres séances s’intéresseront aux politiques urbaines comparées, notamment sur le plan international, mais pas seulement. Qu’il s’agisse de politiques de logement, de planification urbaine ou de gestion des espaces publics, etc. On pourra ainsi s’interroger, là aussi, sur les appariements réalisés et leurs justifications, sur les effets de contextes, sur les référents implicites, et sur les avantages et limites liés à la comparaison.

Lorsqu’elles porteront sur la comparaison internationale, les interventions seront particulièrement attentives à la façon dont celle-ci implique très souvent des processus de circulation et de transfert de concepts et de notions scientifiques (gentrification, durabilité, résilience, justice spatiale, etc.) entre différents pays et entre (sous-)champs scientifiques nationaux. Cette circulation témoigne de l’internationalisation de la recherche (via notamment les financements des agences de moyens), selon des modalités qu’il s’agit d’étudier. Par ailleurs, la mise en place d’une comparaison internationale peut également poser la question de la collaboration entre chercheurs habitués à des organisations différentes du travail scientifique.

Enfin, les transferts de notions s’opèrent aussi entre la sphère scientifique et les sphères politique, médiatique et opérationnelle (que l’on pense par exemple à la diffusion des termes « ghetto », « communautés », « bobo », « empowerment », etc.), ainsi qu’au sein de ces dernières à l’échelle internationale. On observe par exemple des circulations transnationales dans le champ de l’intervention sociale territorialisée : des notions (mixité, « key workers », etc.), des démarches et des dispositifs voyagent d’un pays à l’autre, et devraient ainsi amener la sociologie à questionner leurs conditions d’importation.

Dates : 16 -18 décembre 2014
Pour les informations complémentaires, voir : http://calenda.org/309956?utm_source=lettre

déc 5, 2014

AUF : Appel d’offres 2015 pour le soutien aux publications scientifiques francophones

L’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) lance un appel à projets pour soutenir des publications scientifiques francophones.

Contexte et objectifs de l’appel d’offres

Cet appel s’inscrit dans le cadre du chantier « recherche » de la programmation quadriennale 2014-2017 de l’AUF qui prévoit de favoriser le développement d’équipes de recherche internationales engagées dans des problématiques émergentes et de renforcer les réseaux universitaires afin de favoriser l’innovation et le renforcement de la pertinence sociale, scientifique et technologique des résultats de la recherche.

Le soutien aux publications scientifiques contribue à la réalisation de ces objectifs, en aidant la publication et la diffusion d’ouvrages individuels ou collectifs, monographies ou actes de colloques, en version imprimée ou en ligne.

Nature des publications et type de soutien

Cet appel d’offres vise à soutenir la publication et la diffusion d’ouvrages originaux, ouvrages collectifs, monographies, numéros spéciaux de revue ou actes de colloques en version imprimée ou en ligne. Les ouvrages devront être publiés en langue française.

L’AUF apportera une subvention directe à l’éditeur pour l’impression ou la mise en ligne de la publication sélectionnée.

Le financement est fixé à 5000 euros maximum par dossier retenu. Le montant de la subvention attribué à chaque dossier pourra toutefois être adapté par le comité en tenant compte du coût global de la publication, des autres aides apportées et des spécificités de chaque dossier.
Conditions d’octroi et obligations du bénéficiaire

Pour connaître les conditions d’octroi et obligation du bénéficiaire, nous vous invitons à télécharger le fichier Appel d’offres 2015 ici :FORMULAIRES_SOUTIEN_PUBLICATION_SCIENTIFIQUE-EDITEUR-2015_1 et FORMULAIRES_SOUTIEN_PUBLICATION_SCIENTIFIQUE-AUTEUR-2015_1

La sélection des projets de publications est faite une fois par an.

Les formulaires doivent être envoyés au plus tard le 31 janvier 2015, à minuit (heure de Montréal) à l’adresse suivante : edition-diffusion@auf.org

Attention : Il est encouragé de déposer les dossiers de demande bien avant la date limite du 31 janvier 2015, pour pouvoir si nécessaire les revoir et les compléter en cas d’erreur ou de dossier incomplet.

Calendrier :

– Septembre 2014 : lancement de l’appel d’offres « soutien aux publications scientifiques »
– 31 janvier 2015 : date limite de dépôt des dossiers
– Avril 2015 : examen des dossiers
– Mai 2015 : sélection par le comité éditorial des projets qui bénéficieront d’un soutien de l’AUF en 2015 et annonce des résultats
– Juin 2015 : signature des conventions avec l’éditeur et l’auteur des projets d’ouvrages.
– Mai 2016 : date limite pour la publication des ouvrages.

déc 5, 2014

Appel à candidatures : Contrats doctoraux IDEX (Sorbonne Paris Cité) : campagne 2015

L’allocation de recherche, d’une durée de trois ans, est d’un montant annuel maximum brut de 20.200 €. La thèse sera préparée à l’Université Sorbonne Nouvelle (Sorbonne Paris Cité), au sein d’une des cinq unités de recherche de l’ED 122 et rédigée en français ou en anglais. Si elle est rédigée en anglais, elle sera assortie d’un résumé de 60 pages en français. Sont éligibles les étudiants titulaires d’un master (ou d’un diplôme équivalent) dans un des domaines de spécialité couverts par l’ED 122, et qui ont (ou qui auront) obtenu leur diplôme avant le 15 septembre 2015 dans une université étrangère ou qui auront suivi un an d’études supérieures au maximum en France.

Les candidats seront pré-sélectionnés par le Conseil de l’ED 122, puis choisis par le Collège des Écoles Doctorales de Sorbonne Paris Cité.

Dates à retenir :
02 février 2015 : date limite de dépôt des dossiers auprès de l’ED 122
mi-février 2015 : sélection des candidats par le Conseil de l’ED 122, avant transmission au Collège des ED SPC
Dans la semaine du 13 avril 2015 : audition des candidats retenus (éventuellement par visio-conférence)
A déterminer : communication des résultats aux Ecoles Doctorales

Plus d’informations sur le déroulé des opérations, voir ce PDF : contrats-internationaux-idex-2015

déc 5, 2014

Appel à candidatures : Prix scientifiques de l’Ihedn

Les prix scientifiques de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) ont pour but de mettre en valeur la recherche consacrée aux questions de défense, de sécurité, de relations internationales, d’armement et économie de défense.

Ils permettent également de favoriser les liens entre l’IHEDN, le monde universitaire et la recherche.

Créés en 1998, ils récompensent chaque année des chercheurs en master II recherche et en doctorat, dont les travaux, soutenus dans l’année, font progresser les connaissances dans le domaine des sciences humaines et sociales.

Les candidatures sont étudiées par un jury composé d’universitaires et de personnalités qualifiées désignés par le directeur de l’IHEDN. La sélection des lauréats s’effectue d’après les critères indiqués dans le règlement du concours.

Pour toutes les informations sur la procédure, voir : http://www.ihedn.fr/?q=prix-scientifiques

déc 5, 2014

Colloque : « Frontières, dictature, politique. De l’absence d’images à la position d’un regard. Le Chili depuis 1973″

L’IHEAL-CREDA a le plaisir de vous inviter au Colloque autour du thème : « Frontières, dictature, politique. De l’absence d’images à la position d’un regard. Le Chili depuis 1973″

Dates : 11-13 décembre 2014
Lieu du colloque : Paris, Maison de l’Amérique latine & MIE

Après la commémoration des quarante ans du coup d’État chilien en septembre 2013, le colloque « Frontières, dictature, politique. De l’absence d’images à la position d’un regard. Chili depuis 1973″ propose un dialogue intergénérationnel autour de cet événement historique et de ses conséquences dans le Chili actuel. Le Chili est un pays qui se bat encore entre le devoir de mémoire et la volonté d’oubli. Or, quelle place l’art pourrait-il avoir dans une possible relecture de l’histoire ?

Organisé par Javiera Medina, Maira Mora, François Soulages (Université de Paris 8).

Pour plus d’informations : http://calenda.org/310481

déc 5, 2014

Séance de travail autour du thème : « Pureté de sang dans les sociétés ibériques : histoire et historiographie ».

Dans le cadre des activités de l’axe 4 « Approches socio-politiques du fait colonial et impérial : institutions, processus, transformations » de Mondes Américains et du séminaire « La race à l’âge moderne : expériences, classifications, idéologies d’exclusion », l’IHEAL-CREDA a mle plaisir de vous inviter à une séance de travail autour du thème : « Pureté de sang dans les sociétés ibériques : histoire et historiographie » avec le concours de Juan Carlos Estenssoro (Université Sorbonne Nouvelle) et de Max Hering Torres (Universidad Nacional de Colombia – Bogotá).

Date : Lundi 8 décembre 2014
Heures : 9h00 -13h00
Lieu : l’EHESS, 190-198 avenue de France, Paris 13e
Salle 2 au rez-de-chaussée.

déc 5, 2014

CERI-Sciences Po : cycle de séminaires

Le CERI-Sciences Po vous invite Cycle au de séminaires qu’il organise en en partenariat avec EDF R&D.

Date : Mardi 16 décembre |
Heure : 10h00

Séminaire 4 : Russie, Ukraine, Europe : quels enjeux pour la sécurité énergétique ?

Présidence : François Bafoil, CNRS-SciencesPo/CERI et Ferenc Fodor, EDF R&D

Les politiques énergetiques de la Russie. Evaluation à partir de « Russia In-Depth Energy Policy Review »

Marc-Antoine Eyl-Mazzega, Russia Programme Manager, IEA

Quelles ‘solidarités’ européennes en matière énergétique ?

Céline Bayou, Membre du CREE (Centre de recherches Europes-Eurasie) de l’Inalco, Co-rédactrice en chef du site Regard sur l’Est

Responsables scientifiques: François Bafoil, CNRS-Sciences Po/CERI et Ferenc Fodor, EDF R&D

Cette séance se déroulera au CERI-Sciences Po: 56, rue Jacob 75006 Paris (Salle Jean Monnet)

Contact : rachel.guyet@sciencespo.fr

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