juil 8, 2014

Appel à candidatures pour le poste de représentant de Sorbonne Paris Cité au Brésil

Vous trouverez ci-joint une fiche de poste pour le représentant de Sorbonne Paris Cité au Brésil. Le ou la candidat(e) doit être rattaché(e) à l’un des
établissements membres de SPC. La date limite de réception des candidatures est le 31 aoüt 2014.

http://www.sorbonne-paris-cite.fr/index.php/fr/international/566-appel-a-candidatures-poste-de-representante-de-sorbonne-paris-cite-au-bresil

Fiche de poste Brésil VD (2)

juil 8, 2014

Convocatoria 2014 para el Premio F. Bourricaud

Vous trouverez en fichier attaché l’appel à candidatures 2014 pour le prix François Bourricaud .
Convocatoria Premio F Bourricaud 2014

juil 8, 2014

Le Huffington Post : Le Brésil face à ses amers Indiens..

François-Michel Le Tourneau, directeur de recherche au CNRS-CREDA,  a publié un article dans Le Huffington Post du 19 juin 2014:

Le Brésil face à ses amers Indiens…

juil 8, 2014

APPEL A PROJETS IDA 2015

Dans le cadre de sa politique d’encouragement à la recherche sur les Amériques, l’Institut des Amériques lance ses appels à projets pour des
événements qui auront lieu au cours de l?année civile 2015.

ATTENTION Nouvelle procédure
Un seul appel A.R.D. et deux appels A.M.S. seront lancés dans l’ensemble du réseau IdA pour des événements qui auront lieu en 2015.
*Date limite de réception des candidatures 1er septembre 2014 *
(ou 15 avril 2015 pour le 2ème appel AMS).

Veuillez trouver en ligne la procédure et les appels A.M.S. et A.R.D.
<http://www.institutdesameriques.fr/page.jsp?id=87&mois=5&annee=2014&id_actu=514>

juil 8, 2014

Appel à communication – Colloque international de Rabat

Appel à communication pour l’édition 2014 du colloque international de Rabat (ci-joint)

« Commerce, localisation des IDE et participation des pays méditerranéens aux chaînes de valeurs : Quelles retombées en termes de développement ? »

20-22 Novembre 2014 – Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales
Souissi, Rabat, Maroc

Colloque organisé par :

La Chaire de l’OMC, Université Mohammed V-Souissi, Rabat
La Commission Economique pour l’Afrique des Nations Unies (Bureau de Rabat)
Le Laboratoire d’Economie Appliquée au Développement (LEAD, Université de Toulon)
appel a communications Rabat 2014

juil 8, 2014

Appel à candidatures : Poste de représentant-e de Sorbonne Paris Cité au Brésil : date lilmite 30 aout 2014

Dans le cadre de l’IDEX et de sa stratégie internationale, Sorbonne Paris Cité va ouvrir un certain nombre de représentations à l’étranger à partir de l’année universitaire 2014-2015. Le présent Appel à candidatures concerne le bureau de représentation de SPC au Brésil et s’adresse à l’ensemble des enseignants-chercheurs et chercheurs titulaires des 8 établissements de Sorbonne Paris Cité.

Appel à candidatures : Poste de représentant-e de Sorbonne Paris Cité au Brésil

juil 8, 2014

Post doctorat Droit à la ville Amérique latine/Afrique subsaharienne – programme DALVAA

Le programme DALVAA lance un appel à candidature pour un postdoctorat sur
le droit à la ville en Amérique latine et Afrique susaharienne.

*RESUME *

Post-doctorat dans le cadre du programme de recherche « Repenser le Droit à
la Ville depuis les villes du Sud - regards croisés Afrique
subsaharienne/Amérique latine  (DALVAA) » de l’UMR CESSMA (UMR 245/ Paris
Diderot), financé par la ville de Paris (janvier 2014-janvier 2018).
Ce programme de recherche s’inscrit dans la lignée de travaux récents sur
la justice spatiale en études urbaines. Il vise à renouveler les débats
actuels, très prolifiques, sur le droit à la ville (DALV) en reconsidérant
cette notion à partir du Sud et des villes postcoloniales (*cf.
développement en PJ*) post doctorat DALVAA

Le/la candidat.e devra être titulaire d’un Doctorat dans l’une des
disciplines suivantes : géographie, urbanisme et aménagement, histoire,
anthropologie, sociologie. Il/elle devra disposer d’une pratique
conséquente d’un terrain urbain, acquise dans le cadre de sa thèse. Il/elle
devra avoir une bonne connaissance des dynamiques urbaines au Sud et être
familier des débats actuels en études urbaines et en études
développementales afin de pouvoir se saisir rapidement de la bibliographie
sur le droit à la ville. Il/elle devra maîtriser les
méthodologies qualitatives d’analyse de discours et avoir si possible une
expérience en matière d’organisation et de coordination scientifique, ou de
travail collectif dans le cadre d’un programme de recherche. La langue de
travail sera le français. Une bonne maîtrise de l’anglais et la parfaite
maîtrise de l’espagnol et/ou du portugais sont attendues.

Le candidat retenu débutera sa mission au 1er janvier 2015, à temps plein,
pour une durée de douze mois. Il sera accueilli dans les locaux du
laboratoire CESSMA à Paris et sera rémunéré approximativement à hauteur de
2000 euros par mois.

*POUR CANDIDATER*
Les candidats feront parvenir, *avant le 20 septembre 2014*, un dossier
comportant les pièces suivantes :
-Un curriculum vitae
-Une lettre de candidature
-Une sélection de publication (3 max.)
-Un résumé de thèse et le rapport de soutenance

Le dossier complet devra être transmis par courrier électronique à Amandine
Spire (amandinespire@gmail.com) et Marianne Morange (
marianne.morange@univ-paris-diderot.fr).

Les candidats retenus lors d’une première sélection sur dossier seront
contactés pour un entretien fin octobre/début novembre.

Pour tout complément d’information, contacter
Marianne Morange : marianne.morange@univ-paris-diderot.fr
Amandine Spire : amandinespire@gmail.com
juil 8, 2014

Poste de doctorant/e – Urbanité – EPFL – Chôros

Le laboratoire Chôros de l’École polytechnique fédérale de Lausanne propose un poste de doctorant/e

Le thème de recherche du doctorat portera sur la mesure qualitative et quantitative de l’urbanité. Il s’agira de participer à un projet de recherche du laboratoire portant sur la construction d’instruments de mesure robustes des espaces urbains. Une bonne maîtrise des bases conceptuelles des sciences sociales de l’espace est attendue. Le lien permanent entre l’analyse des données statistiques disponibles et une problématique théorique innovante de l’urbanité constituera une des dimensions essentielles du projet.

La composante cartographique sera très significative dans ce projet et dans les autres aspects du travail du/de la doctorant/e au sein du laboratoire. Le/la doctorant/e devra démontrer une connaissance opérationnelle des outils élémentaires de la cartographie (SIG, Illustrator).

Il sera attendu du/de la doctorant/e qu’il/elle soit pleinement intégré/e dans l’équipe et dans la démarche du laboratoire Chôros, qui développe des projets théoriques portant notamment sur l’habiter, l’urbanité, la mondialisation, la géographie du politique, l’espace numérique, la psychogéographie et les langages de visualisation spatiale.

Connaissance, au moins élémentaire, du français souhaitée.

Envoi d’un dossier électronique comprenant :
— une lettre de motivation
— un curriculum vitae
— une copie des titres universitaires
— une version électronique du mémoire de master
— d’éventuelles publications

Démarrage : poste disponible au 1er octobre 2014.
Salaire brut annuel : CHF 55 000 environ (45 000 euros env).
Candidatures à adresser avant le 1er juillet 2014 à : 
choros@epfl.ch, à l’attention de Mme Luana Huguenin.

juil 8, 2014

Colloque international 28-29 octobre 2014 – Ouagadougou / Arts et territoires. Les espaces de la création contemporaine africaine en question

Arts et territoires.Les espaces de la création contemporaine africaine en question

Colloque international

28-29 octobre 2014 – Ouagadougou

 

Appel à communication

Argumentaire :

La période qui a suivi les Indépendances a été marquée par un mouvement de réappropriation et de réhabilitation des cultures africaines qui a conduit à la constitution d’ensembles nationaux dans tous les domaines artistiques dont la danse, la musique et le théâtre pour les arts de la scène. Aussi le Ballet National du Mali, de Guinée, le Théâtre National Zaïrois, le Théâtre National de Dakar, l’Ensemble National du Togo, du Cameroun entre autres, créés au tournant des années 1960, ont-ils été érigés en ambassadeurs chargés de diffuser ces cultures à travers le monde. Les politiques culturelles étatiques ont aussi encouragé la création par la mise en œuvre de grands événements comme la Biennale artistique et culturelle au Mali, ou la Semaine nationale de la culture au Burkina Faso

Depuis le début des années 1990, la création artistique contemporaine sous toutes ses formes connaît un essor notable. Si certains États sont parvenus à maintenir leurs efforts en direction des arts, les politiques d’ajustements structurels imposées dans les années 1980 par les organismes financiers internationaux ont concouru, dans ce domaine comme dans d’autres, à l’affaiblissement de la participation des pouvoirs publics. Le renouvellement de la création artistique a, dans ces conditions, largement reposé sur le volontarisme des acteurs privés et la généralisation des politiques de coopération culturelle en direction des pays du Sud. Cette nouvelle configuration – dont les États africains ne sont du reste pas systématiquement exclus – a correspondu à une diversification des expressions artistiques et une multiplication des outils consacrés à la création, production et diffusion : centres de formation, ateliers ou encore festivals.

À cet égard, le Burkina Faso est un pays particulièrement exemplaire. Les arts contemporains y connaissent à la fois un essor local et une diffusion internationale manifestes. Aux événements phares qui structurent le paysage artistique burkinabè depuis les Indépendances (comme le « Fespaco – Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou »), se sont progressivement ajoutées des manifestations d’envergure dans chaque domaine disciplinaire : en danse (festival « Dialogues de corps », « Festival international de danse de Ouaga – FIDO »), en musique (« Jazz à Ouaga », « Rock à Ouaga »), en arts plastiques (« Carrefour des arts plastiques »), en théâtre (« Festival International de Théâtre pour le Développement – FITD ») ; et pluridisciplinaires : dans le domaine des arts vivants (« Festival International de Théâtre et de la Marionnette – FITMO », élargi au « Festival des Arts du Burkina »), des cultures urbaines (« Waga hip-hop ») ou des arts de la rue (« Rendez-vous chez nous »). Ces rencontres artistiques, qui s’implantent principalement dans la capitale, ont souvent été entreprises par des opérateurs locaux, mais suscitent néanmoins de plus en plus l’intérêt des pouvoirs publics.

Nées en 2002, les Récréâtrales, projet de la compagnie Falinga dirigée par Étienne Minoungou, sont de ces initiatives. Avec Le Cartel, fédération de cinq compagnies burkinabè créée quatre ans plus tard, Étienne Minoungou et Ildevert Meda (Compagnie Théâtr’évasion) ont souhaité ouvrir le champ des possibles en matière de pratiques théâtrales  en implantant les Récréâtrales dans le quartier Bougsemtenga. Aux prémices, un constat est dressé. Les festivals voués à mettre en exergue les expressions théâtrales n’ayant cessé de se multiplier au cours des dernières décennies sans que les difficultés liées aux conditions de création ne s’estompent en amont (absence d’institutions qualifiantes et professionnalisantes, rareté et indigence des subventions étatiques, insuffisance des lieux de représentation, isolement des créateurs), les Récréâtrales ont d’emblée été bien plus qu’un événement ponctuel. Ces biennales s’organisent de février à novembre autour de trois sessions : la Quarantaine dédiée à la formation-recherche, les Résidences de création dévolues à la production et la Plateforme-festival consacrée à la diffusion. Espaces de réflexion, ces résidences offrent aux artistes venus de tout le continent la possibilité d’aborder le geste artistique selon un processus de maturation polymorphe détaché d’une logique de création solitaire, séquentielle et linéaire par la prévalence donnée au collectif et à la scène.

Ce désir d’agir sur le temps et les modalités de la création a eu pour corollaire la recherche d’une adéquation toujours plus grande avec le territoire. De l’observation que les salles de théâtre ne restent accessibles qu’à une mince frange de la population urbaine et de la conviction que les créations africaines contemporaines ne sont pas condamnées à l’exportation pour acquérir une visibilité, l’évidence s’est imposée qu’il faut questionner les circuits existants et ramener l’art là où se déploie la vie. Bougsemtenga est un quartier qui atteste d’un ancrage patient mais prometteur de l’art dans des lieux décloisonnés et non-conventionnels. Habitat privé et espace public s’y conjuguent dans une concertation renouvelée avec les riverains qui ouvrent leurs cours familiales aux artistes. Ainsi, s’invente une alternative à partir du local qui donne du jeu face aux règles d’un marché de l’art mondialisé mais de surcroît révèle le potentiel de développement économique que représente l’état d’effervescence culturelle presque permanent d’une ville comme Ouagadougou.

Si les Récréâtrales sont devenues une pépinière incontournable en matière de renouvellement des pratiques artistiques, elles sont aussi emblématiques d’une dynamique d’invention d’espaces-temps inédits de la création contemporaine africaine : de nouveaux imaginaires et de nouveaux espaces de relations sociales se tissent dans la ville, qui reconfigurent localement les rapports de pouvoir, les urbanités et les modalités de création artistique. La Plateforme-festival de la 8ème édition des Récréâtrales (25 octobre – 2 novembre 2014) nous a donc semblé le cadre idéal pour mener une réflexion sur les dynamiques qui lient mutations du champ artistique et reconfigurations des espaces urbains sur le continent africain, à différentes échelles, de celle des individus à celle de la mondialisation, en passant par celle des agglomérations. Il s’agira ainsi de questionner la capacité de la création artistique à co-produire la ville, celle des urbanistes, des économistes et des aménageurs, autant que celle des artistes et des habitants ; et réciproquement, d’interroger la place, tant symbolique que pratique, qu’occupe la ville dans la production artistique africaine.

Dans la lignée de la Coalition des Artistes et des Intellectuels du Burkina Faso qui s’est fixée pour tâche la fabrication d’outils concrets et l’analyse des politiques culturelles menées au plan national afin de constituer une force de proposition pour infléchir ou dynamiser ces dernières, le colloque « Arts et territoires : les espaces de la création contemporaine africaine en question » entend mener une réflexion sur ces questions en réunissant des chercheurs des sciences humaines et sociales de différents continents au cours d’un colloque qui se déroulera en deux temps : à l’Institut français de Ouagadougou le 28 octobre et dans le quartier de Bougsemtenga le 29 octobre 2014. La première journée sera consacrée à la présentation de communications scientifiques. Cette réflexion sera prolongée le lendemain par des ateliers thématiques qui se situeront quant à eux à l’interface des recherches scientifiques, des préoccupations des opérateurs culturels et artistiques, des pratiques culturelles des populations et des dynamiques de l’action publique locale, nationale et internationale.

Axes thématiques :

Les  propositions de communication pourront s’inscrire dans l’un des axes suivants (d’autres axes peuvent néanmoins être proposés s’ils s’inscrivent dans le thème général du colloque) :

 

1. Espaces urbains, espaces de vie et création artistique

– Comment la ville travaille-t-elle la création artistique et comment la création artistique modèle-t-elle un territoire donné ?

– Dans quelle mesure les dynamiques artistiques rejoignent-elles les enjeux de développement urbain ? Quels sont les espaces urbains de créativité qui se déploient ? Comment les populations locales se les approprient-elles ?

 

2. Villes, arts et mondialisation

– Artistes et territoires, entre assignation et revendication : quelle place pour les artistes africains dans le paysage artistique mondialisé ? Quels enjeux de mobilité internationale façonnent les pratiques artistiques africaines ?

– Territoires et appropriation : comment des territoires considérés comme marginaux peuvent-ils participer de phénomènes de contournement et de détournement ? Quelle nouvelle communauté l’artiste esquisse-t-il dans et par son geste créateur ?

 

3. Agglomérations urbaines et économie politique de la culture

– Dans quelle mesure ces nouveaux territoires de la création génèrent-ils une économie spécifique ?

– Comment les politiques d’aménagement du territoire prennent-elles en compte la culture dans leurs priorités ? Par quels vecteurs les liens entre culture et croissance économique sont-ils considérés ? Quels enjeux de pouvoir et d’appropriation par les politiques culturelles et urbaines face aux dynamiques de ces nouveaux espaces ?

Soumission de la candidature et délais :

Ce colloque s’inscrit dans une perspective pluridisciplinaire. L’appel à communication s’adresse aussi bien à des chercheurs qu’à des doctorants relevant de l’ensemble des disciplines des sciences humaines et sociales, de l’histoire de l’art, etc.

Les propositions de communications sont attendues avant le mardi 30 juin 2014 à l’adresse email suivante : arts.territoires.bf@gmail.com

Les propositions de communication ne doivent pas excéder les 2000 signes et devront être accompagnées d’une courte présentation de l’auteur.

Les candidatures retenues seront annoncées au plus tard le 15 juillet 2014.

 

Comité scientifique :

– Marta Amico (Labex CAP, Musée du Quai Branly/Centre George Simmel)

– Amandine Chapuis (EIREST, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, UPEC)

– Philippe Chaudoir (TRIANGLE, Université Lumière Lyon 2/Institut d’Urbanisme de Lyon)

– Altaïr Despres (Labex CAP, Musée du Quai Branly/IIAC)

– Seydou Ouedraogo (Université Ouaga 2, Institut FREE Afrik)

– Julie Peghini (CEMTI, Université Paris 8)

– Mahamadé Savadogo (Université de Ouagadougou, Coalition des Artistes et des Intellectuels du Burkina Faso)

– Amélie Thérésine (IRET, Université Paris 3)

– Patrice Yengo (IMAF, EHESS)

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